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Perspectives

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L’impact des réseaux sociaux sur la gestion des savoirs. Le volume d’informations ne cesse d’augmenter dû à un nombre croissant de producteurs et à des mécanismes de répétition de l’information, ce qui rend plus difficile la formalisation du savoir. A travers Lecko, votre société de conseil, vous aidez les entreprises à tirer les bénéfices des changements technologiques en cours. Le développement des usages liés à ces évolutions vous passionnent, selon vous qu’est-ce qui a le plus changé et pourquoi? L’accélération des savoirs confronte les entreprises aux limites des modes de gestion des connaissances classiques.

Traditionnellement organisées pour capitaliser le fruit de leur travail et de leur veille, elles se retrouvent d’une part face à la difficulté croissante de classer les savoir-externes et d’autre part face à l’appauvrissement relatif de leur base de connaissance interne. Ces sociétés ne sont plus en mesure de diffuser suffisamment rapidement les connaissances en interne. L’information circule différemment. Livre Blanc : Une Introduction au Social Learning. Ce Livre blanc, écrit par des auteurs issus de cultures de l’entreprise diverses, fournit de multiples perspectives sur le Social Learning. Ici, le Social Learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres - que ce soient des collègues, des mentors ou des experts - via les médias électroniques synchrones ou asynchrones.

Les personnes qui ont contribué à l’écriture de ce livre nous donnent leur point de vue sur ce qu’elles pensent être un facteur important de la réussite future de toutes organisations. Une des clés de lecture de cet ouvrage est donnée par Marshall et Eric McLuhan* : Nous pouvons nous demander comment le Social Learning va étendre, rendre désuet, s’approprier ou faire basculer ce que nous faisons aujourd’hui sur notre lieu de travail. Ceci pourrait nous fournir quelques idées concernant ce que nous devrions faire.

Pour ce livre blanc, nos contributeurs répondent à la question suivante: 7 objections (et réponses) vis-à-vis de l’apprentissage via les médias sociaux. Les médias sociaux – Je suis fan. J’ai un blog, je suis un utilisateur de facebook, je tweet quotidiennement et j’adore tous les outils et ressources complémentaires. Cependant, lorsqu’un phénomène social et technologique tourne à l'adoration, il faut prendre des pincettes. Cette semaine, je dois présenter l’utilisation de médias sociaux à Zurich aux dirigeants de diverses entreprises européennes de haut vol, leur en présenter les bons aspects, comme il est tout aussi important d’en présenter les mauvais aspects.

J’adhère totalement au tweet de Nick Shackleton-Jones, “Lorsque la marée monte, mieux vaut enfiler son maillot de bain que de s’enfouir la tête dans le sable”, mais il est également rationnel pour certains de préférer la prudence pour avancer en terrain inconnu. Objection 1 : le Mutisme des Foules Nous avons d’une part les ‘constructivistes’, incapables d’assembler deux phrases lorsqu’on leur demande ce que cela signifie en termes de psychologie réelle. Objection 6 : Redondance. La révolution du social learning.

XEnvoyer cet article par e-mail La révolution du social learning XEnvoyer cet article par e-mailLa révolution du social learning La transmission interne des savoirs remise au goût du jour E-Learning 2.0. Partage des connaissances. Plateforme évolutive. Pour Frédéric Domon, directeur de l'agence SociaLearning et co-auteur d'un livre blanc sur le sujet, “le social learning peut être considéré comme le développement des savoirs, des aptitudes et attitudes, par la connexion aux autres – que ce soient des collègues, des mentors ou des experts – via les médias électroniques synchrones ou asynchrones”.

L'échange social, facteur d'apprentissage Ces théories éprouvées au service de la formation ont été remises au goût du jour par le développement du Web 2.0 et des réseaux sociaux. L'un des problèmes du e-learning est que bien souvent, les apprenants ne vont pas au bout de leur formation. “Les plateformes permettent aux pairs d'apprendre ensemble. Par Fabien Humbert. Social learning. S’il est un concept de formation qui va prendre une importance forte dans les années à venir, c’est bien le Social Learning. Il se pourrait même qu’il devienne un standard en termes de stratégies pédagogiques, surtout dans le cadre des formations à distance et de la gestion des connaissances dans les entreprises.

Il se trouve associé à la fois aux nouvelles technologies du Web 2.0, au e-learning ainsi qu’à des méthodes collaboratives et actives. Un concept pas si récent. En réalité, le social learning repose sur des théories élaborées au siècle dernier, notamment le socioconstructivisme, développée par Vigotsky. Pour mémoire, ce concept qui fait suite aux travaux de Piaget développe l’idée qu’une connaissance se co-construit dans un processus actif et collaboratif. Pour aller plus loin, le psychologue Albert Bandura a mis en avant le fait que tout apprentissage est la conséquence d’une interaction sociale et culturelle. Valorisation des savoirs informels - Responsabilisation des apprenants, L’apprentissage collaboratif – Baudrit 2007. Après l’article consacré au livre de Baudrit « l’apprentissage coopératif », voici quelques notes concernant un ouvrage du même auteur sur l’« apprentissage collaboratif ».Tout d’abord, il n’existe pas de définition consensuelle de ce qu’est l’apprentissage collaboratif, et le risque de mélanger ce qui relève du coopératif avec ce qui relève du collaboratif existe.

