Thingiverse - Digital Designs for Physical Objects. Des ateliers uniques près de chez vous - Cup of teach. Services alternatifs - Service-en-plus. What’s Mine is Yours: The Rise of Collaborative Consumption. La consommation collaborative. Cityzen Car confirme la tendance durable de la consommation partagée.
Comment l’économie du partage crée du lien social. Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance. Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008. Bizarrement, alors que les hommes entraient toujours plus en interaction et devenaient toujours plus dépendants les uns des autres, ce XXème siècle aura connu un immense délitement des structures sociales traditionnelles sans création d’autres structures alternatives efficaces.
Religions, nations, classes sociales, familles… Toutes ces institutions ont été bousculées et affaiblies. Quand l’échange marchand abolit la relation Photos flickr. Comment l’économie du partage crée du lien social. Connecting through “Collaborative Consumption” In April of 2000, on the spur of the moment, Casey Fenton bought a cheap airplane ticket to Reykjavik, Iceland, for a long weekend. At the time, Fenton was 22 years old and had no place to stay in Reykjavik.
Undeterred, Fenton searched the online student database at the University of Iceland, extracted names and email addresses of 1,500 students, and sent messages like “Hey Bjorn, I am coming to Iceland. Can I stay on your couch and hang out with you for the weekend?” Within 24 hours, he received 50 invitations saying, “Hang out with me.” CouchSurfing co-founder Casey Fenton. After that trip, Fenton decided he wanted to keep traveling this way. CouchSurfing is just one example of “collaborative consumption,” a rapid explosion in swapping, sharing, bartering, trading, and renting, facilitated by the latest online technologies and peer-to-peer marketplaces. But collaborative consumption is more than just a cost-saving ploy. The strength of weak ties In the web we trust kizilkayaphotos. Je loue ta voiture, tu loues mon costume, on sauve la planète. Basée sur l’idée de partage, la « consommation collaborative » est une pratique qui se développe de plus en plus. « Chèvre pour tondre votre pelouse de manière écologique – location à la journée par couple de deux – 10 euros. » Ceci n’est pas une blague, mais une annonce trouvée sur le site e-loue, où les particuliers pratiquent la « consommation collaborative ».
Le concept s’applique à tous les objets que l’on possède et que l’on n’utilise pas tout le temps, ou que l’on n’a pas besoin d’acheter. Comme l’expliquait déjà en 2000 Jeremy Rifkin dans son livre sur l’économie de l’accès ( « The Age of Access »), on n’est « pas toujours heureux d’hyperconsommer ». Du coup : « La notion de propriété et la barrière entre vous et ce dont vous avez besoin sont dépassées. » Un brin révolutionnaire, le site « Collaborative consumption » proclame ainsi comme slogan : « Ce qui est à moi est à toi. » (Voir la vidéo de présentation, en anglais) « Des produits plus chers mais plus solides »
La Consommation Collaborative, phénomène de 2011 ? | Consommation Collaborative. Bon ok le titre est un peu vendeur…mais de vraies raisons d’être aussi optimiste, il y en a, à la fois pour ce qu’il se trame outre-Atlantique mais aussi en France… Des signes avant-coureurs en provenance des Etats-Unis Selon les secteurs de l’Internet et du e-commerce, il faut un délai plus ou moins long pour que les usages de l’Internet à l’œuvre aux Etats-Unis se traduisent en Europe. C’est le cas par exemple pour le secteur de la réservation de restaurants en ligne : un marché déjà mâture outre-Atlantique et qui n’en est encore qu’à ses débuts en Europe (1 % du total des réservations en 2010 en France ont été effectuées sur Internet). En cela, la Consommation Collaborative ne fait pas exception, même si des évolutions récentes (je vous explique tout ça en deuxième partie) me laissent penser que certaines pratiques devraient connaître une transition beaucoup plus rapide en France.
Zipcar, leader du car-sharing (autopartage traditionnel) aux Etats-Unis continue de s’étendre. Creative/Collaboration as a New Participatory Paradigm? After 6 months of thinking *very hard* about the more controversial things of life, like democracy, creativity and the future of society, *quietly to myself*, I suddenly find myself almost ready to ‘think out loud’ again and publish some unfinished thoughts for others to consider. While this can feel very risky at times I consider that collaborative and public conversations around some of these difficult topics holds enormous value – so I invite you to agree, argue and criticise the ideas and suggestions below as strongly as possible – with a view that this process toughens thinking - hopefully making it more robust and useful.
Recap of earlier thinking In May I wrote a series of posts which promoted the idea of collaboration between citizens and government and other organisations. Below is the 'thoughts in progress' diagram which I ended up with in May, which attempted to describe these various complex processes - with small amendments. Current thinking 1. 2. 3. 4. 5. Why The Collaborative Consumption Revolution Might Be As Significant As The Industrial Revolution (TCTV) Everything, it seems, is becoming collaborative. From Airbnb to RentCycle to Zipcar, we are swapping our cars, our homes, even our clothes with each other.
According to Lauren Anderson from Collaborative Consumption, this change might be as profound as the industrial revolution. It will result, she told me when we met at Fast Company’s Innovative Uncensored event, in a world driven by “reputational capital” in which the “We” of the our collaborative age will replace the “Me” of the industrial age. While Anderson might be right, I’m not sure it’s such a great thing for people like myself who aren’t naturally participatory. So is Anderson right – is this shift from the Me to the We as significant as the industrial revolution?