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April 2o13

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Nucléaire : de la mine aux déchets, tous concernés ! A Bure, des déchets nucléaires et des questions pour l’éternité. Les incidents dans les centrales nucléaires d'EDF en hausse de 10% en 2012. L'Autorité de sûreté nucléaire a recensé 830 incidents l'an dernier dans les 58 réacteurs d'EDF. Les centrales de Civaux, Cruas, Paluel et Chinon sont épinglées.

Fessenheim est bien noté sauf pour la protection du personnel. Une année «assez satisfaisante au plan de la sûreté nucléaire et de la radioprotection dans les centrales nucléaires». Tel est le bilan 2012 dressé par l'Autorité de sûreté nucléaire dans son volumineux rapport annuel (538 pages) rendu public mardi. Au cœur du débat et des polémiques, la doyenne du parc d'EDF, la centrale de Fessenheim, se distingue «de manière positive» en matière de sûreté. Cinq ans pour fermer Fessenheim Auditionné par les députés de l'Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques (Opecst), le nouveau président de l'ASN, Pierre-Franck Chevet, a répété que la procédure administrative de mise à l'arrêt définitif de Fessenheim durerait cinq ans. VIDÉO : Manifestation contre le convoi transportant du combustible MOX. Action : Fermez-les. Jeudi 28 mars matin à l’aube, des activistes ont projeté un immense message sur la centrale nucléaire de Fessenheim (Alsace).

Le message ? “Pourquoi seulement moi ? “. Dans la deuxième partie de la nuit du 29 au 30 mars, les militants de Greenpeace ont massivement renommé « Fessenheim »les localités autour des quatre centrales nucléaires à fermer en priorité : Gravelines, Bugey, Tricastin et Blayais. Les panneaux de signalisation de dizaines de villages ou de villes autour de ces centrales ont été recouverts par des panneaux de signalisation “Fessenheim”. Ces actions accompagnent la publication d’un rapport qui révèle et analyse les cinq centrales nucléaires françaises à fermer en priorité : Blayais, Bugey, Fessenheim, Gravelines et Tricastin. photo : (c) Nicolas Chauveau / Greenpeace Quatre autres sites à fermer ! Pour voir la carte en plein écran cliquez ici : chaque éclair est un village rebaptisé Lire le scénario de Transition énergétique 2013 de Greenpeace Posted from . Areva, le Mox et le plutonium : le « business model » d’une catastrophe nucléaire ? - Industrie nucléaire.

Les exportations de combustibles nucléaires reprennent vers le Japon. Après deux ans d’interruption, liée à la catastrophe nucléaire de Fukushima, Areva s’apprête à y expédier une nouvelle cargaison de « Mox », alors même que les contaminations radioactives se poursuivent. Le Mox, c’est cet assemblage d’uranium appauvri et de plutonium, fabriqué par l’usine Melox, située sur le site de Marcoule, dans le Gard. C’est aussi un combustible vivement critiqué par les écologistes ainsi que par des experts indépendants, pour sa haute toxicité et les nombreux problèmes de sûreté nucléaire qu’il pose. Pourquoi Areva s’entête-t-elle à fabriquer et à commercialiser du Mox ? Pourquoi en expédier au Japon, alors même que du Mox a probablement fondu au sein de l’un des réacteurs de la centrale de Fukushima, contribuant à disperser du plutonium alentour ?

Quels sont les enjeux qui se cachent derrière ce combustible hautement dangereux ? Le Mox : recyclage et paix dans le monde… Du Mox fondu à Fukushima. Aux enfants de la bombe. “Aux enfants de la bombe”, un docu explosif sur les victimes du nucléaire français. Deadly levels of radiation found in food 225 miles from Fukushima: Media blackout on nuclear fallout continues. New data released by Japan's Ministry of Health, Labor and Welfare (MHLW) shows once again that the Fukushima Daiichi nuclear disaster is far from over.

