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Art, culture et communication dans l'hôpital

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Une chaire de philosophie inaugurée dans un hôpital parisien • Brèves, Hôpital, philosophie, Soin, Médecine, Patient, Cynthia Fleury, Frédéric Worms. « Réinventer la relation au soin, à la maladie, à la vie » : c’est avec ce crédo que la philosophe Cynthia Fleury inaugure, ce mardi à 18 heures à l’Hôtel-Dieu (Paris), la première chaire de philosophie au monde créée par l’hôpital. Elle tâchera, comme il est écrit dans un mot d’introduction, de faire du soin « une dimension constitutive du sujet dans la Cité », convaincue qu’en « intégrant l’hôpital, la philosophie rappelle la nécessité de penser le soin de façon holistique, et que le premier dispositif hospitalier – avant toute technicité – est la qualité intersubjective et interrelationnelle qui se tisse entre les différentes personnes qui traversent son espace/temps si particulier. » Auteur notamment d'une Métaphysique de l’imagination et d’un essai sur Les Pathologies de la démocratie, Cynthia Fleury a récemment fait paraître Les Irremplaçables.

Inédite à l’hôpital, cette chaire n’est pas sans précédents.

Réseaux sociaux etc.

Une expo photo dans les coulisses des urgences de Tours Info Tours.fr l'actualité de Info Tours.fr. Elle débute ce lundi. On espère y aller le moins souvent possible, on y redoute la longue attente, mais on sait aussi qu'elles sont là pour nous sauver. Les urgences des hôpitaux sont un maillon essentiel de la chaîne de soins. A Tours, celles de Trousseau et de Clocheville ont ouvert leurs portes aux photographes Guillaume Souvent et Pascal Montagne qui ont documenté le travail des médecins des services pour adultes et enfants, une immersion longue puisqu'elle a duré deux ans : "en résulte une moisson d'images à la fois tendre, émouvante et réaliste" nous explique le CHRU qui les exposera du 4 au 25 janvier sur les grilles des jardins de la Préfecture à Tours.

A savoir que pour Trousseau, les urgences c'est 30 médecins et le double d'infirmiers, 46 aides-soignants et 14 autres agents dont deux assistantes sociales, 128 patients y ont été admis en moyenne chaque jour en 2014 soit plus de 46 000 personnes. Le CHU de Toulouse est le meilleur hôpital de France sur…Facebook | Tout ce qui buzz. 09 fév Avec 5041 fans, le CHU de Toulouse a la plus grande communauté Facebook des hôpitaux français. Le record a été battu dans la soirée du lundi 8 février. © CHU de Toulouse – Décembre 20154 En accueillant son 5000ème fan, la page Facebook du CHU de Toulouse est devenue le leader national des hôpitaux français. . « Les nombreux abonnés suivent tous les jours les comptes du CHU de Toulouse.

. « Un sacré challenge à relever car qui a envie de recevoir sur son mur d’actualité des informations venant d’un hôpital ? Un sacré challenge (..) car qui a envie de recevoir sur son mur d’actualité des informations venant d’un hôpital ? Le CHU de Toulouse fait un carton sur les réseaux sociaux - 12/02/2016 - ladepeche.fr.

Le cap du 5000e fan a été franchi cette semaine, après seulement 18 mois d'existence. La page du réseau social Facebook du CHU de Toulouse est désormais suivie par 5168 personnes, soit la plus grande communauté des hôpitaux de France. «Un vrai challenge », confie Muriel Prevot, en charge des réseaux sociaux du CHU de Toulouse. «L'hôpital, c'est la maladie, parfois la mort, pas très facile de donner envie de nous suivre ! », poursuit la «community manager». Pour séduire et attirer sur sa page, l'équipe de communication du CHU a choisi de jouer sur le côté humain de l'hôpital, parfois sur l'humour, comme lorsqu'elle a publié un selfie de radiologues version rayons X.

«Les CHU de Rouen, Angers et Limoges sont les plus actifs, nous nous sommes appuyés sur leur expérience. Mais nous avons, dès le départ, souhaité valorisé nos professionnels avec des portraits, parce que notre hôpital ce sont 14 000 personnes qui mouillent leur chemise au quotidien dans plus de 140 métiers différents. Crise de fous rires dans les couloirs de l’hôpital Béclère, à Clamart. L’hôpital, terre de philosophie - La Croix. Un enseignement destiné aux soignants, patients, étudiants ou simples citoyens. / Amélie Benoist/BSIP Le lieu n’est pas anodin. C’est à l’Hôtel-Dieu que la première chaire de philosophie à l’hôpital s’est nichée.

