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Articles de fond

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Le potager de la discorde. Résidence de chez Josée Landry et Michel Beauchamps (fin août 2012) En 2012, Josée Landry et Michel Beauchamps ne se doutaient sûrement pas que leur potager allait générer une telle controverse au sein de la communauté de Drumondville et qu’elle allait même faire le tour du monde. En effet, après s’être informés de la règlementation municipale concernant l’aménagement en façade de leur maison, ils se sont décidés à y aménager leur potager afin qu’il puisse profiter du plein soleil et de la protection contre les vents grâce aux grands arbres de leur voisinage.

De fait, l’arrière du terrain n’aurait pu y accueillir autant de biodiversité car trop ombrageux mais aussi occupé à 95% par la piscine, le patio, la remise et le coin BBQ. "J’avais un magnifique espace innoccupé en avant". "Pourquoi ne pas en profiter" déclara Monsieur Beauchamps. Like this: J'aime chargement… ASTUCES pour (Perma)CULTURE URBAINE - HUMUS SAPIENS. Le Potager Urbain.

Le potager urbain | Remerciements | page 5 remecemets Cet ouvrage ColleCti est le ruit de la participation bénévole d’experts qui ont accepté departager leurs connaissances et de donner au suivant. Nous remercions donc chaleureusement AnneFournier, Edith Smeesters, Lili Michaud, Gaëlle Janvier, Jasmine Kabuya-Racine, Manon Lépine,Mélanie Grégoire, Ismael Hautecoeur, Michel Richard, Nicolas Cadilhac et Nicholas Chiasson. À voustous, merci de vous être engagés à ond dans ce projet, malgré vos horaires chargés, merci pour voscommentaires constructis et pour votre disponibilité lorsque nous en avions besoin.Nous remercions également Lina Racine et Sandra Guimont, qui ont donné généreusement de leurtemps pour eectuer des recherches, réviser et corriger tous les textes de ce présent guide.

Josée et Michel Par Josée Landry et Michel Beauchamp G h y s l a i n B e r g e r o n. Ecologik Business/Newsletter EPI: MONDE: LES PRIX DE L'EAU MONTENT. Earth Policy Institute, extrait du livre Plan B 2.0 Pour Diffusion immédiate, le 16 mars 2007 texte en anglais: Lester R. Brown, traduit par Marc Zischka. En participant à une conférence en périphérie de Stockholm à l'automne 1974, j'ai marché à coté d'un jardin collectif près d'un building résidentiel. C'était une après-midi de printemps idyllique, avec beaucoup de personnes en train de jardiner tout près de chez elles. En juin 2005, l'organisation FAO des Nations Unies (Food and Agriculture Organization: Organisation de l'alimentation et de l'agriculture, ndlt ) rapportait que les fermes urbaines et péri-urbaines (c'est à dire à proximité immédiate des villes) fournissent la nourriture d'environ 700 million d'habitants urbains dans le monde.

A l'intérieur et autour de Dar es Salaam, capitale de la Tanzanie, il y a 650 hectares de terres qui produisent des légumes. Information complémentaire: www.earthpolicy.org. Futuribles. Gpc_ate.pdf. Permaculture, agroécologie, agriculture bio : quelles différences ? Par Cyril Dion L’agriculture biologique recouvre potentiellement le nombre le plus large de pratiques.

Cultiver en bio veut dire ne pas utiliser d’intrans, ni de produits phytosanitaires issus de la pétrochimie. Pour autant, il existe un bon nombre d’agriculteurs bio, qui, à cette exception près, travaillent presque comme des agriculteurs conventionnels : cultures de plein champs, en rang, sur une terre dénudée, beaucoup de travail du sol, très peu de biodiversité, beaucoup de mécanisation. Agroécologie L’agroécologie (en tant que pratique agricole) va plus loin. Permaculture La permaculture n’est pas à proprement parlé un système agricole. Elle va donc pouvoir intégrer l’ensemble des bonnes pratiques de l’agriculture biologique et de l’agroécologie mais également les énergies renouvelables, l’écoconstruction… Ses applications sont multiples : villes (notamment les villes en transition), entreprises, économie, énergie…

Et pour vous l'agriculture urbaine, pourquoi? Jardinage et developpement social. L’Incredible illusion Todmorden. Le nouveau buzz écolo Britannique du moment (après les Transition towns), ce sont les "incredible edibles". L’idée : des citoyens d’une ville qui cultivent dans l’espace public des plantes alimentaires qui sont données au libre prélèvement. Le concept est magnifique, plein de vitamines et de bonnes intentions comme le montrera le clip de propagande le documentaire ci dessous. Une fois que vous aurez la bouche pleine de guimauve (bio et locale), on pourra aller dans le fond des choses. Rentrons dans le lard tout de suite, tout d’abord, deux écueils dans cette initiative anglaise qui me semblent décisifs: sa nature collectiviste et sa prétention à l’autonomie alimentaire. Pour le premier terme, il est facile de l’identifier, les espaces cultivés n’ont d’autre propriétaire que la collectivité, et même pour les initiateurs de ce projet, tout esprit individuel est à proscrire.

