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L’avenir de la réutilisation des données publiques. En préfiguration de Lift avait lieu l’Open Data Garage, une journée d’ateliers et de conférences qui a permis de faire le point sur les initiatives open data françaises. Retour sur cette journée via ses contributions les plus éclairantes. « Trop souvent, le savoir c’est le pouvoir et les élus pensent que le pouvoir ne se partage pas », estime Christophe Castaner, vice-président de la région PACA et maire de Forcalquier en introduction de cette journée. « Il est important de porter le discours politique comme quoi l’information est un droit, un service public. On sait que la libération des données publiques concourt directement à l’attractivité d’un territoire, à sa capacité d’innovation. C’est pour cela que nous devons assurer l’exemplarité et engager un chantier pour que l’institution régionale applique à elle-même ces principes.

Un monde de données réutilisables Les données sont partout. Quel impact économique ? Il demeure difficile d’évaluer l’impact de l’open data. Hubert Guillaud. Présentation | www.edulibre.org. Open source : la Ville de Paris ouvre ses données au public. 01net le 28/01/11 à 08h30 Paris rejoint Rennes dans le groupe, pour l'instant très fermé, des villes françaises qui ont décidé de partager avec les internautes leurs données publiques, en les plaçant sous licence libre. La Mairie annonce en effet l'ouverture ce 27 janvier du site Paris Data, qui « recense et met à la disposition de tous des millions d’enregistrements issus de ses bases de données ». Rangées dans différentes catégories (citoyens, urbanisme, déplacements, services, environnement, culture) et disponibles dans plusieurs formats (CSV, TXT, XLS…), les données placées sous une licence adaptée de l'ODbL (Open Database Licence) de l'Open Knowledge Foundation sont accessibles en quelques clics.

Sous certaines conditions, les internautes sont autorisés à copier, distribuer et utiliser la base de données, produire des créations (des applications, par exemple) à partir de celle-ci, ou encore de l'adapter. Nombreuses réflexions Les données de la ville de San Francisco. Et si Internet et le Libre réalisaient la société sans école d'Ivan Illitch ? Je suis en train de lire Une société sans école du prêtre catholique et iconoclaste Ivan Illich. Rédigé en 1971, c’est un ouvrage que je conseille à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à la question éducative (autant dire à tout le monde). Si j’avais lu ce livre au jour de sa sortie, je me serais certainement dit que j’étais en face d’un bel utopiste, aussi brillant soit-il. En le découvrant quarante ans plus tard, à l’ère d’Internet et de tous ses possibles, je crois plutôt avoir à faire à un grand visionnaire.

Voici ce qu’en dit la quatrième de couverture de mon édition de poche collection Points Essais : « L’école obligatoire, la scolarité prolongée, la course aux diplômes, autant de faux progrès qui consistent à produire des élèves dociles, prêts à consommer des programmes tout fait préparés par les autorités et à obéir aux institutions. Et page 128, il y a cette citation que je trouve absolument remarquable et qui a motivé la rédaction de ce court billet : Logiciels libres et enseignement. Répertoire de logiciels libres pour l'éducation : : Répertoire : Thot Cursus. Plus de 110 logiciels fort utiles pour l'enseignement et l'apprentissage. Framasoft, site collaboratif dédié au Libre, propose une impressionnante sélection de logiciels libres utiles dans tous les domaines.

Parmi ceux-ci, on retiendra le domaine de l'Education, pour lequel Framasoft propose plus de 110 logiciels. Les logiciels sont classés en six catégories : On constate que les catégories devraient être mises à jour, et on regrette qu'il n'y ait pas une page portail reprenant toutes les catégories. Il faut donc, dans le répertoire général, cliquer sous chaque sous-catégorie de la catégorie "Education" pour avoir accès aux listes.

A ceci près, le répertoire est très pratique : les "indispensables" sont mis en valeur et chaque logiciel est présenté au moyen d'une phrase de description, de la liste des OS sur lesquels il peut être installé et bien sûr d'un lien direct vers le site de téléchargement. Le répertoire évolue constamment, au gré des suggestions des visiteurs du site. Le logiciel SCRATCH. Présentation du logiciel Scratch est un environnement de programmation visuelle et multimédia basé sur Squeak. Le media lab du Massachussetts Institute of Technology (MIT), a mis au point un langage de programmation qui permet de créer de manière très simple des histoires interactives, des animations, des jeux, de la musique et des œuvres d’art pouvant être échangées via le web Le logiciel est utilisable dès l’école primaire. Scratch est disponible sous Windows, Mac OS X et Linux et est diffusé sous une licence libre MIT.

Les utilisateurs doivent assembler des blocs qui représentent les différents commandes et actions. Le langage est axé sur l’objet. Fonctionnalités Scratch est un logiciel de programmation destiné à apprendre la programmation aux enfants à partir de 7 ans. Pour programmer dans Scratch, il suffit de suivre des procédures simples : Mettre en place un décor Prévoir des personnages Prévoir des "sprites" Utiliser les briques de commande toutes prêtes pour programmer.

