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Dans la culture populaire

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Detroit: Become Human : We are the robots. Depuis près de vingt ans, David Cage s’est fait le promoteur de ce jeu vidéo adulte. L’homme a bataillé en interviews pour faire valoir ses idées, s’est fait troller, finissant par acquérir une réputation controversée que les récents déballages de cuisine interne auront fini d’écorner. Contre toute attente, on aime plutôt bien les jeux qu’il conçoit – et on aime plutôt bien son nouveau titre, Detroit: Become Human, épopée futuriste revisitant la figure classique de l’androïde prenant conscience de sa possible humanité. Sur ce sujet d’actualité (celui en particulier de l’intelligence artificielle), le jeu n’apporte guère plus d’eau au moulin que les romans de Philip K.

Dick, les mangas de Masamune Shirow adaptés par Mamoru Oshii ou encore 2001, Metropolis, Frankenstein et on en passe. Detroit Become Human : l'intelligence artificielle peut-elle prendre le pouvoir ? JEUX VIDÉO - Et si les robots se révoltaient ? C’est le postulat de départ de "Detroit : Become Human", un jeu nous propulsant en 2038. Un futur pas si lointain où les androïdes, des intelligences artificielles à forme humaine, coexistent au milieu de la population avant de réclamer leur liberté. Une réflexion sur notre société où la technologie est devenue galopante et les machines omniprésentes. Mais jusqu'à quel point peut-on aller ? 09 juin 2018 09:25 - Melinda DAVAN-SOULAS Detroit : Become Human ou le soulèvement des machines. Et c'est sans doute là la force de ce Detroit .

Adepte des histoires narratives où vos choix décident du déroulé de l'histoire, Quantic Dream s'est cette fois surpassé dans la réalisation, aussi bien visuellement (on ne s'est toujours pas remis de la qualité du jeu) que dans l'histoire aux mille ramifications. C'est peu de dire que Detroit est un jeu intelligent et terriblement addictif. Autre époque, autres mœurs ? Patrouille du futur : plutôt cop ou Robocop ? De Schwarzy à « Arès », le transhumanisme est un humanisme. « Arès » : ce film de SF made in France nous projette dans le Paris de 2035 miné par la crise et le chômage de masse. A défaut de pain, le peuple doit se contenter des jeux, en l’occurrence des combats de free fight. Drôle de combats où les combattants sont les poulains de labos pharmaceutiques qui, entre chaque round, ne se font pas éponger le front mais piquer à l’aide de grosses perceuses, et où les arbitres portent des blouses blanches.

Drogue L’Arès du titre est moins le dieu de la guerre qu’un combattant à la raideur poutinesque d’un robot, ses cicatrices sur le visage le font ressembler au monstre de Frankenstein. La créature d’un labo, le patient zéro d’une nouvelle drogue qui le transforme en surhomme. Le Monde a vu à juste titre dans « Arès » la version française de ces histoires de robotique et d’intelligence artificielle qui passionnent les scénaristes de l’autre côté de l’Atlantique. Post-humain Bref : « Schwarzenegger fut, pendant deux décennies, le héraut du post humain. » Le cyberpunk pour les nuls | Usbek & Rica.

Contraction de « cybernétique » et « punk », le terme « cyberpunk » ne cesse d’influencer la pop culture depuis ses premiers usages dans les fanzines de science-fiction du début des années 1980. À tel point qu’il est devenu presque indispensable d’y faire référence pour briller dans les débats sur le transhumanisme ou la cybercriminalité. Employé pour la première fois en 1980 par l’écrivain Bruce Bethke, le terme « cyberpunk » se popularise avec la parution, en décembre 1984, dans le Washington Post, de l’article « SF in the Eighties ». Un texte dans lequel le critique Gardner Dozois qualifie de « cyberpunk » le style de Neuromancien, un roman de William Gibson.

Mais pour les puristes, c’est bien au collectif de Cheap Truth, un fanzine d’anticipation édité par Bruce Sterling, qu’il faut attribuer la paternité du cyberpunk. Utopie cybernétique Étymologiquement, le cyberpunk est le rejeton schizophrène du mariage culturel entre la cybernétique et le punk. Dialectique transhumaniste. Est-ce que les humains sont vraiment nécessaires ? Par Dmitry Orlov – Le 20 juin 2017 – Source Club Orlov Il est assez terrible de se poser la question !

Bien sûr, nous sommes nécessaires : c’est la fonction de l’univers de répondre à nos besoins et nos désirs, n’est-ce pas ? N’est-ce pas le but de tout, d’assurer notre bien-être et notre sécurité ? Et bien, c’est une façon de voir, et cela repose sur une certaine hypothèse : les humains sont au contrôle. Certes, les machines seraient encore nécessaires pour répondre aux besoins des milliardaires et à ceux des millionnaires qui les servent. Il était une fois, ainsi que le dit l’histoire, il y avait des humains.

Avance rapide jusqu’à nos jours et l’histoire change. Avancez un peu plus, et l’histoire change à nouveau. Au fur et à mesure que cette histoire évolue, la quantité de dommages environnementaux causée par les humains augmente à pas de géant. Mais il est possible de penser à d’autres moyens d’atteindre ce résultat. Dmitry Orlov Enregistrer.