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Climat : « Assez de discours, des actes » Vendredi 21 novembre 2013, la France a été officiellement désignée comme pays hôte de la conférence de l’ONU sur le climat de 2015 (COP21). Deux mois plus tôt, le gouvernement précisait ses ambitions et annonçait vouloir aboutir à « un accord applicable à tous, juridiquement contraignant et ambitieux, c’est-à-dire permettant de respecter la limite des 2 °C » [1]. À l’issue de la conférence des parties de Varsovie (Pologne) fin 2013, qui fut l’une des conférences de l’ONU les plus inquiétantes de ces vingt dernières années, on en est très loin. « Assez de discours, des actes ».

C’est derrière ce slogan que les mouvements sociaux et ONG présents à Varsovie, constatant l’absence d’avancées ont quitté, fait inédit, la conférence deux jours avant son terme. Nous faisons nôtre ce slogan. Faire preuve d’ambitions réelles L’UE est également attendue en matière de financements. . « Assez de discours, des actes » vaut également en France. Dépolluer les négociations climatiques À l’initiative de. Le marché transatlantique contre le climat et la transition énergétique ? Que ce soit pour dénoncer le caractère « non-démocratique » des négociations UE – Etats-Unis, ou pour cibler les risques portant sur un secteur particulier (agriculture, services, marchés publics, environnement, droits de propriété intellectuelle, libertés etc.), les plateformes citoyennes regroupant associations, syndicats, ONG et organisations de consommateurs se multiplient en Europe, tant au niveau national qu’au niveau local.

A l’occasion du quatrième round de négociations entre l’UE et les Etats-Unis cette semaine à Bruxelles, ils étaient nombreux à être présents pour « le lancement d’un cycle de mobilisations citoyennes ». Ainsi, ces 11 et 12 mars, une première réunion transatlantique des mouvements citoyens contre ce projet d’accord a été organisée afin d’adopter un agenda commun de mobilisation. Et ce jeudi 13 mars, c’est une manifestation qui s’est faite entendre sous les fenêtres de la direction générale du Commerce de l’Union européenne. Réchauffement climatique : nouveau rapport alarmant du GIEC. Le deuxième volet du nouveau rapport du groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat assombrit encore un peu plus les perspectives de la planète au XXIe siècle. Sécheresses, inondations, maladies, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit, etc. : le deuxième volet du cinquième rapport du groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (GIEC), publié lundi 31 mars, recense les impacts déjà observables du changement climatique.

Selon ce texte du GIEC, résultat d'un immense travail de lecture et de compilation de douze mille publications scientifiques, le changement climatique a eu ces dernières décennies des impacts « sur tous les continents et dans les océans », essentiellement sur les systèmes naturels. Dans de nombreuses régions, le changement dans les régimes de précipitations et la fonte des neiges et des glaciers ont modifié les systèmes hydrauliques, « affectant les ressources en eau en quantité et en qualité ».

Nasa-funded study: industrial civilisation headed for 'irreversible collapse'? | Nafeez Ahmed | Environment. A new study partly-sponsored by Nasa's Goddard Space Flight Center has highlighted the prospect that global industrial civilisation could collapse in coming decades due to unsustainable resource exploitation and increasingly unequal wealth distribution. Noting that warnings of 'collapse' are often seen to be fringe or controversial, the study attempts to make sense of compelling historical data showing that "the process of rise-and-collapse is actually a recurrent cycle found throughout history.

" Cases of severe civilisational disruption due to "precipitous collapse - often lasting centuries - have been quite common. " The independent research project is based on a new cross-disciplinary 'Human And Nature DYnamical' (HANDY) model, led by applied mathematician Safa Motesharrei of the US National Science Foundation-supported National Socio-Environmental Synthesis Center, in association with a team of natural and social scientists. Réchauffement climatique : nouveau rapport alarmant du GIEC. Le très alarmant rapport du Giec en dix points. Sécheresse, inondations, maladies, migrations, pénurie alimentaire, risque de conflits... "La probabilité d'impacts graves, étendus et irréversibles s'accroît avec l'intensification du réchauffement", avertit le 5e rapport du Groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (Giec).