On peut lire sur leur site: Les membres actifs travaillent sur l’espace collectif. Like this: J'aime chargement… L’agriculture urbaine prend racine à Montréal. À un mois de la grande consultation publique sur l’agriculture urbaine, la ville fourmille de projets. Une nouvelle ferme ouvrira dans l’ouest de l’île de Montréal et les ruches font un retour remarqué.

La Conférence des élus (CRÉ) amorce une vaste réflexion en vue de mettre en place un Plan de développement d’un système alimentaire durable et équitable. Prévu pour décembre 2013, ce Plan sera le fruit d’une douzaine d’ateliers de travail qui réuniront plus d’une centaine d’organismes. L’idée générale sera d’améliorer la lutte contre l’insécurité alimentaire (8 % des Montréalais ne mangent pas à leur faim, selon la Direction de la santé publique). Mais aussi de privilégier les produits cultivés dans la métropole et de promouvoir une meilleure alimentation (les personnes en surpoids ont augmenté de 30 % en 20 ans à Montréal). La moitié des récoltes sera vendue afin de financer le projet, et l’autre moitié sera distribuée aux banques alimentaires. La permaculture au sein de l’agriculture urbaine : Du jardin au projet de société. 1Stimulée par une recherche contemporaine de relations environnementales et collectives plus harmonieuses, l’ambition d’une agriculture intégrée à des cycles écologiques durables rencontre un souhait citoyen de réinvestir la ville.

Les expériences présentes de permaculture et leurs développements dans le mouvement des villes en transition tendent vers ces objectifs. Cet article, prolongeant les potentialités d’aménagement de l’agriculture urbaine au travers de la permaculture se propose de décrire les possibilités de mise en œuvre de production de « cultures alternatives » dans leurs sens le plus large. Pour cela, nous essayerons d’abord de définir la permaculture à partir d’elle-même. Puis, nous chercherons sa spécificité dans ses contrastes avec les disciplines qui travaillent l’agriculture urbaine : l’agriculture et l’urbanisme.Ensuite, nous envisagerons la permaculture, non plus comme seule méthode d’agriculture dans la ville, mais comme une méthode de conception de l’urbain.

Le végétal dans la ville : l’élément vital. Le rêve d’une ville réconciliée avec la nature se propage : au XXIe siècle la ville sera végétale, prônent de plus en plus d’urbanistes. Il s’agit notamment d’apporter à la ville les fonctions écologiques de la biodiversité : le végétal tempère le micro-climat, humidifie l’air ambiant et réduit les îlots de chaleur. Lorsque les précipitations sont abondantes, il absorbe l’eau et ralentit la saturation des réseaux d’écoulement. Sur les murs et les toits, il agit comme un isolant. Il filtre l’air de certains de ses polluants et de ses poussières, il atténue le bruit.

A lui seul, le végétal combine de grandes performances technologiques. Source: les cités végétales de Luc Schuiten Le végétal dans la ville, des bienfaits psychologiques et sociaux Depuis 2007, la moitié de la population mondiale est urbaine. Végétaliser les villes est donc une solution: par exemple, lorsque l’on dispose d’un parc ou d’un jardin près de chez soi, on sort, tout simplement [i]. Source: High Line par Joel Stemfeld. Pas de béton, des jardins ! Photo: brassicanigra.org Le texte qui suit a été écrit par R. Vaneigem en soutien à la lutte locale d’un collectif spontané de Turin qui a transformé des terrains laissés dans une triste situation d’abandon en une joyeuse fête des Jardins Potagers de Mirafiori.

Ces terres, entourant l’ancienne gare de chemin de fer délaissée par l’incurie du profit, ont retrouvé les couleurs de la vie, mais cela ne plait pas – et pour cause – aux marchands de mort du capitalisme. Ainsi cette lutte continue, sous la menace d’une intervention policière vouée à la défense, aussi symbolique que musclée, d’une propriété privée de tout et, notamment, désormais, privée de sens. La terre appartient à qui la rend meilleure Si une municipalité se montrait soucieuse du bien-être des citoyens, dont elle sollicite les suffrages et qu’elle est donc censée servir et représenter, elle entreprendrait de transformer partout les terrains vagues et les bâtiments inoccupés ou parasitaires en jardins, en potagers, en vergers. La cité potagère, fantasme ou réalité ? Permaculture à Cuba. Conférence publique : "Les jardins partagés en Île-de-France" Téléchargez le powerpoint de cette conférence en cliquant sur le lien ci-dessous : Powerpoint de la conférence.

