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DIY - Fait soit même

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Designed to win : l’impression 3D pour créer des chaussures de sprint. Un designer français a utilisé l'impression 3D pour créer une paire de chaussures ultralégères destinées aux sprinteurs. Une technique de fabrication qui pourrait démocratiser le sur-mesure, jusqu'à présent réservé aux athlètes de haut niveau. Découvrez les applications de l'impression 3D Dans le sport de haut niveau, chaque détail compte pour améliorer une performance. Dans le cas du sprint, grappiller quelques centièmes de seconde demande des efforts considérables. Ainsi, la moindre avancée technique sur l'équipement des athlètes peut avoir un impact décisif. Ces chaussures sont non seulement taillées sur-mesure mais aussi ultralégères, ne pesant que 96 g. La chaussure n'est pas encore aboutie car son concepteur travaille à améliorer la souplesse et le confort de certaines parties en jouant sur les matériaux et l'impression 3D.

Cela vous intéressera aussi Intéressé par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La quotidienne : nos dernières actualités du jour. L'impression 3D, la fabrication de demain ? Festival de hacker à Mix'Arts. Mix’Art Myrys accueillait ce week-end la troisième édition du Toulouse Hacker Space Factory. Factory comme fabrique car la communauté, réunie dans le fameux hangar auto-géré, va plus loin que l’image du geek rêvant d’infiltrer le site web du Pentagone.

Designers, graphistes, développeurs, techniciens télécom et nombre de curieux ont échangé, bidouillé, fabriqué autour d’une même idée : s’approprier les technologies pour conduire au fameux « Do It Yourself », leitmotiv essaimant partout en France ces derniers mois avec la création de nombreux FabLab. Une conception qui entre souvent en conflit avec le droit d’auteur, des brevets et du copyright. Ça tombe bien : neutralité et liberté étaient les thèmes choisis cette année. « Dessine-moi un sex toy » Faire preuve « d’un enthousiasme joyeux et s’amuser à être curieux.»

Produisant la plupart du temps des objets plastiques, « il en existe aussi avec du papier mâché mais aussi du chocolat » précise un connaisseur. Google+ Express Yourself in 3D. 3D Printer, 2nd Generation. Solidoodle, l'imprimante 3D à moins de 400 euros ! Avec un tarif placé en dessous de 400 euros, Solidoodle, une société américaine, rend accessible au grand public la création d'objets en 3D à partir d'une imprimante.

L'encre et le papier en moins, le principe de fonctionnement est assez proche de celui d'une jet-d'encre classique. Créer n'importe quel objet en plastiqueplastique en 3D à la maison, c'est un rêve d'enfant qu'il est techniquement possible de concrétiser depuis maintenant quelques années. À l'image d'une imprimante à jet d’encre qui éditer un document en 2D, des machines peuvent modeler des formes en 3D en déposant une matièrematière plastique. C'est d'ailleurs de cette façon que le laboratoire de Microsoft réalise ses prototypes d'accessoires, de la souris au joystickjoystick. Mais jusqu'à maintenant, les « imprimantes » étaient toutes gigantesques et le tarif totalement en rapport avec la taille de la machine.

Solidoodle : entre la machine à coudre et l'imprimante Une imprimante 3D bientôt chez nous ? Bioprintig : mode d'emploi pour construire son imprimante à cellules. Cellule imprimée grâce à l'imprimante HP transformée. La fluorescence verte à l'intérieur prouve bien que le colorant a été intégré. © Jove Bioprintig : mode d'emploi pour construire son imprimante à cellules - 2 Photos Le bioprinting est en plein essor. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de procédés permettant d’imprimer des tissus organiques en déposant des cellules vivantes sur des supports.

Les domaines concernés sont assez variés : reconstruction d'organes humains, réalisation de microbiocapteurs ou encore transferts de gènes à l’intérieur de cellules. Les machines employées doivent coûter une fortune... L’emploi d’une imprimante thermique à jet d’encre pour construire des tissus présente un second avantage de taille : les cellules imprimées gardent un trou ouvert dans leurs membranes plasmiques durant quelques heures avant de se refermer. L'imprimante HP DeskJet 500 après les modifications.

Construire son imprimante à cellules de A à Z Aucun logiciel n’est requis pour l’impression. Makers (2/2) : Refabriquer la société. Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier). L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market). Mais surtout, ces lieux s’implantent au coeur d’un écosystème qui favorise leur développement : écoles, musées, start-ups et grands acteurs de l’internet qui souhaitent redéployer leur activité en centre-ville… Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux.

On devine derrière ce mouvement makers, un véritable enjeu pour un apprentissage différent. Reprendre confiance dans sa capacité à créer Image : visite du Maker Space avec Michael Shiloh. Image : la voiture-oeuvre en forme de maison victorienne… Makers (1/2) : Faire société. “We are all makers” (Nous sommes tous des artisans).

Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge. Un bikini N12 entièrement conçu par impression 3D.