Ce réquisitoire intitulé "Changement climatique 2014: impacts, adaptation et vulnérabilité", recense les impacts déjà observables du changement climatique, mais aussi les risques encourus et les pistes pour s'y adapter. En voici les 10 principaux points : "L'interférence des activités humaines avec le système climatique est en cours et le changement climatique pose des risques pour les systèmes humains et naturels" explique le rapport. Ces dernières décennies, le changement climatique a eu des impacts "sur tous les continents et dans les océans", essentiellement sur les systèmes naturels. En revanche, l'eau disponible sera plus importante dans les pays du Nord. Un travail titanesque. Les phénomènes extrêmes observés en 2013 « cohérents » avec l'évolution du climat. La lutte contre le changement climatique épinglée par la Cour des comptes.

Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Partager C'est un rapport de 600 pages pour le moins sévère. La Cour des comptes critique la politique française en matière de lutte contre le changement climatique. Le premier président de la Cour Didier Migaud a présenté ces conclusions accablantes, jeudi 16 janvier, devant la commission d'évaluation et de contrôle des politiques publiques de l'Assemblée nationale. "Les mesures prises au niveau national sont foisonnantes" mais "insuffisamment évaluées" et elles "n'ont pas la cohérence nécessaire", a résumé Didier Migaud. "La Cour recommande de renforcer le pilotage de cette politique qui est interministérielle par nature", a-t-il ajouté. Des objectifs pour 2020 "difficilement atteignables" "Les objectifs pour 2020 sont atteignables mais difficilement", juge la Cour.

Les secteurs les plus polluants négligés Concernant le logement, la Cour des comptes estime que "l'efficience des mesures apparaît très variable". Jusqu'à présent épargné, le nord-est du Groenland perd ses glaces. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Le niveau marin s’élèvera probablement plus vite qu’escompté.

C’est la principale conclusion d’une étude internationale publiée, lundi 17 mars, dans la revue Nature Climate Change qui documente, pour la première fois, d’importantes pertes de glace dans une région du Groenland considérée jusque récemment comme épargnée par les effets du changement climatique. L’écoulement dans la mer des glaces de la grande île contribue actuellement à 0,5 mm par an d’augmentation du niveau marin, sur un total de 3,2 mm par an. Les chercheurs, conduits par Shfaqat Khan (Université technique du Danemark), ont analysé les données altimétriques du nord-est du grand inlandsis de l’hémisphère nord et montrent que ce secteur perd en moyenne plus de 10 milliards de tonnes (Gt) de glace par an depuis 2006.

Dans une moindre mesure, c’est aujourd’hui le même scénario qui se rejoue. Un nouveau virus géant, âgé de plus de 30 000 ans, découvert en Sibérie. Un nouveau type de virus géant a survécu plus de trente mille ans à la congélation, dans une couche de permafrost sibérien contemporaine de l'extinction de l'homme de Neandertal, selon une étude publiée dans les comptes rendus de l'Académie des sciences américaines, les PNAS, lundi 2 mars. Baptisé Pithovirus, ce virus très ancien, capable d'infecter des amibes mais inoffensif pour l'homme et les animaux, porte désormais à trois le nombre de familles connues de virus géants. Découvert dans le sol gelé en permanence de l'extrême Nord-Est sibérien, Pithovirus est bien différent des autres virus géants, comme les Mimivirus, découverts en 2003 en Grande-Bretagne, ou les Pandoravirus, décrits dans la revue Science en juillet 2013. Son génome, de moins de 500 gènes, est notamment plus petit que celui du Pandoravirus, qui en a plus de 2 500.

Les virus géants, d'un diamètre supérieur à 0,5 millionième de mètre, sont aisément visibles avec un simple microscope optique. Le Monde avec AFP.