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Afro-américains dans le cinéma

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Guerre de Sécession. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Guerre de Sécession

Outre un nombre indéterminé de victimes civiles, cette guerre provoque la mort de 620 000 soldats, dont 360 000 nordistes et 260 000 sudistes. Grande migration afro-américaine. La grande migration afro-américaine est le mouvement qui a conduit six millions d'Afro-Américains du Sud des États-Unis vers le Midwest, le Nord-Est et l'Ouest de 1910 à 1970[1].

Grande migration afro-américaine

Film noir. Définition[modifier | modifier le code] Genre typiquement de film américain[4], le terme « film noir » est né en 1946 sous la plume d'un critique de films français, Nino Frank, par assimilation à la Série noire, une collection de romans de détective privé.

Film noir

Le terme était néanmoins déjà utilisé avant la Seconde Guerre mondiale pour désigner un ensemble de films français, avant d'être utilisé pour la fiction américaine[5],[6]. Ruby Bridges sees iconic Norman Rockwell painting hang in White House. The little girl in the painting titled “The Problem We All Live With” is walking to school in a white dress, white socks and white shoes.

Ruby Bridges sees iconic Norman Rockwell painting hang in White House

Her hair is parted in neat plaits and she is carrying a book and a ruler. The girl appears confident and proud, even as she is overshadowed by U.S. marshals in muted gray suits. She does not seem to notice the tomato splashed on the painted wall behind her or the racial epithet scrawled above her. FILE PHOTONorman Rockwell's iconic painting 'The Problem We All Live With' is hanging in the White House until Oct. 31, thanks to a suggestion by the painting's subject, Ruby Bridges.

Bridges is depicted in the painting being escorted into William Frantz Elementary School in New Orleans 9th Ward in 1960. This summer, the iconic artwork has found a temporary home - in the West Wing of the White House, just outside the Oval Office. On July 15, Bridges visited the White House to see how the historic painting looked, freshly hung. Rep. Art historian Richard J. Ségrégation et discriminations aux États-Unis dans les années 60.

Ségrégation raciale aux États-Unis. Un Noir boit à un distributeur d'eau réservé aux « gens de couleur » à un terminal de tramway en 1939, à Oklahoma City.

Ségrégation raciale aux États-Unis

La ségrégation raciale aux États-Unis décrit un dispositif juridique de séparation des personnes, selon des critères raciaux, mis en place principalement dans les États du Sud, entre 1877 et 1964 (ségrégation de jure) pour contourner l’effectivité de l'égalité des droits civiques des Afro-Américains garantis par la Constitution des États-Unis au lendemain de la guerre de Sécession à savoir : le treizième amendement du 6 décembre 1865 abolissant l'esclavage suivi du quatorzième amendement de 1868, accordant la citoyenneté à toute personne née ou naturalisée aux États-Unis et interdisant toute restriction à ce droit, et du Quinzième amendement de 1870, garantissant le droit de vote à tous les citoyens des États-Unis.

Discrimination positive aux États-Unis. La discrimination positive aux Etats-Unis (en anglais affirmative action) a été mise en place lors de la lutte pour les droits civiques et l'abolition de la ségrégation raciale[1],[2].

Discrimination positive aux États-Unis

Mise en place du programme[modifier | modifier le code] En mars 1961, le président John F. Kennedy lance un programme d'affirmative action crétant l'ordre exécutif no 10925[3], qui oblige les programmes financés par le gouvernement fédéral de « prendre une action affirmative » (take affirmative action) afin de s'assurer que l'emploi ne soit pas soumis aux discriminations raciales ou sexuelles. Renaissance de Harlem. Soutenue par des mécènes et une génération d’écrivains talentueux, la Renaissance de Harlem marque un tournant majeur dans la littérature noire américaine qui connaît une certaine reconnaissance et une plus grande diffusion en dehors de l’élite noire américaine.

Renaissance de Harlem

La littérature et la culture noires atteignent de tels sommets durant cette période que certains désignent Harlem comme la « capitale mondiale de la culture noire »[1]. Présentation et contexte[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Il est difficile de donner une date précise pour le commencement de la Renaissance de Harlem. Malcolm X. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Malcolm X

Pour les articles homonymes, voir Malcolm. Malcolm X en 1964. Enfance et jeunesse Famille Malcolm Little est le fils de Earl Little, charpentier, et de Louise Little (née Louisa Norton). Son père est un prêcheur baptiste convaincu, fervent soutien de Marcus Garvey. Selon son autobiographie, sa mère avait été menacée par des membres du Ku Klux Klan (KKK) alors qu'elle était enceinte de lui, en décembre 1924. Blaxploitation. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(octobre 2013).