L’avenir de la programmation (1/6) : programmer, une activité culturelle ? « InternetActu.net-Mozilla Firefox. L’ordinateur est partout. Pourtant, tout est fait pour nous éviter d’en comprendre les mécanismes. Ce qui fait de nous un peuple d’analphabètes, trop occupé à jouer avec d’anciens médias (texte, vidéo, radio) pour réellement s’interroger sur l’architecture qui sous-tend le système.

“Programmer ou être programmé” clame Douglas Rushkoff dans son dernier livre. Pour lui, pas de doute, le software est devenu le média d’aujourd’hui. Et la clé du pouvoir réside dans notre capacité à programmer des systèmes. Cette constatation n’est pas neuve. Les Elois et Morlocks existent aujourd’hui, explique Stephenson : Les Morlocks sont ceux qui effectuent tout le travail intellectuel destiné à rendre compréhensible et facile d’accès une masse d’informations qui seraient, sinon impossibles à obtenir pour le commun des mortels (les nouveaux Elois), du moins difficile à collecter.

La pensée computationnelle De fait, certains ont été jusqu’à élaborer une pensée computationnelle sans ordinateurs. Rémi Sussan. Marcin Jakubowski: Open-sourced blueprints for civilization | Video on TED.com-Mozilla Firefox. 20 recommandations pour accompagner la révolution de la fabrication personnelle. La plus petite imprimante 3D n’est pas plus grosse qu’une brique de lait.

Habituellement, les imprimantes 3D sont imposantes, massives et hors de prix. Mais la donne pourrait bien changer avec celle-ci qui offre les dimensions d’une brique de lait.Cette imprimante a été créée par l’institut technologique de Vienne et a été spécialement étudiée pour les particuliers et des usages plus généralistes. Pas question d’imprimer un vélo tout entier, une maison ni même une voiture avec celle-ci, sa taille al réserve à des impressions de plus petite taille, mais elle devrait se révéler utile justement dans la création d’outils ou d’accessoires de précision. Pour le fonctionnement, il se base sur les procédés similaires : une résine synthétique est appliquée sur la surface de la trame, puis un rayon vient chauffer et figer instantanément celle-ci, puis les couches se succèdent jusqu’à obtenir le volume désiré.

Vendue 1700$, le prix reste attractif pour le grand public, et devrait faire l’objet d’une révision si elle venait à être produire à grande échelle. L’impression 3D rapproche l’objet du vivant. Par Rémi Sussan le 14/04/11 | 5 commentaires | 4,035 lectures | Impression Les imprimantes 3D, une révolution économique ? Sans doute. Mais peut-être plus que cela. Ces nouveaux outils pourraient induire une profonde transformation dans notre manière de fabriquer les objets, et nous faire entrevoir des perspectives que les techniques industrielles classiques ne nous permettaient pas d’imaginer. Pour preuve, les travaux de la designer et architecte Neri Oxman, qui dirige le groupe “Mediated Matter” au Medialab… Si la plupart de ses collègues s’intéressent à la création de nouvelles formes, elle réfléchit au contraire à la création de nouveaux matériaux. Neri Oxman possède le background voulu pour opérer cette fusion de l’objet et du vivant. Images : Différentes textures issues de différents projets de Neri Oxman.

“Nous quittons l’ère de l’information pour celle du matériau”, explique-t-elle dans cette même revue, “l’information sera intégrée au matériau lui-même. Open Source Ecologie, numérique, paysans et culture libre-Mozilla Firefox. EADS "imprime" un vélo en poudre de nylon. Fabriqué par impression 3Dimpression 3D, ce vélo en poudre de nylonnylon solidifiée conçu par EADSEADS est plus léger qu'un modèle en aluminiumaluminium mais tout aussi résistant.

Les technologies d'impression d'objets en 3D gagnent chaque jour en maturité. La filiale britannique du groupe EADS a présenté lundi 7 mars à la BBC, la chaîne de télévision britannique, l'Airbike, un prototype de bicyclettebicyclette fabriqué à partir de poudre de polyamidepolyamide (du nylon) aussi résistant qu'un modèle en acieracier ou en aluminium. Mis au point dans les labos d’Airbus près de Bristol dans le cadre de recherches portant sur le développement de pièces d'avion (ailes, fuselagefuselage, etc.), le procédé de fabrication baptisé Additive Layer Manufacturing consiste à déposer et à consolider couche par couche une poudre blanche de polyamide en suivant les plans d'un modèle d'objet en 3D mis au point sur ordinateurordinateur. Chaque objet est un empilement de milliers de tranches. Un hacker de la Listeria reprogramme la cellule. En images : les étonnantes sculptures microscopiques réalisées au laser. La porte de Brandebourg dans le micromonde. © Nanoscribe GmbH, Michael Thiel En images : les étonnantes sculptures microscopiques réalisées au laser - 4 Photos Sculpter des blocs de matériaux à l’aide d’un laser à onde continue pour y créer des structures submicroniques en trois dimensions est une occupation courante pour les membres de la société Nanoscribe.

