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Changement des métiers

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Etude sur la transformation numérique des métiers publics : 3 questions à Emmanuel Constantin, directeur de projet à la DITP. Métiers du futur: vivre et travailler en 2030 - Kadoblog. Nous nous trouvons dans la quatrième révolution industrielle.

Métiers du futur: vivre et travailler en 2030 - Kadoblog

Et comme à chaque révolution industrielle, celle-ci a un impact énorme sur le domaine du travail. Les métiers de la santé menacés par la numérisation? Robolution : comment les robots changent nos entreprises. Relayant des formes de mise en garde largement diffusée au cinéma (2001, l’odyssée de l’espace, Terminator, Matrix…), de très nombreux ouvrages récents pointent les dangers de l’essor des technologies numériques et de l’entrée des robots dans nos environnements et en particulier dans les entreprises.

Robolution : comment les robots changent nos entreprises

De nombreux spécialistes s’en inquiètent, fondant leur pessimisme sur des analyses philosophiques (les dangers liés à un possible asservissement de l’homme à la machine) ou plus économiques (fin de la « destruction créatrice » à la Schumpeter qui voyait de nouveaux secteurs et emplois prendre le relais de ceux rendus obsolètes par le progrès technique). La grande mutation technologique en cours Carl Benedikt Frey et Michael Osborne, deux chercheurs de la Oxford Martin School concluaient en 2013 que 47 % des emplois américains étaient menacés par l’automatisation. Une robotisation encore peu effective dans nos entreprises Un inéluctable rattrapage à venir. "Les entreprises peinent à former les plus fragiles" - Formation professionnelle. Entre 2014 et 2017, seuls 37% des salariés en difficulté ont eu accès à une formation non réglementaire. Si l’on ne devait retenir qu’un seul chiffre de l’étude publiée par le Cereq en mars, ce serait celui-là.

Un piètre bilan pour cette étude qui prend appui sur l’enquête Defis initiée par l’organisme en 2013, et qui vérifie année après année les parcours d’un groupe de plusieurs milliers de collaborateurs au sein de leur entreprise. « Parmi cinq types de carrières mis en évidence, deux présentent d’évidentes difficultés » explique Ekaterina Melnik-Olive, chercheuse au Cereq, co-auteure de l’étude avec Camille Stephanus, « Il s’agit de parcours heurtés ou bloqués, de personnes mises en difficulté par un manque de qualifications et une évolution technologique qui rend leurs compétences moins pertinentes. Ces salariés, dont le besoin de formation est grand, sont en fait ceux pour lesquels elle est la moins accessible ». Un effort de formation mal partagé Un accès inégal à l'information.

Comment allons-nous développer nos compétences demain ? - Formation professionnelle. Dans le cadre d'une table ronde, plusieurs experts ont échangé sur les évolutions à attendre en termes de formation, d’employabilité et de carrière.

Comment allons-nous développer nos compétences demain ? - Formation professionnelle

Si les algorithmes sont en première ligne, le facteur humain n’a pas dit son dernier mot. « On sort enfin de cette approche catalogue de la formation, qui n’a aucun sens. » Pour Romain Paillard, cofondateur du Wagon – organisme de formation au développement web –, la logique de l’expression des besoins et d’un accompagnement dédié, sur mesure, est bien plus intéressante pour contribuer à la montée en compétences des collaborateurs. « C’est la responsabilité de l’entreprise, estime-t-il. C’est à elle d’évaluer ses besoins réels, actuels et à venir, et solliciter des solutions adaptées. Par exemple, la monde est à la date, mais tout le monde n’a pas vocation à évoluer vers des fonctions de data scientist. Vers une autoévaluation des compétences Un matching permis par les algorithmes Le manager, toujours en première ligne Gilles Marchand. Entre métiers du numérique et numérisation des métiers, l’innovation au service de l’emploi ! - Entreprise Digitale.

Crieur public, opérateur téléphonique, mécanographe, speakerine,… Autant de professions disparues au siècle dernier, sous la pression des nouveaux moyens de communication.

Entre métiers du numérique et numérisation des métiers, l’innovation au service de l’emploi ! - Entreprise Digitale

Et autant de métiers qui ont laissé leur place à tant d’autres qui n’existaient pas auparavant. Cette période de transition, nous la revivons aujourd’hui, alors que le virage de la nouvelle économie numérique nous oblige à nouveau à une restructuration majeure des compétences, des ressources et de l’organisation même du travail. De quoi nous interroger sur le lien entre innovation et emploi, entre menace et opportunité. La peur du progrès technologique destructeur d’emploisLa peur n’évite pas le danger, et quand on parle de la révolution numérique que nous traversons, cela ne fait aucun doute : les plus grands impacts sur les sociétés, comme sur la Société, restent à venir.

Nous n’avons donc pas d’autre choix que l’assimilation de ce nouveau paradigme. Mais restons pragmatiques ! L’agilité : notre plus grand défi. Quels seront les métiers du futur ? - accretio. 30 Nov Deux-tiers des Américains s’attendent à ce que dans les 50 prochaines années, les robots et les ordinateurs feront une grande partie du travail des humains d’aujourd’hui. Les robots, le chômage et les emplois de 2030. Ce n’est pas un fantasme, c’est une projection tout à fait réaliste.

Les robots, le chômage et les emplois de 2030

Selon une étude, près de 50% (47%) des emplois aux Etats-Unis sont menacés par la robotisation. En France, on parle de 42% et de 3 millions d’emplois détruits dans les 10 ans qui viennent. Quels sont les emplois menacés ? Tous ! Ou presque… Car il existe toutes sortes de robots : robots industriels qui fabriquent des voitures, qui préparent les colis dans les entrepôts, les robots logiciels qui écrivent des articles de presse et autres robots médecins ou même les robots qui - demain - fabriqueront des robots. On peut tenter de résister, de retarder l’échéance, comme le fit la reine Elisabeth au 16ème siècle, ainsi que le rappellent LesEchos.fr, en tentant de s’opposer aux métiers à tisser pour préserver le travail des ouvriers. Il y a aussi tous les métiers de demain induits par la robotique et le numérique. 60% d’entre eux n’existent pas encore.