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Science

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M.actualitte. Horreur microscopique. Et si le Grand Ancien était finalement un microbe, et qui plus est - sale temps pour les adorateurs de Cthulhu adeptes du sacrifice - végétarien ? La créature mythologique née de l'imaginaire de Lovecraft, à l'apparence et l'influence tentaculaires, aura en tout cas inspiré le nom donné dernièrement à une trouvaille scientifique. Le fond du système digestif de certaines termites, servirait de demeure à un microbe unicellulaire, un protiste pour les intimes, qui se nourrirait des cellules de bois digérées dans cette insoupçonnable cité de R'lyeh. Le monstre, de très près Pour ceux que la seule vue de la créature n'aura pas conduits à la démence, Lovecraft dépeignait son monstre Cthulhu, comme possédant une vague apparence humanoïde, gigantesque, indescriptible, cumulant une face de seiche avec d'innombrables tentacules de pieuvre et autres ailes de dragon.

Advert turns air into drinking water. 22 March 2013Last updated at 14:40 ET By Aida Prados BBC Mundo The billboard serves a dual purpose, acting to draw students to the newly established engineering university UTEC Just outside Lima, Peru, a billboard provides drinking water to whoever needs it - mainly, its neighbours. The panel produces clean water from the humidity in the air, through filters. Researchers at the University of Engineering and Technology (UTEC) in Lima and advertising agency Mayo Peru DraftFCB joined forces to launch it.

UTEC says it wanted to put "imagination into action" and show that it is possible to solve people's problems through engineering and technology. "A billboard that produces drinking water from air," says the billboard up high. The panel is strategically located in the village of Bujama, an area south of the capital city that is almost a desert, where some people have no access to clean water. Access to all Despite tough conditions with little rain, air humidity reaches 98%, says UTEC. World’s smallest blood monitoring implant tells your smartphone when you’re about to have a heart attack. A team of scientists at Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) in Switzerland have developed the world’s smallest medical implant to monitor critical chemicals in the blood. The 14mm device measures up to five indicators, including proteins like troponin, that show if and when a heart attack has occurred.

Using Bluetooth, the device can then transmit the data to a smartphone for tracking. The device can also track levels of glucose, lactate, and ATP, providing valuable data for physiologic monitoring during activity, or in possible disease conditions like diabetes. As far as tricorders go, this device may be the one you have been waiting for, provided you are on board for the implant. Outside the body, a battery patch provides the 100 milliwatts of power that the device requires by wireless inductive charging through the skin.

At the moment the device has a limited number of sensors, but there is no theoretical ceiling on this. Ettore Majorana. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ettore Majorana Il a donné son nom à l'équation de Majorana et à la particule de Majorana. En 2006 fut créé le Majorana Prize pour honorer sa mémoire. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Biographie extraite en partie de Un souvenir d’Ettore Majorana d'Edoardo Amaldi[1], reproduit dans l'ouvrage d'Erasmo Recami Il caso Majorana : epistolario, documenti e testimonianze[2]. Issu d'une riche et prestigieuse famille sicilienne, Ettore (Hector) Majorana est le quatrième enfant (cinq frères) de Fabio Massimo Majorana (1875-1934) et Dorina (Salvatrice) Majorana-Corso (1876-1965).

Le grand-père d'Ettore, Salvatore Majorana-Calatabiano (1825-1897), fut député, deux fois ministre de l'Agriculture, de l'Industrie et du Commerce dans le premier et le troisième gouvernement Depretis (1876/1879), et sénateur en 1879. Travaux de physique théorique[modifier | modifier le code] Amaldi raconte : « [...] Latest Earthquakes.

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Liem Hoang Ngoc - Vive l'impôt ! (1/2) - une vidéo Actu et. Prix Jacques Tymen. L'Association d’Économie Sociale décernera au cours de son colloque annuel qui se tiendra à Nancy les 7 et 8 septembre 2006, le prix Jacques Tymen. Ce prix récompensera les meilleurs travaux individuels, de type universitaire, non encore publiés, terminés avant le 1er mars 2006, de jeunes chercheurs oeuvrant dans le champ de l’économie sociale (emploi, revenus, travail, protection sociale, santé, éducation et formation, culture, logement, famille, pauvreté…).

Un prix de 1400 € récompensera une thèse ou un travail équivalentUn prix de 700 € récompensera un mémoire de M2 recherche (DEA) ou équivalent Les travaux proposés au concours doivent être adressés en deux exemplaires (les thèses devant être accompagnées du rapport de soutenance) à : Secrétariat MATISSEPrix Jacques TymenMaison des Sciences Economiques106-112 boulevard de l’Hôpital75647 Paris Cedex 13Date limite de réception : 1er mars 2006. {sciences²} Si les formes de la résistance à la politique universitaire du gouvernement évoluent, elle ne cesse pas. De son côté, le gouvernement refuse obstinément tout geste susceptible de changer la donne et persiste dans sa volonté d'imposer ses décisions, coûte que coûte pour l'université, les étudiants et leurs familles, en considérant manifestement qu'il ne paye pas de prix politique trop lourd dans ce conflit.

Valérie Pécresse, interrogée par Le JDD hier, a réitéré son analyse du conflit qui n'aurait pas de cause raisonnable puisque «sur toutes les interrogations qui ont été à l'origine du mouvement en janvier dernier, le gouvernement a apporté des réponses». Et que sa politique consisterait à réformer et à bien financer les universités. Un tel discours disqualifie toute critique à l'avance... et ne permet pas de comprendre comment la crise a pu démarrer et durer aussi longtemps. Dans la plupart des centres universitaires, la rétention des notes du premier semestre est appliquée. 1. HirschmanparEdeyGamassou.pdf (Objet application/pdf) Etienne Klein : Le temps de la physique. En dépit de son allure familière, le temps suscite des impasses et des paradoxes de toute sorte, dont le nombre semble grandir avec la pénétration du regard.

La première difficulté, déjà repérée par saint Augustin, est que le mot temps ne dit pratiquement rien de la chose qu'il est censé exprimer. Le mot temps désigne - en apparence - l'objet d'un savoir et d'une expérience immédiats, mais il se perd dans les brumes dès qu'on veut en saisir le contenu. Bien sûr, on peut tenter de définir le temps : dire qu'il est ce qui passe quand rien ne se passe ; qu'il est ce qui fait que tout se fait ou se défait ; qu'il est l'ordre des choses qui se succèdent ; qu'il est le devenir en train de devenir ; ou, plus plaisamment, qu'il est le moyen le plus commode qu'a trouvé la nature pour que tout ne se passe pas d'un seul coup.

Mais toutes ces expressions présupposent ou contiennent déjà l'idée du temps. Enfin, il y a le paradoxe, et même le prodige, de la réalité du temps.