Le plus vieil établissement de la capitale, secoué par des années de réorganisations avortées, depuis peu animé d’un nouveau projet de médecine et de santé publique. > A lire L’Hôtel-Dieu au service des urgences Un hôpital monde, ouvert aux blessés du temps, précaires, victimes des attentats ou réfugiés. « Un endroit où tout le monde passe et où l’on trouve tous les problèmes du monde », résume le philosophe Frédéric Worms, président du conseil scientifique, qui prononcera mardi 26 janvier la leçon inaugurale en compagnie de Cynthia Fleury, titulaire de la chaire.

Destiné aux soignants, patients, étudiants ou simples citoyens, l’enseignement dispensé se déclinera en différents modules, testés jusqu’en juin et proposés dans leur globalité en septembre 2016. Penser le sujet malade. Facing Mortality Through A Lens | The Order of the Good Death. I have a qualification in modern literature and I am a self-taught photographer. In the beginning, I took pictures on the street (street photography). Then, I immersed myself in the world of the hospital because I wanted to “test my ability to adapt” – to see if I could challenge myself by confronting painful topics affecting the vulnerability of the human. I asked myself – was I emotionally and intellectually able to turn a photographic eye on that which is most intimate in others? This became my starting point. University Hospital was the first to accept me into their neonatal unit and this experience affected me deeply.

The hospital is indeed a fantastic human laboratory that allowed me to grow professionally by confronting me with the photographic requirements of immersion report. Through these photographic experiments in neonatology, hematology and palliative care that formed my photographic eye, I could approach other subjects with great sensitivity. Les invisibles, une exposition de Sylvie Legoupi.

Les invisibles, un reportage photographique de Sylvie Legoupi qui permet de faire découvrir les "invisibles de l'hôpital" ! Ces équipes logistiques parfois méconnues et pourtant indispensables au fonctionnement de l'établissement et à la prise en charge des patients. Sylvie Legoupi Réalisatrice de reportages en unités dites sensibles en milieu hospitalier (néonatalogie, hématologie pédiatrique, soins palliatifs) où je me suis immergée, j’ai voulu porter mon regard, sans voyeurisme ni sensationnalisme, sur le quotidien professionnel des soignants.

Tout au long de mes reportages, j’ai souvent remarqué que grâce à la photographie, la vie professionnelle peut revêtir une densité supplémentaire avec des images personnalisées et représentatives. Pour la majorité du public, l’histoire ou la culture hospitalière tend à hiérarchiser les savoirs médicaux au détriment des savoirs non médicaux. Ce projet a été soutenu par la MNH, la MACSF, la FHF et l'EHESP. Réseau CHU: www.chu-bordeaux.fr nouvelle version. Responsive, ergonomique, des rubriques accessibles dès la page d’accueil, la nouvelle version du site www.chu-bordeaux.fr a été conçue pour simplifier la navigation des patients, des professionnels de santé, des étudiants et de toute personne intéressée par la vie et les offres de soins du CHU. L'actualisation des données médicales est aussi facilitée par la mise à disposition des équipes d'un espace collaboratif et personnalisé géré depuis une plateforme de gestion de contenus (CMS*).

Une plateforme de contribution collaborative : développée par la Direction du Système d’Information, elle permet aux équipes de contribuer et d’enrichir leur rubrique sur le site internet. Formés en interne par la Direction de la communication et de la culture, les contributeurs sont donc autonomes pour publier des informations au sein de leurs rubriques. Les enjeux de la Chaire - Chaire de philosophie Hôtel-Dieu. Par ailleurs, l’hôpital, est plus que jamais, dans un contexte sociétal performatif d’allongement de la vie, de jeunisme et d’esthétisme du corps, le lieu où l’âme et le corps des individus disent leur vérité. Le lieu, aussi, où peut être construite une pensée de la volonté plus féconde et efficace, humble et dénuée de toute puissance.

L’hôpital est l’espace-temps de la singularité : la naissance, la maladie, l’accident, le suicide, la mort. Et pourtant aucune autre institution ne dit autant la chosification de l’être et de ce qu’il traverse comme épreuves. Encore une fois, il ne s’agit pas de stigmatiser le corps médical. La chaire proposera des conférences, des séminaires, selon plusieurs formats, et tout le long de l’année. L’hôpital doit devenir un lieu ouvert, de circulation et d’échange des savoirs.

Montélimar | Des clowns à l’hôpital.