Blaxploitation

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Description[modifier | modifier le code] Les films Hollywoodiens des années 1930, 1940 ou 1950 ne montrent les noirs que dans des rôles de danseurs de cabaret, serveurs, bandits ou esclaves[réf. nécessaire]. Le premier film, Sweet Sweetback's Baadasssss Song, a été tourné en 1971 par Melvin Van Peebles[1].

Ce film 100 % noir rapporte plus de 15 millions de dollars, un chiffre exceptionnel pour une production indépendante d'un budget de 150 000 dollars. Le renouveau du cinéma noir américain. Le cinéma évoque souvent les enjeux politiques et sociaux.

Le renouveau du cinéma noir américain

Le cinéma noir américain traite de la « condition noire » et du vécu de la communauté afro-américaine. Mouvement afro-américain des droits civiques. Le mouvement afro-américain des droits civiques (en anglais : American civil rights movement) est une période allant de 1954 jusqu'à 1968 et désignant le mouvement américain qui visait à établir une réelle égalité de droits civiques pour les Noirs américains en abolissant la législation qui instaurait la ségrégation raciale aux États-Unis d'Amérique.

Le pasteur baptiste Martin Luther King, partisan de la non-violence, en devient l'une des figures les plus célèbres tout comme la militante des droits civiques Rosa Parks. Il hérite des luttes précédentes. 1954 est l'année de l'adoption de l'arrêt Brown v. Board of Education, qui déclare anticonstitutionnelle la ségrégation raciale dans les écoles publiques. Les années suivantes seront consacrées à étendre la déségrégation à tous les États du pays et à intensifier la lutte pour les droits civiques.

À la suite du vote du Civil Rights Act en juillet 1964, signé par le président Lyndon B. 1970 à nos jours. Après la conquête des droits civiques, les Noirs américains sont entrés dans une nouvelle phase de leur histoire. Au nombre de 22,6 millions dans les années 1970, ils sont aujourd'hui près de 40 millions, soit 13% de la population totale contre 11% quarante ans auparavant. Cette augmentation relative s'accompagne d'une hétérogénéité sociale culturelle plus grande. Si l'élection d'Obama est un moment historique dans la conquête de l'égalité, les Noirs les plus pauvres restent toujours socialement très marginalisés. La probabilité de voir un président noir s'installer à la Maison Blanche paraissait inconcevable jusqu'en 2008, lorsque Barack Obama, au terme d'une campagne haletante, fut élu président des États-Unis.

Comme beaucoup de Noirs éduqués, il a bénéficié des programmes d'affirmative action mis en place après 1965. CHRONOLOGIE NOIRE AMERICAINE. Black America, les luttes des Noirs américains aux 19e et 20e siècles. LE COMBAT NOIR AMÉRICAIN DE 1960 A 1992 - La Conscience s'élève. LA REPRÉSENTATION DE LA QUESTION RACIALE DANS LE CINÉMA AMERICAIN. Loving, de Jeff Nichols est un des nombreux films récents qui évoquent la question raciale aux États-Unis. Récemment, plusieurs longs métrages, à l’époque de la présidence Obama et aussi sous celle de Donald Trump ont abordé ce problème, alors que les tensions entre la police et la communauté afro-américaine n’ont cessé de croître (naissance du mouvement Black lives matter en 2013 après plusieurs incidents entre forces de l’ordre et jeunes noirs).

Les films de Nate Parker (Naissance d’une Nation) , Barry Jenkins (Moonlight), Jordan Peel (Get out), Kathryn Bigelow (Detroit) ont traité de la question raciale avec des approches différentes, souvent historiques mais parfois d’une manière plus originale (Moonlight traite de l’homosexualité dans la communauté noire, Get out utilise le genre du film d’horreur). L’œuvre de Nichols aborde le sujet aussi avec une vision particulière, celle d’un cinéaste blanc et sudiste. La lutte des Noirs américains / Histoire - Des années 90 à aujourd'hui : Que reste-t-il du rêve américain de la minorité noire ?