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Christianisme

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Ecrits sacrés chrétiens. Henoch.pdf. PDF. Catholicisme. Protestantisme. Orthodoxie. Mormonisme. Histoire du christianisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le développement historique des principales églises ; dans ce diagramme la position des branches n'a pas de signification autre que chronologique et démographique approximative.

La question des origines du christianisme est problématique en soi, selon qu'on se réfère à la théologie dogmatique de telle ou telle Église ou aux diverses écoles d'historiens[N 1]; Jésus-Christ est considéré comme l'unique Sauveur[4]. Pourtant, si la conscience de cette réalité ne fait aucun doute, la formulation ne va pas sans tâtonnements. Les Pères de l'Église fondent alors leur réflexion sur les textes de la Bible, regardés comme un ensemble cohérent dont les différentes parties se complètent[N 2]. Durant plusieurs siècles, l'alternance des opinions et des doctrines[5] amène les théologiens à définir avec une précision de plus en plus fine le dogme de l'Église. Christianisme des premiers temps[modifier | modifier le code] * Jésus est le Messie, le Fils de Dieu ;

Origines du christianisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Perspective historique[modifier | modifier le code] Quelle que soit la date de rédaction retenue pour les épîtres, les évangiles, les Actes, encore faut-il attendre que ces documents aient circulé. Le premier témoignage de cette circulation des écrits se situe en 140, quand Marcion arrive à Rome, sachant que rien n'atteste concrètement de la circulation des lettres de Paul, ni pour certaines d'entre elles, comme la Lettre aux Colossiens, qu'elles aient été envoyées, ni pour certaines autres (Romains) que leur forme actuelle soit leur forme initiale. Néanmoins la critique textuelle, c'est-à-dire l'évaluation scrupuleuse de la transmission des textes à travers les manuscrits, a permis d'établir un texte fiable des écrits du Nouveau Testament, en particulier pour des lettres de Paul (dont un échantillon significatif de papyrus date de la fin du IIe siècle et du début du IIIe siècle[1]).

École anglo-saxonne[modifier | modifier le code] ↑ K. Christianisme dans le monde romain. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article traite de différents aspects du christianisme dans le monde romain. Les questions posées par la christianisation de l’Empire romain[modifier | modifier le code] La progression du christianisme dans l’Empire est sujette à de nouveaux débats. En effet, les sources à la disposition des historiens rendent ardue la quantification du développement du christianisme[1]. Certains points semblent néanmoins établis. La question du développement du christianisme a longtemps été posée en termes d’affrontement avec la culture antique. Le christianisme, en devenant la religion de l’Empire romain au IVe siècle, sert à justifier un ordre politique autoritaire qui s’exerce au nom de Dieu. Pour l’Église d’Occident, romanité et christianisme sont tellement indissociables que les évêques trouvent normal de défendre l’Empire face aux barbares[12].

La grande persécution[modifier | modifier le code] Les empereurs chrétiens[modifier | modifier le code] Dieu le Père. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La « création de l'homme » après restauration La théologie chrétienne a développé la conception d'un Dieu trinitaire : Père, Fils et Saint-Esprit. Au sein de nombreuses croyances, il est donné au Dieu suprême le titre et l'attribut du Père. Dans plusieurs formes de polythéisme, le dieu au rang le plus élevé est représenté comme le père des dieux et des hommes comme dans l'Olympe ou au Panthéon[A 1]. Le judaïsme lui aussi développa certains attributs de Yahweh comme Père du fait de sa création, de l'éducation que donne Dieu et sa paternité envers le peuple d'Israël. Jésus dans son enseignement à travers les évangiles définit la paternité de Dieu comme étant l'élément essentiel de Dieu avec l'Amour.

La doctrine chrétienne va progressivement conceptualiser la paternité de Dieu à travers le dogme de la Trinité. Trinité[modifier | modifier le code] Dieu dans le judaïsme[modifier | modifier le code] Paternité de Dieu[modifier | modifier le code] Jésus-Christ. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cet article traite de Jésus en tant que Christ pour les chrétiens. Voir Thèse mythiste pour Jésus en tant que mythe, Voir Jésus de Nazareth pour l'aspect historique de Jésus, voir Îsâ pour Jésus en tant que prophète pour les musulmans. Il est considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils unique de Dieu et par les musulmans comme le Messie et prophète de Dieu. Représentation du Christ en croix, Église de Beaune, France. Ce n'est qu'à partir des recherches critiques du XIXe siècle que l'on a peu à peu dissocié Jésus-Christ, la figure historique, et Jésus de Nazareth, le personnage historique.

Le Jésus de l'histoire[modifier | modifier le code] Dans les premières décennies qui suivent la mort de Jésus de Nazareth vers 30, ses disciples vont se constituer en petites communautés autour de deux croyances : celle que Jésus était le messie attendu par les juifs, et celle qu'il était ressuscité et était apparu à un certain nombre de témoins. Saint-Esprit. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Saint-Esprit, ou Esprit saint, est l'Esprit de Dieu, et la troisième personne de la Trinité dans le christianisme. Il est aussi appelé l'Amour du Père et du Fils. Dans la Bible, le Saint-Esprit se manifeste dès l'Ancien Testament.

Le Nouveau Testament[1] suggère que l'Esprit saint est une personne différente du Père et du Fils, et formant avec eux un seul Dieu, même si le dogme de la Trinité n'a été formulé que progressivement, lors des conciles anciens, en particulier à partir du premier concile de Nicée. Le mot Esprit traduit dans le Nouveau Testament le mot grec Pneuma (littéralement Souffle). Définitions[modifier | modifier le code] Une des trois personnes de la Trinité chrétienne[modifier | modifier le code] Le Saint-Esprit est, pour les chrétiens, l'Esprit de Dieu, qui pousse à l'action les prophètes, et d'une manière plus générale non seulement les croyants mais aussi tous les êtres humains.

L'encyclique poursuit : Livre de Joël.