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Contre-exemples, ceux qui veulent déconstruire

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Why doll make-unders make me uncomfortable. In various corners of the internet, a trend has been building: doll make-unders.

Why doll make-unders make me uncomfortable

Have you seen these? I’m particularly interested in the re-making of a particular kind of doll: the Bratz doll. Back in January, the work of Tasmanian artist Sonia Singh was making the rounds. She takes discarded dolls and redoes their faces and makes them new clothing, making them “ready for outdoor adventures.” The make-unders were met with nearly universal praise; everyone loved these dolls as soon as they were rid of their trashy, heavy-handed makeup. When I saw that another artist, inspired by Sonia Singh’s work, is re-fashioning Bratz dolls with make-unders so as to resemble feminist heroes, my discomfort crystalized into something more concrete. Girls vs. Boys “Laptops”: Guess Which Does More? By Gwen Sharp, PhD, Nov 28, 2012, at 11:37 am Back in 2009, Lisa posted about microscopes and telescopes in a Toys’R'Us catalog.

Girls vs. Boys “Laptops”: Guess Which Does More?

Jouets stéréotypés : la lutte pour l’égalité hommes/femmes s’invite sous le sapin. Chaque année la polémique revient à l’approche des fêtes, avec la même régularité que le Père Noël dans la cheminée.

Jouets stéréotypés : la lutte pour l’égalité hommes/femmes s’invite sous le sapin

Les cadeaux de nos chères têtes blondes seraient trop « genrés », et véhiculeraient des stéréotypes qui contribueraient à la création d’inégalités hommes/femmes dans la société. Samedi dernier, une dizaine de femmes appartenant à plusieurs groupes militants (eFRONTé-e-s, Femens, la Barbe, Chiennes de garde) ont envahi un magasin de jouets pour protester contre les conséquences néfastes des jouets stéréotypés sur l’inégalité hommes/femmes. «On en a assez que les princes ne fassent rien» Placardée sur l’un des murs, une affiche donne le ton de la séance : «Filles/Garçons : cassons les clichés !»

«On en a assez que les princes ne fassent rien»

Dans la classe de CE1 de l’école polyvalente de la rue de Lancry à Paris (Xe arrondissement), c’est l’heure de la lecture commentée d’un album. Aujourd’hui, c’est Marre du rose. Soit le récit d’une petite fille gavée par cette couleur mais aussi par «les tralalas de princesse, les rubans et les poupées». «Selon vous, pourquoi le personnage en a marre du rose ?» Demande Isabelle Cabat-Houssais, l’enseignante. Pour Noël, cinq cadeaux pour enfants garantis sans sexisme. Il vous faut un cadeau pour une nièce ou un petit cousin, et vous ne voulez pas tomber dans le cliché de la princesse rose et du mécano bleu?

Pour Noël, cinq cadeaux pour enfants garantis sans sexisme

Quelques propositions pour sortir des stéréotypes de genre imposés par les marques. Si, comme une large majorité de Français, vous redoutez Noël, c’est peut-être à cause de ce moment angoissant où vous pénétrez dans le magasin de jouets. Les grands royaumes du jouet (aussi connus sous le nom de Toys’R’Us, La Grande Récré...) ont balisé votre chemin sur leurs terres. A gauche, un rayon plus rose que rose où les filles sont censées trouver leurs Barbies et leur nécessaire à dînette, et à droite, un rayon bleu foncé où les garçons doivent forcément se transformer en super-héros ou en bricoleur. Chaque année, c’est la même chose, les jouets sont markétés de façon genrée, histoire de pouvoir éviter toute liberté confusion.

Dorothy Lepkowska on gender and toys. It was back in the 1970s that feminist educational researchers first studied the implications of the tendency for girls to play with dolls, and for boys to play with cars.

Dorothy Lepkowska on gender and toys

They found that the way girls played developed their communication skills and emotional literacy, while boys' toys encouraged them to grow up with better technical knowledge. (20+) «Marre du rose»: nouvelle campagne contre les jouets stéréotypés. Aux filles les robes de princesse, aux garçons les super-héros: à l’approche de Noël, des associations féministes lancent une nouvelle campagne de sensibilisation aux stéréotypes sexistes véhiculés par les jouets, baptisée «Marre du rose». Des militantes d’Osez le Féminisme et des Chiennes de garde distribueront samedi des tracts devant des magasins de jouets à Paris et dans plusieurs villes de France.

Ces deux associations invitent aussi le grand public à interpeller l’industrie du jouet, en envoyant sur les comptes Facebook de grandes enseignes de distribution et de fabricants un message disponible sur leur site ( «Halte aux stéréotypes dans vos rayons!» , dit ce message, demandant l’abandon des rayons séparés filles/garçons et de «toute référence au sexe de l’enfant à qui le jouet est destiné, en particulier tout code-couleur rose/bleu».

Une association anglophone : Let toys be toys. Un blog : le cerveau n'a pas de sexe. Ce blog était mis en veilleuse pour cause de thèse en cours, mais trop c’est trop !

Un blog : le cerveau n'a pas de sexe

L’accumulation d’allégations fantaisistes sur les différences entre les sexes proférées au nom de la science, relayées par les médias alors que le débat sur l’adoption et le mariage « gays » fait rage et que celui sur la « théorie du genre » renaît, a eu raison de mes priorités. C’est Jean-François Bouvet sur LePoint.fr qui m’a fait craquer hier matin. Alors que deux députés viennent d’annoncer, estimant que le projet de loi sur le mariage et l'adoption s'appuie sur « la théorie du genre », qu’ils allaient demander une commission d'enquête sur l’infiltration en France de cette « idéologie qui consiste à dire que l'homme et la femme sont interchangeables », la rédaction du Point a décidé d’apporter une contribution scientifique au débat.

Illustration d'A. Chevallier.

Les écoles

Les fabriquants de jouets. Rapport du Sénat.