background preloader

Sexuality

Facebook Twitter

Sex+ Trying to see with sunglasses on like the difference between gender & sex confuses literally everyone in the entire world. and the universe. even aliens are confused. yeah. aliens.

Sex+

……abstinence only education has gone too far. Sexualités féminines en prison : pratiques, discours et représentations. 1Parler, en prison, de sexualité est, plus qu’ailleurs, compliqué.

Sexualités féminines en prison : pratiques, discours et représentations

Officiellement, elle n’existe pas, puisqu’elle est interdite. Si la sexualité des hommes détenus est taboue (Welzer-Lang, Faure, Mathieu, 1996 ; Lesage De La Haye, 1998), celle des femmes détenues l’est encore davantage. Malgré la multiplication des travaux sur les femmes incarcérées (Rostaing, 1997 ; Albrecht, Guyard, 2001 ; Cardi, 2006), leur sexualité reste un objet à la fois de fantasmes, d’occultation et de déni.

Les raisons de l’invisibilisation des femmes incarcérées – une invisibilisation irréductible à la faible proportion de femmes parmi la population carcérale (moins de 3%) – et de leur sexualité sont certainement à chercher dans les représentations communes de la sexualité des femmes, mais aussi des identités sexuées et des rapports sociaux de sexe qui réduisent les femmes – dedans encore davantage que dehors – à des mères ou à des épouses. « J’ai eu le bébé en permission. De la « nature » du désir féminin. You Can't POP Your Cherry! (HYMEN 101)

I Took Female Viagra for a Week. I was so over fucking my last boyfriend.

I Took Female Viagra for a Week

We were together for four years and by the third of those my libido was as MIA as he seemed to think my clitoris was. I just couldn’t be bothered, he knew I couldn’t be bothered—even our Chihuahua knew I couldn’t be bothered. I was also on the pill, which can make your body reject the idea of sex entirely (gr8 contraceptive, for realsies). Towards the end, we literally never had sex, not even when we really hated each other, which is like, the only good time to have sex with anyone. In hindsight, maybe we wouldn’t have had to buy the fucking Chihuahua if I wasn’t so sexually indifferent. You know what would have made my life a bit easier during that dark time? Yay for Viagra! DAY 1: Pink Venus Shot This is a cherry lube flavored libido shot *shivers.* As well as tasting like underage sex, it contains twice as much caffeine as a cup of coffee, which actually brought on a migraine that—ironically—left me unable to even think about having sex. What Ogopogo Can Teach Us About the G-Spot - Duly Noted.

Here we go again: A Florida surgeon claims to have discovered the elusive vaginal pleasure center known as the g-spot.

What Ogopogo Can Teach Us About the G-Spot - Duly Noted

Dr. Adam Ostrzenski's claim is suprisingly flimsy. He found the mysterious anatomical structure that looks like a cluster of grapes in a single cadaver. We don't know what kind of tissue the doctor, who normally practices "cosmetic gynecology," may have uncovered. It might not even have nerve endings, in which case, it would be an implausible candidate for a magical orgasm switch. Why is this lame case study making national news? Here's what we do know: Some women enjoy having the front walls of their vaginas stimulated and some have orgasms this way. Yet, study after study has shown that most women don't consistently orgasm from penis-in-vagina intercourse without additional clitoral stimulation. Amanda Marcotte writes for Slate: [French] Le point G existe ? Plus le choix, il faut jouir ! Panneau indiquant le "point G" (Ned Trifle/CC/Flickr.com).

[French] Le point G existe ? Plus le choix, il faut jouir !

Les filles, je crois qu'on est dans une merde noire : il paraît que le point G existe pour de vrai. Physiquement et tout. Non mais oui, je sais bien que pendant des décennies, tout le monde s'est disputé le bout de gras pour déterminer l'existence anatomique de ce fameux machin, bien évidemment paré d'un potentiel orgasmique plaçant celle qui sait en jouir au-dessus du commun des mortels. Ceci dit, on ne savait pas trop ce qu'il en était exactement, les polémiques succédant aux suppositions, elles-même récupérées par la sexologie médiatique, bref, c'était le foutoir mais comme c'était très rentable, personne ne s'en serait plaint : entre les bouquins sur le point G, les articles sur le point G, les guides d'utilisation du point G et les revendications militantes autour du point G, le thème constitue un des marronniers les plus prolifiques.

L'orgasme féminin, pompe à fric médiatique Plus question de faire la feignasse.

.bodycard 2112