Certains chercheurs ont pu parler de l’un pour l’autre. Il ressort de cet ouvrage que lors de situations d’apprentissage collaboratif, il peut y avoir des divergences de point de vue, il faut arriver à comprendre le point de vue de l’autre pour avancer. Les stratégies de réalisation d’une tâche se développent au fur et à mesure, et sont négociées entre les membres du groupe, alors que dans le cadre de l’apprentissage coopératif, tout est préalablement planifié par l’enseignant. En conséquence, une des conditions pour parler d’apprentissage collaboratif est l’autonomie des élèves. Livre blanc sur l'entreprise 2.0. Social learning et Entreprise 2.0. L’apprentissage est social par nature Sans remonter aux théories de Vygotsky ou d’ Albert Bandura, peut-être que le moyen le plus simple d'expliquer le social learning est de se pencher sur les travaux de Richard J. Legers (Harvard Graduate School of Education) qui a démontré que l’un des facteurs les plus importants de réussite dans l’enseignement supérieur est la capacité des étudiants à former et/ou à participer à des petits groupes d’études.

Par rapport à ceux qui ont travaillé seul de leur coté, ceux qui ont étudié en groupe, ne serait-ce qu’une fois par semaine, sont plus impliqués, mieux préparés. Les élèves de ces groupes peuvent poser des questions pour éclaircir des zones d’incertitude, améliorer leur propre compréhension du sujet en entendant les réponses aux questions des autres élèves.

L’élément le plus puissant étant la faculté de jouer le rôle d’enseignant pour d’autres élèves, étant démontré que la meilleure façon d’apprendre est d’enseigner. 4C pour l’E2.0. Le web 2.0 en éducation: le meilleur est devant nous* Même s'il ne jouit pas aujourd'hui d'un accueil et d'une réputation uniforme auprès de tous les acteurs de l'éducation, le web 2.0 représente l'avenir de l'école. Neil Selwyn de l'Institute of Education de l'Université de Londres le croit. Dans une communication délivrée en 2009, au cours d'une rencontre d'experts sur le thème "L'Ecole de demain, aujourd'hui" (The School of Future, Today), il met les entraves et réticences à l'usage des technologies dites du web social dans le panier des réactions exagérées et idéologiques à l'encontre des technologies et trace des pistes pour une réelle intégration du web 2.0 dans le système éducatif.

Etat des lieux du web 2.0 en éducation Malgré l'engouement suscité par le web 2.0, ce bouquet d'applications n'est pas utilisée au mieux de ses potentialités dans les sytèmes éducatifs les plus ouverts, note-t-il. Le web 2.0 et l'école de demain Article original : Web 2.0 and the school of the future, today (Neil Selwyn) A t-on besoin d'enseignants pour apprendre ?* En 1971, Ivan Illich publiait Une société sans école, pamphlet dans lequel il dénonçait l'entreprise normalisante de l'école, fabriquant des élèves dociles et prêts à aller se vendre sur le marché de l'emploi.

Entreprise aliénante donc qui, toujours selon Ivan Illich, accentue les défauts qu'elle prétend corriger, à savoir l'inégalité de statut social et de capital culturel entre les élèves, les figeant dans des catégories intériorisées par les apprenants eux-mêmes. Si l'argumentaire développé dans le livre porte la marque de l'époque de sa naissance et des utopies qui ont traversé les sociétés occidentales ces années-là, il n'est pas inutile pourtant d'y revenir, à l'heure des discours catastrophistes sur l'état de nos systèmes scolaires, la déséducation, etc. C'est ce que font périodiquement des penseurs issus de divers horizons, mais qui tous s'intéressent à l'éducation.

Tout le monde a le droit d'apprendre... et d'apprendre aux autres Internet : une culture du partage éducatif ? Les blogueurs et autres consomm’acteurs. L'homme n'a pas été créé avec Internet. Bien avant la naissance du réseau, il communiquait déjà avec ses semblables, de manière orale et en face à face. Ensuite il a créé le livre, la presse, le téléphone, la radio, la télévision. Mais dans le monde qui était alors le sien, les informations étaient rares, contrôlées par des minorités. Le citoyen lambda pouvait certes, à l'occasion, donner son avis sur la marche du monde, lorsqu'une « enquête d'opinion », ou sondage, entreprenait de le consulter — trop rarement, cependant, pour le responsabiliser et l'impliquer autant qu'il aurait pu le souhaiter. Le numérique a tout bouleversé Souvenez-vous de votre première vision du Web.

Vous avez lu des pages d'information, comme on lit un livre. À commenter des articles. Le mot de passe pour entrer dans ce nouveau monde, c'est la contribution. Ces médias sociaux ont des règles et des usages communs : Extrait de l'ouvrage : "Citoyen du Net" imaginé par Théo Bondolfi & divers co-auteurs.