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L'entreprise face aux nouvelles générations

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Gen Z: The future has arrived. Rapport 2017 02 rapports jeunes travail. Comment les futurs managers imaginent leurs espaces de travail ? Une étude Mon Bureau de Demain de la Chaire Immobilier et Développement Durable de l’ESSEC Business School - Monde des grandes écoles et universités. Communiqué de presse – Réalisée par la Chaire Immobilier et Développement Durable de l’ESSEC, sous la direction du Professeur Ingrid Nappi-Choulet, cette enquête révèle la manière dont les étudiants d’une grande école de commerce imaginent leur bureau de demain. L’enquête a été menée en ligne du 24 mai au 20 juin 20161. Quatre enseignements majeurs ressortent de cette enquête. Le premier réside dans la fin programmée du bureau classique au profit de modèles plus innovants. Le deuxième concerne la relation ambiguë qu’entretiennent les répondants vis-à-vis des tiers-lieux. > Le bureau classique a fait son temps… Le bureau classique d’administration a fait son temps : il n’a la préférence que de 13 % des répondants.

Pour autant, l’extrême inverse du bureau classique, que l’on pourrait appeler « à la Google », est loin de remporter tous les suffrages. > … Mais l’open-space conserve une certaine attractivité > Une hiérarchie visible n’est pas toujours mal vécue > L’impression d’un plébiscite. Les Millennials : les comprendre pour mieux les capter.

Y a-t-il une génération Millennials ? Les grandes entreprises mais aussi les universités et les grandes écoles prennent très au sérieux ces catégories qui peuvent paraître au premier abord artificielles, empreintes de marketing et de novlangue. Des banques (Goldman Sachs), des cabinets d'audit (Deloitte), des think tanks (La Fabrique de la cité) leur consacrent des études. L'enjeu : connaître les 18-30 ans pour les informer sur sa marque employeur – concept qui vaut également pour les grandes écoles qui "recrutent" – et aussi attirer les talents qui se cachent parmi eux. Des générations qui changent tous les quatre ans "Le concept des générations Y, Z ou Millennials est une réalité, surtout en sociologie des usages, soutient Catherine Lejealle, sociologue et professeur à l'ISC Paris.

Ce sont des générations courtes qui renouvellent tous les quatre ans les usages des TIC [technologies de l'information et de la communication]. Dans l'immédiateté et l'ubiquité Ils sont plutôt tribaux. La journée de travail des générations Y et Z va vous étonner. On a beaucoup parlé du nouveau rapport des jeunes au travail, des exigences des générations Y et Z au niveau du management, de leur défiance vis-à-vis du monde de l’entreprise… Mais tout cela n’est rien en comparaison de leurs manières de travailler, radicalement différentes de celle de leurs aînés, les baby-boomers et la génération X. Les horaires, c’est l’horreur Pour les digital natives qui sont nés avec les nouvelles technologies, le temps ne s’écoule pas de la même manière. L’espace aussi est replié et raccourci de même que l’accès à l’information, comme l’a décrit Michel Serres dans son livre Petite poucette.

Multitasking, blurring, bleisure et micro-leisure… Les conséquences sur le déroulement d’une journée de travail sont nombreuses : on parle de multitasking, le travail multi-tâches qui nous fait zapper d’un dossier à l’autre et perdre en efficacité, mais aussi de « blurring » pour désigner l’effacement de la frontière entre la vie professionnelle et personnelle. Faut-il embaucher les « 42 » ?, Parcours. À « 42 », la fin des cours ne sera pas ponctuée par une cérémonie de remise des diplômes. Et pour cause, l’école d’informatique gratuite, financée par l’homme d’affaires Xavier Niel, ne remet pas de diplômes . Mais les premiers développeurs qui ont terminé leur autoformation dans les locaux sans professeurs du boulevard Bessières, à Paris, ne s’inquiètent pas outre mesure : sur un marché du travail riche en postes à pourvoir, leurs compétences sont désirées .