Despite a complete media blackout on the current situation, levels of Cesium-137 (Cs-137) and Cesium-134 (Cs-134) found in produce and rice crackers located roughly 225 miles (~ 362 km) away from Fukushima are high enough to cause residents to exceed the annual radiation exposure limit in just a few months, or even weeks. According to Fukushima-Diary.com, which posts up-to-date information about the Fukushima disaster, rice crackers and tangerines produced in the Shizuoka prefecture are testing high for both Cs-137 and Cs-134. Rice crackers, according to the data sheet, tested at 3.7 Becquerels per kilogram (Bq/Kg) of Cs-137, while tangerines tested at 1.46 Bq/Kg of Cs-134 and 3.14 Bq/Kg of Cs-137. But food, of course, is not the only major source of radiation exposure in Japan.

Sources for this article include: Fukushima : possible fuite d'eau radioactive dans un réservoir souterrain. La compagnie gérant la centrale accidentée de Fukushima a fait état dans la nuit de vendredi à samedi d'un possible écoulement d'eau contaminée dans le sol depuis un réservoir de stockage souterrain. Tepco évalue à 120 tonnes environ la quantité de liquide qui aurait fui. Des éléments radioactifs ont été décelés dans de l'eau accumulée entre le sol autour de la cuve et la couche externe d'un revêtement imperméable au fond du réservoir, a expliqué un porte-parole de Tepco lors d'une conférence de presse nocturne. Pour y remédier, la compagnie a commencé samedi matin à transvaser à l'aide de pompes les 13 000 tonnes d'eau du réservoir 2 défectueux vers un autre.

La cuve enterrée comprend trois couches censées empêcher l'eau de s'infiltrer dans le sol. Le réservoir (de 60 mètres sur 53 m et d'une profondeur de 6 m) est situé à 800 mètres environ de l'océan et Tepco juge peu probable que l'eau radioactive puisse s'y écouler. >> Lire le reportage : "Les blessures tenaces de Fukushima" Areva aurait remporté un méga-contrat nucléaire en Turquie. Le français Areva et le japonais Mitsubishi Heavy ont emporté le contrat pour la construction de la deuxième centrale nucléaire turque, à Sinop sur les bords de la mer Noire, écrit jeudi le quotidien japonais Nikkei. Le ministère turc de l'Energie a informé le gouvernement japonais et les dirigeants des groupes de l'attribution de ce projet, dont le coût est évalué à quelque 22 milliards de dollars (17 milliards d'euros), ajoute le journal, qui cite des sources turques et japonaises.

Taner Yildiz, ministre de l'Energie turc, a toutefois dit à Reuters qu'aucune décision n'avait encore été prise en la matière. "Quand l'appel d'offres sera terminé, nous déciderons qui construira la centrale (.. Le site, dont la construction devrait commencer en 2017 pour une entrée en service du premier réacteur en 2023, sera exploité par le français Ajouter à la liste des valeurs Ajouter au portefeuille Créer une alerte GDF(GSZ 19.94 -0.15%) Suez, toujours selon le quotidien japonais.

Une centrale nucléaire sous-marine signée DCNS. VIDÉO DCNS annonce officiellement le lancement d’une étude pour la réalisation d’une centrale nucléaire sous-marine aux cotés d’Areva, d’EDF et du CEA. A la recherche de relais de croissance pour pallier le déficit de commandes militaires, DCNS a décidé d’exploiter ses compétences dans de nouveaux domaines, en particulier le nucléaire civil. Formé à l’atome à travers la construction de chaudières de sous-marins nucléaires, DCNS souhaite aujourd’hui créer une centrale nucléaire sous-marine de 50 à 250 MW de puissance, baptisée Flexblue.

Elle se présenterait sous la forme d’un cylindre d’une centaine de mètres de long, de 15 à 20 mètres de diamètre et de 12 000 tonnes. Cette unité sera immergée entre 60 et 100 mètres de profondeur à quelques kilomètres des côtes. Elle permettrait de servir des pays à la recherche de réacteurs nucléaires de petite et moyenne puissance pour quelques centaines de millions d’euros. Toutefois, attention, le projet n’en est qu’à sa phase d’étude.