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#démondialisation Downshift

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Franck Lepage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Franck Lepage est l'un des fondateurs de la coopérative d'éducation populaire Le Pavé[1]. Militant de l'éducation populaire, il a été jusqu'en 2000 directeur des programmes à la Fédération française des Maisons des jeunes et de la culture et chargé de recherche associé à l’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire[2]. En évoquant la mémoire de Christiane Faure, il aborde de façon critique le rôle de la culture dans la société avec un spectacle intitulé Inculture(s) 1 - L'éducation populaire, monsieur, ils n'en ont pas voulu…[3], qu'il a joué plus de quatre cents fois lors de « conférences gesticulées » entre 2006 et 2014.

Avec les quatre coopératives d'éducation populaire qui composent "la Grenaille", il accompagne la réalisation d'autres conférences gesticulées dans le cadre de formations organisées par ces coopératives. Une centaine de conférences sont réalisées fin 2014. Biographie[modifier | modifier le code] SCOP Le Pavé. Have We Bought Enough Yet? The author and activist philosopher John Ralston Saul traces how we in the West became Walmart societies, with lots of stuff and not much substance.

We bought ourselves here, and we can bring ourselves out. John Ralston Saul has every right to say 'I told you so'. He was way, way ahead of the pack in recognising that the international financial model he calls "globalism" was unsustainable. Now that it is collapsing, you would excuse a little smugness. But ask him if he feels vindicated and he is far from smug. "Well," says the 65-year-old Canadian novelist and essayist, "it's a pretty lousy vindication. "Yes I was right and I've been right since the early Nineties, and it's turned out exactly as I feared, but there's not much joy in all that.

" The fact that others have now come in large numbers to recognise the problem is of no great satisfaction in the absence of a solution. "What's distressing is the incapacity of our system to respond," he says. "I guess we all broke it, really. L’alternative protectionniste #1 – Déminer le débat. “La fonction du Front National dans toute cette histoire ? Le Front National, je le vois dans le système. C’est le truc qui permet aux journalistes du Nouvel Observateur de dire qu’on ne peut pas parler de protectionnisme.” E. Todd le 16.06.2011 La mondialisation avec son corolaire libre-échangiste bénéficient du soutien (de plus en plus tacite) des élites depuis plus de deux décennies. De l’utilité d’un sondage pour démontrer ? E. FN idiot utile L’analyse de la position du FN soulève quelque paradoxe. Pourtant le protectionnisme frontiste tire tous azimuts. Finalement, le parti frontiste, contrairement à ce qu’il prétend, s’intègre parfaitement au dispositif libre-échangiste.

Pourtant comme le note E. Vogelsong – 18 juin 2011 – Paris Like this: J'aime chargement… La démondialisation, un concept superficiel et simpliste. Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé, membres du Conseil scientifique d'Attac, s'inquiètent de la fortune rencontrée par la «démondialisation», qui induirait la suspension des logiques de coopération nécessaires au progrès des droits sociaux sans résoudre aucune des crises actuelles.

La violence de la crise mondiale et l'échec des politiques néolibérales aggravées font fuser de partout des propositions en apparence iconoclastes. La mondialisation néolibérale reposant sur la libre circulation des capitaux et la financiarisation du monde, les désastres provoqués par ces politiques ont suscité l'émergence à la fin des années 1990 d'un mouvement initialement qualifié par les médias d'«antimondialiste», qui, en mûrissant, s'est lui-même rebaptisé «altermondialiste». La «démondialisation» est un concept à la fois superficiel et simpliste. La crise sociale? La crise européenne? 188 – Sapir: Oui, la démondialisation est bien notre avenir. Une partie de la direction d’ATTAC a commis un texte attaquant la « démondialisation » et les « démondialisateurs ». Ce texte a été publié sur le site Internet de Médiapart[1]. Ce qui pourrait n’être qu’affaire d’opinion et de sain débat prend une tournure déplaisante en raison des méthodes de ces auteurs.

Attaquant tous azimuts, proférant de graves accusations, mais sans citer le moindre nom ni le moindre ouvrage, ils s’exonèrent ainsi du principe de vérification de leurs dires. C’est certes une astuce bien pratique, mais assez indigne dans son principe. Si l’on veut débattre, il faut pouvoir vérifier les propos tenus par les uns et les autres. Cet article est donc révélateur, dans sa forme comme dans son fond, des limites de ses auteurs. I. Nous avons chacun notre vérité, et je ne reproche nullement à ces membres du Conseil scientifique d’ATTAC de ne pas partager la mienne. Ce passage montre une grande confusion et un grand simplisme. Ah mais, me direz-vous, nul auteur n’est cité. Qui a peur de la démondialisation ? Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ».

Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » (1)… Dépolluer du FN Du problème en question, il est sans doute utile de commencer par déblayer la situation politique – entendre la dépolluer du Front national. Car l’on sent bien que la fortune de l’extrême droite qui capitalise sur ce thème n’entre pas pour rien dans les inquiétudes des signataires.

Au fait, qu’est-ce que la mondialisation ? Il y a alors deux définitions possibles de la mondialisation : De quelques approximations de l’anti-démondialisation.