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Numérique et énergie, pollution

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Fonctionnement et impact écologique d'Internet  Petit manuel des bonnes pratiques écolos sur Internet. 1.

Petit manuel des bonnes pratiques écolos sur Internet

Faire le vide dans sa messagerie Les centaines — voire milliers pour certain-es — de courriels dont regorgent nos messageries mobilisent l’énergie des serveurs en permanence, rien que pour être stockés. Le premier réflexe consiste donc à se retrousser les manches et à supprimer tous les messages superflus, surtout ceux avec de grosses pièces jointes. Imposez-vous une routine qui vous convient : par exemple, le 1er de chaque mois, sauvegardez sur votre disque dur les pièces jointes et les messages dont vous avez besoin, et supprimez les autres. Les data centers sont de gigantesques lieux qui hébergent des milliers de serveurs par lesquels transitent toutes les données Internet : chaque envoi de courriel, chaque visionnage de vidéos, chaque requête tapée dans un moteur de recherche sollicite les serveurs. 2. Prenez le réflexe de vous désabonner des lettres d’information qui ne vous intéressent pas. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Guide pratique internet courriels reduire impacts. Guide pour un système d'information éco-responsable. Première de couverture Comprendre et agir sur les impacts environnementaux des Technologies de l’Information et de la Communication.

Guide pour un système d'information éco-responsable

Les technologies de l’information et de la communication (TIC), qui regroupent les domaines de l’informatique, des télécommunications, et de l’électronique ont pris une place considérable dans notre quotidien et sont désormais incontournables. L’idée que ces technologies pourraient avoir un apport positif pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre est actuellement très répandue : représentant 2% des émissions mondiales, elles pourraient contribuer à réduire les 98% d’émissions restantes.

Un postulat plutôt encourageant face au péril climatique mais qu’il faut cependant considérer avec prudence au regard de la difficulté de mesurer cette contribution et d’anticiper les "effets rebonds" que leur mise en œuvre pourrait générer. Livre blanc tic. Data center : un défi énergétique à relever. De plus en plus déployés à travers le monde, les data center consomment beaucoup d’énergie.

Data center : un défi énergétique à relever

Des chercheurs d’IMT Atlantique ont mené une étude qui associe énergie renouvelable et réseau électrique pour alimenter ces infrastructures. Pour consommer moins, les scientifiques jouent également sur le réseau, l’anticipation et l’organisation des tâches sur les différents serveurs. Arriver sur ce site web par un moteur de recherche consomme quatre fois plus de CO2 que de l’atteindre directement en tapant l’adresse ou par un raccourci dans les favoris d’après l’ADEME [1]. "Internet la pollution cachée" - documentaire France5. Résumé « Aujourd’hui, 247 milliards de mails transitent chaque jour par la toile.

"Internet la pollution cachée" - documentaire France5

Quelle énergie le permet ? Propre en apparence, le monde virtuel est en réalité aussi polluant qu’énergivore. Si Internet était un pays, il serait le cinquième consommateur mondial d’électricité. Mais ses besoins, immenses, se heurtent à la diminution des ressources énergétiques. Un documentaire de 55 minutes, diffusé le 17 juin 2014 à 21h35 sur France5 et réalisé par Coline Tison et Laurent Lichtenstein. Coline Tison / RéalisateurLaurent Lichtenstein / RéalisateurJulien Bachellerie / AuteurColine Tison / Auteur Notre avis : Des chiffres et des faits évoqués nous paraissent étonnants, voire contestables, comme l’est par exemple l’argument « 40% de la facture d’un datacenter est dédiée au refroidissement des baies informatiques » (-> un mauvais datacenter dirions-nous) ou encore la paternité du concept d’énergie collaborative qui est accordée à Jeremy Rifkin…

La pollution numérique c'est quoi - MEETYOURGREENSIDE. Informatique durable. L'informatique durable[1],[2], l'informatique verte[3],[4], le numérique responsable[5], ou encore le green IT[6] (appellation officielle en français : éco-TIC[7]) est un ensemble de techniques visant à réduire l’empreinte sociale, économique et environnementale du numérique. Dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC), elle conçoit ou recourt à des écotechniques afin de diminuer les impacts que les TIC font subir à l'environnement au cours de leur cycle de vie. L'informatique durable participe au développement durable par l'écoconception de produits et services numériques, la conception de systèmes d’information durables ou l'optimisation et le changement de modèles d'un TIC[8],[9].

Terminologie[modifier | modifier le code] Le Journal officiel français du 12 juillet 2009 donne « éco-TIC » comme abréviation de « écotechniques de l'information et de la communication ». Internet consomme de plus en plus d'énergie : comment éviter la saturation. Inter(pas très)Net - Causette. Internet, un gouffre à énergie. Le numérique n'est pas le gouffre énergétique qu'on croit. Les technologies d’information et de communication (TIC), un gouffre énergétique et environnemental ?

Le numérique n'est pas le gouffre énergétique qu'on croit

C’est ce que laissaient penser la plupart des analystes jusqu’ici. Le rapport de l’Académie des Technologies sur l’impact des TIC sur la consommation d’énergie à travers le monde vient balayer ces craintes. Oui, les usages numériques, du fait de leur banalisation croissante, vont continuer à accroitre de façon soutenue leur consommation d’électricité d’ici 2020. Mais ils vont générer dans les autres secteurs des économies d’énergies bien supérieures à ce qu’ils consomment.

De quoi battre en brèche bien des idées reçues. 1,7 % des émissions et 4,7% de la consommation Avec Internet, les mobiles, les réseaux sociaux ou l’e-commerce, les usages numériques ont littéralement explosé ces dernières années. La capacité de calcul par watt consommé a été multipliée par cinq entre 2008 et 2012. Google et Facebook, modèles d'efficacité énergétique.