Mais comment s’intégreront-ils après un cursus d’apprentissage entre pairs et en autonomie, à des années-lumière des modes de travail des grandes entreprises ? L’école 42 se donne trois ans pour transformer ses élèves, parfois non bacheliers, en « professionnels aux compétences recherchées » . « J’ai appris à apprendre » Guillaume Bersac a, quant à lui, terminé son cursus. Les enjeux de l’évolution du travail dans la société digitale » OPENMIND KFE. Usages et impacts des réseaux sociaux et du digital dans l’entreprise (2/2)

ENQUÊTE – Le digital crée un métier dans une entreprise sur deux. Les réseaux sociaux d’entreprise se développent. Les directeurs du Digital arrivent. Mais l’accompagnement des managers et des salariés laisse à désirer. Dernières conclusions de l’étude Cegos 2014 « Usages et impacts des réseaux sociaux et du digital dans l’entreprise ». Les Community managers cités en premier A la question » De nouveaux métiers, liés aux réseaux sociaux, sont-ils apparus dans votre entreprise ces dernières années ? Le community management est donc devenu, en quelques années, une activité professionnelle intégrée par les entreprises, et non plus une expertise seulement réservée aux agences, aux start-up et autres pure players. Mais le numérique crée aussi des postes plus stratégiques dans les entreprises puisque les fonctions de responsable médias sociaux sont immédiatement cités ensuite (43%).

Les Directeurs du digital font leur apparition Le réseau social d’entreprise gagne du terrain. Usages des réseaux sociaux et du digital dans l’entreprise (1/2) L’étude Cegos 2014 sur les « Usages et impacts des réseaux sociaux et du digital dans l’entreprise » révèle que les salariés sont de plus en plus accros aux réseaux sociaux. Près de 8 salariés sur 10 utilisent au moins un réseau social. Facebook en tête. Ils s’y expriment d’ailleurs davantage, y compris à propos de leur entreprise. Cegos a révélé les résultats 2014 de la 2ème édition de son baromètre « Usages et impacts des réseaux sociaux et du digital dans l’entreprise ». Des salariés connectés L’usage des réseaux sociaux s’est généralisé. Reste que près de 20% des salariés refusent d’utiliser un réseau social. Une prise de parole plus libre sur les réseaux sociaux Les salariés n’hésitent pourtant pas à prendre la parole sur ces réseaux pour parler de leur entreprise.

Une prise de parole plus forte, mais aussi plus prudente… A la question « Lorsque vous vous exprimez sur les réseaux sociaux, avez-vous des craintes vis-à-vis de votre employeur/entreprise ? Le sujet est vaste ! Entreprise numérique et Génération Y, Z... Pourquoi les entreprises cherchent-elles à limiter l’usage des mails par leurs salariés? VIE EN ENTREPRISE Le site de vente en ligne PriceMinister vient d’annoncer l'instauration d'une demi-journée par mois sans e-mail, à l'instar de plusieurs entreprises qui ont déjà tenté de limiter le flux de courriers électroniques...

Delphine Bancaud Haro sur le mail. Le groupe PriceMinister vient d’annoncer qu’il allait instaurer une demi-journée par mois sans e-mail pour aider ses salariés à mieux communiquer entre eux. L’usage du mail sera toujours techniquement possible, mais les salariés devront en limiter l’utilisation à des courriels indispensables. Une initiative qui n’est pas une première en France, car plusieurs entreprises ont déjà mis en œuvre des programmes de «détox» relatifs au courrier électronique.

C’est le cas d’Atos qui a initié un programme «Zéro e-mail» en 2011, en incitant ses collaborateurs à utiliser de préférence la messagerie instantanée interne, le téléphone ou le système de conférence web pour communiquer. *Lire vos mails nuit gravement à ma santé ! Bienvenue dans le nouveau monde des PDG de la génération Y  - Think Progress FR - Think Progress FR. Ils sont à peine sortis de la vingtaine qu’ils dirigent déjà leur propre entreprise. Pourquoi parle-t-on tant de ces patrons de la génération Y ?