Liens. Université libre et ouverte pour l'apprentissage par les pairs : Articles : Activités : Thot Cursus. La Peer 2 Peer University (P2PU) est sans conteste un phénomène éducatif unique en son genre. Cette université en ligne lancée en 2009 se présente comme un programme d'éducation ouverte et d'apprentissage tout au long de la vie mis en place à côté de l'enseignement supérieur formel. Offre éducative Chaque année, la P2PU offre trois semestres de cours. Le prochain démarre en avril 2011. Les cours sont créés et animés par des volontaires de la communauté P2PU. Tout le monde peut se faire aider pour en créer ou suggérer la création d'un cours. La communauté veille à ce que ces cours soient de qualité ou au moins de niveau comparable aux programmes courts offerts par les universités traditionnelles. Peu de temps avant de le début du semestre, les inscriptions sont ouvertes. Au fil des semestres, l'offre éducative du P2PU se diversifie avec notamment l'organisation de certains cours en curriculum et en prime des écoles ouvertes elles-aussi pour les délivrer.

Voir : P2PU. La Freedom Box ou la petite boîte qui voulait que l'Internet restât libre. Paradoxes apparents. Peut-on simultanément souhaiter la fermeture des données et l’ouverture d’Internet ? Peut-on se féliciter du rôle joué par Facebook et Twitter en Tunisie ou en Égypte tout en affirmant que ces sites sont à très court terme dangereux pour ceux qui les utilisent ?

C’est cette double problématique qui est au cœur de la FreedomBox Foundation, le nouveau projet du brillant juriste de la FSF Eben Moglen qui fait régulièrement l’objet de billets sur ce blog. Et la solution qu’il nous propose est aussi simple que de brancher son chargeur de téléphone, à ceci près que c’est alors un mini serveur que nous mettons dans la prise (sous OS libre évidemment)[1] Il est ici question de nos données personnelles, de notre vie en ligne, de notre manière de communiquer et d’interagir avec les autres. Personne ne nous a obligés. Que se passe-t-il le jour où ces quelques sites sont rendus volontairement ou non inaccessibles ? Ils nous auront prévenus en tout cas… Open Source Mac - Free Mac software, all open-source, all OS X. Ubuntu en salle des profs. Depuis la rentrée, non seulement les ordinateurs de la salle des professeurs, mais aussi ceux dans nos deux salles multimédias, sont en multiboot Windows Xp / Ubuntu.

Pour être honnête, bien qu'utilisateur de debian depuis bon nombre d'années, je ne pensais pas que cela réussirait à intéresser du monde vue les remarques ou commentaires dont je suis témoin, mais j'ai absolument voulu offrir l'alternative. Force est de constater que je me suis trompé dans ma prédiction : les réactions ont été diverses et parfois inattendues...

Le titre est un clin d'oeil à l'un de mes collègues développeur, j'ai hésité nlongtemps avec "Linux, cet inconnu". Pour placer le contexte, cela concerne une soixantaine de machines, qui ne sont pas des bêtes de courses, dans un réseau dirigé par un serveur sous debian. J'ai pu exploiter le principe de connexion pour l'installer sous Ubuntu, et fait en sorte d'installer des solutions équivalentes sous XP et sous Ubuntu. Présentation de l'interface Logiciels classiques. CRDP de Franche-Comté : Logiciels libres. Les logiciels libres et l’Éducation - Une conférence de Jean-Pierre Archambault (vidéos issues du site Framasoft) Quel est l'intérêt du logiciel libre ? Autour de l'idée du logiciel libre s'est constituée une importante communauté de programmeurs, d'utilisateurs, de traducteurs, de graphistes, etc. Ceux-ci travaillent dans des dizaines de milliers de projets, dont l'envergure et le mode d'organisation sont très variables.

Cependant, dans la majorité des cas, le développement est massivement décentralisé et Internet est au cœur de l'organisation des projets. Eric Steven Raymond a comparé la spécificité des méthodes de développement du logiciel libre à un bazar : le développement des logiciels se fait par la coopération d'une multitude de développeurs et se caractérise par une adaptabilité et une flexibilité Pour un établissement scolaire, les avantages des logiciels libres sont multiples : Wikipédia Logiciel libre et enseignement : une évidence ? Google Art Project : un musée pas si ouvert. Quand Google offre aux 2 milliards d'internautes terriens une visite gratuite des plus grands musées du monde et l'accès à 1061 célèbres tableaux photographiés en très haute résolution, comment peut-on l'accuser d'œuvrer contre l'intérêt général ?

De restreindre l'accès du grand public au patrimoine culturel ? Une telle position paraît pour le moins absurde en regard du Google Art Project sorte de Google Street View intra-musées mis en ligne la semaine dernière. Et pourtant, ces arguments sont défendus par de nombreux militants libristes, dont les contributeurs des projets Wikimédia, qui ont une tout autre idée de la notion de partage de la culture. Ils déplorent notamment que les reproductions ne soient pas téléchargeables, et que Google évoque une protection de ces images par le droit d'auteur, alors que nombre des œuvres concernées sont tombées dans le domaine public depuis belle lurette.

Le projet est impressionnant. Détail de “La Nuit étoilée” de Van Gogh -- DR Google ? DR MoMA ?