Dans le cadre de son cycle de conférences mensuelles, et à quelques jours de la Fête des Jardins, Natureparif a le plaisir d’inviter le public à la rencontre : « Les jardins partagés en Île-de-France » animée par Nathalie DACLON, Cabinet de Fabienne Giboudeaux, Adjointe au Maire de Paris chargée des espaces verts, et Laurence BAUDELET, Coordinatrice de Graine de Jardins. Le jeudi 15 septembre 2011, de 18h à 20h. A l’auditorium de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), au 84 rue de Grenelle – 75007 Paris (Métro Rue du Bac) Entrée libre et gratuite, dans la limite des places disponibles Né dans les années 1990 à l'initiative du réseau Le Jardin dans Tous Ses Etats, le concept de jardin partagé s'est peu à peu diffusé en France. Cette conférence se propose d'esquisser à grands traits l'histoire des jardins partagés avant d'explorer la richesse des jardins franciliens.

Armer les villes contre la faim ... - Montreal:consultation publique sur l’agriculture urbaine. Le Regroupement des éco-quartiers (REQ) salue la qualité exceptionnelle du rapport de consultation publique sur l’état de l’agriculture urbaine (AU) à Montréal présenté par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM). Une mobilisation entendue Le processus de participation publique a été à la hauteur de la mobilisation sans précédent à l’origine de la consultation.

L’utilisation du droit d’initiative par le dépôt de plus de 29 000 signatures constitue une première en matière de démocratie participative à Montréal. La diversité des points de vue exprimés lors des diverses séances de consultation en témoigne. Le REQ estime que le rapport dresse un portrait représentatif de l’AU et des attentes des participants. Des recommandations à mettre en œuvre Le REQ souhaite que la Ville de Montréal concrétise dès que possible les recommandations de la commission. Le REQ est interpellé par les recommandations de la commission. Le Regroupement des éco-quartiers Renseignements : Appel relocalisation 2012. Jardiner les abords de l'habitat en ville. Agri Urbaine et Périurbaine-Articles. Revégétaliser l'urbain. Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. Revégétaliser l’urbain, c’est remettre la nature au cœur de la ville. Cours, bords de fenêtre, murs et toits, terre-pleins… sont autant d’espaces dans lesquels nous pouvons réintroduire une biodiversité qui nous reconnecte au mouvement naturel des saisons et nous permet d’apprécier la beauté et la richesse du vivant.

Glenwood Green Acres est l'un des jardins communautaires des plus grands et des plus dynamiques de Philadelphia Ces espaces peuvent devenir de véritables terrains d’expérience et de sensibilisation aux questions d’environnement, mais également des lieux d’expression, d’apprentissage, de production alimentaire… Souvent gérés collectivement, ces lieux deviennent de nouveaux espaces de citoyenneté. On sait que les espaces verts, en ville, sont des lieux privilégiés de socialisation.

Pourquoi revégétaliser l'urbain ? Où planter ? Mise en pratique Créer un jardin partagé Dans les écoles, les entreprises… Pratiquer la « green guerilla » De l'eco quartier à la ville durable. L'Archiborescence - Luc Schuiten. Magnifique cité végétale de Luc Schuiten. Le 5 octobre 2009 | Par Anne-Sophie Ses articles Son Twitter Touchée par le virus de l'info & des médias, éco-convaincue de longue date, j'aspire à mobiliser les consciences à grande échelle...

La semaine dernière, Grégoire vous parlait du mouvement des villes en transition. Face à l’urgence climatique, deux comportements sont possibles: faire l’autruche et continuer ainsi sans crier gare… ou considérer l’avenir comme une tentative de réconciliation et de coopération avec la nature. Re-végétalisons la ville Pour l’architecte visionnaire bruxellois Luc Schuiten, nous avons trop vite oublié que nous sommes avant tout des êtres biologiques installés sur une planète elle même vivante.

Ainsi, à travers différentes perspectives futuristes, évoluant dans le temps, un monde cohérent et poétique, faisant appel à l’imaginaire se construit progressivement. L’ »archiborescence », un nouveau mode de construction ++ Liens ++ ++ Livre ++Vegetal City, de Luc Schuiten, 144 pages couleurs format 24x24cm.