Si vous voulez prendre un coup de vieux, pensez à toutes les personnes nées en 2000 et prenez conscience qu’elles envahiront le marché du travail d’ici peu. Encore plus choquant pour certains, la fameuse « génération Y », soit les personnes nées entre 1980 et 1999, compte de nombreux grands patrons. Pensez par exemple à Mark Zuckerberg (31 ans), patron de Facebook et Aaron Levie (29 ans), patron de Box. Pourquoi une entreprise pourrait-elle donc avoir envie d’un patron trentenaire inexpérimenté ? D’une part, la génération Y représente ce que Jason Ashlock de Frontier Project nomme la génération « Pourquoi faites vous cela ?

La grande question est de savoir si tout cela permet effectivement aux entreprises d’être mieux gérées. Il est clair que les patrons de la génération Y n’approuvent pas les méthodes cloisonnées d’hier. Comment les générations Y et Z voient le monde de l'entreprise. A l’occasion de la 4ème édition du Positive Economy Forum, Challenges, partenaire média de l’événement vous invite à découvrir celles et ceux qui portent des projets innovants au service d’une économie et d’une société plus positives. Jacques Attali, Président du Positive Economy Forum, résume ainsi l’objectif de ce Forum: « les grondements croissants du monde, les enjeux du climat, de la violence, du chômage, de l'exclusion, du fanatisme, du désespoir des jeunes, montrent plus que jamais l'urgence d'agir dans l'intérêt des générations suivantes, qui est aussi le nôtre. Pour que notre monde devienne harmonieux. Venez rejoindre au Havre tous ceux, plus nombreux que jamais, qui, à l'invitation de la Fondation Positive Planet, veulent réfléchir et agir ensemble pour imposer ce changement profond, dont dépend la survie de notre civilisation, et de notre liberté ».

Une génération de « pourris gâtés » Et voici que débarquent les Z ! Voici pour les Y. L’entreprise pour toi ? Les aspirations professionnelles des jeunes à l'ère du numérique. Quelles sont les ambitions professionnelles des futurs diplômés attirés par le numérique ? Qu’attendent-ils de leur premier employeur ? Ces questions de projection et de perception relatives au secteur d’activité sont assez récurrentes ; selon les choix de carrière effectués par les étudiants en fin de formation, et les secteurs qu’ils convoitent le plus, les aspirations varient nettement. Parmi les répondants à l’enquête carrière Universum, nous nous sommes intéressés de près aux étudiants sur le point d’être diplômés d’une école de commerce ou d’ingénieur et ayant mentionné la volonté de commencer leur carrière dans les secteurs Informatique/IT/Tech.

Ces jeunes se différencient principalement des autres par leur quête grandissante de défi intellectuel et d’esprit entrepreneurial. Ils ont finalement le profil type de l’entrepreneur : ils désirent travailler dans un environnement en forte croissance et privilégient la prise de risque à l’assurance d’une solidité financière. Les Z, ces indomptables du travail. La génération Z est en train de bouleverser les méthodes et l’organisation du travail en profondeur.

Exigeants, autonomes et créatifs, ils plébiscitent les formations alternatives à l’école, forcent les entreprises à offrir plus de flexibilité et font grimper la côte de popularité des statuts indépendants. La place du travail Une valeur travail forte mais une réussite professionnelle en second plan De manière générale, les jeunes sont toujours attachés à la notion de travail, de contrat avec la société. C’est un moyen identitaire qui demeure important pour eux; ils ne sont pas dans la logique de refuser de travailler. Globalement, la valeur travail s’est plutôt renchérie dans une période de pénurie et de conditions difficiles. La précarité du marché redéfinit le mode de vie Cette génération, née dans un contexte de crise économique et financière - que les Y étaient en train de subir dans le même temps - a été bercée dans une atmosphère morose et pessimiste. La fin des diplômes. Les pratiques numériques des jeunes en insertion socioprofessionnelles.

Emmanuelle Duez - Positive Economy Forum - Le Havre 2015 - Français.