La technique ne permet pas seulement de réaliser de saisissantes reproductions microscopiques, elle a des applications dans plusieurs domaines : en photonique (génération, transmission, traitement ou la conversion de signaux optiques), en microfluidique (manipulation des fluides dans des structures dont au moins l'une des dimensions caractéristiques est de l'ordre du micromètre) et même la biologie cellulaire. Une structure conçue sur ordinateur peut ensuite être reproduite sans problème avec le laser continu.

On voit ici la fameuse structure de la molécule de fullerène en ballon de football. © Nanoscribe GmbH Sur le même sujet. Urbee : la voiture imprimée en 3D. Dans un passé récent, on a réussi à créer des petits objets en 3D. Cette fois, l’impression en 3D avance d’un bond phénoménal à l’image de la création de Stratasys : Urbee, la première voiture conçue en 3D. Urbee est une voiture à deux places arborant un design futuriste et urbain. Cette voiture a été fabriquée grâce à l’addition de plusieurs procédés de fabrication. La vitre et la carrosserie sont obtenues avec l’imprimante 3D de Stratasys et le système Fortus 3D. Ce procédé utilise des outils de prototypage pour réaliser les pièces de la carrosserie.

Par conséquent, le coût a remarquablement diminué puisqu’on se passe de plusieurs tâches d’usinages avec une diminution de la main d’œuvre nécessaire. Pour le moment, elle fonctionne à l’essence et à l’éthanol. Le grand public pourra voir la toute première voiture imprimée en 3D lors du salon SEMA de Las Vegas. Sculpteo.com: l'impression d'objets 3D. Créée en 2009, la société française Sculpteo a ouvert un service d'impression 3D en ligne. A partir d'images numériques, l'internaute peut demander la conception d'un objet qu'il a lui-même inventé. Le principe est simple: l'utilisateur transfère via le site Sculpteo.com son dessin réalisé avec un logiciel (En informatique, un logiciel est un ensemble d'informations relatives à des traitements effectués automatiquement par un appareil informatique. Y sont inclus les...) de conception 3D comme Google (Google, Inc. est une société fondée le 7 septembre 1998 dans la Silicon Valley en Californie par Larry Page et Sergey Brin, auteurs du moteur de recherche Google.

Depuis 2001, Eric Schmidt en est le PDG...) SketchUp par exemple. L'objet peut être conçu en résine blanche ou bien avec de la poudre (La poudre est un état fractionné de la matière. Figurine imprimée en 3D Les objets peuvent mesurer jusqu'à 35 x 25 x 20 cm environ. Auteur de l'article: Cédric DEPOND. Quelques conseils pour se lancer dans la biotechnologie de garage. Par Rémi Sussan le 15/09/10 | 9 commentaires | 5,504 lectures | Impression Alors cette do it yourself biotechnology, c’est de la science-fiction ou pas ? En fait, c’est un peu entre les deux. Même s’il est difficile aujourd’hui d’imaginer équiper toutes les salles de bains de systèmes d’analyse d’ADN, il existe déjà certains aficionados qui cherchent à créer des outils d’analyse biologiques personnels accessibles à tous.

Cet été, deux blogs, Letters et Singularity Hub, ont apporté leur lumières sur le sujet. Cathal Garvey, dans son blog Letters détaille toutes les difficultés de la constitution d’un laboratoire personnel. Loin de se concentrer sur les domaines les plus “pointus” de la biotechnologie, il s’attarde sur des aspects tout aussi importants, mais moins hi-tech, comme le problème de la stérilisation, phase préparatoire indispensable au travail du biologiste. Comment équiper son garage ? Ensuite, il faut garder l’endroit stérile. Vers un marché grand public ? Ceux-ci arrivent. La prochaine révolution ?Faites-la vous même ! « Dans la prochaine révolution industrielle, les atomes seront les nouveaux bits« En janvier 2010, Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired et auteur de La longue traîne, tentait ainsi de résumer la révolution en cours du Do It Yourself (DIY, Faites-le vous même, en français).

Après avoir considérablement contribué à développer, et démocratiser, ce que l’on appelait au siècle dernier la « micro-informatique« , puis l’internet, hackers et bidouilleurs s’attèlent aujourd’hui à la fabrication et au développement de nouveaux objets, « libres« . Chris Anderson évoque ainsi la Rally Fighter, la première voiture de course « open source » (ses spécifications sont « libres« ), développée de façon communautaire, en mode « crowdsourcing » (du nom donné au fait d’utiliser la créativité, l’intelligence et le savoir-faire d’un grand nombre d’internautes). « Auparavant, les gens collaboraient dans leurs villages. Aujourd’hui, le village, c’est la planète. A quoi servent-elles ? A quoi ça sert ? Des Fab Labs en France ? Faire émerger le réseau Français de Fab Labs. Do It Yourself - Hacking Real Life.