En grossissant, l'économie sociale et solidaire va-t-elle perdre son âme ? Une entreprise de l’économie sociale et solidaire (ESS), ça ressemble à quoi ? A une association ou à une entreprise d’insertion. Pas forcément. A la MAIF ou Biocoop. Mais pas seulement. La réponse vous paraît floue ? Rien de plus normal, la législation l’est aussi. Le texte actuellement disséqué par le Conseil d’Etat pose les principes de base : encadrement des salaires, gouvernance participative, ambitions allant au-delà du seul partage de bénéfices… on ne devient pas entreprise de l’ESS sans conditions. 500 millions d’euros débloqués, des débouchés garantis Si la loi est adoptée en l’état, les acteurs traditionnels de l’économie sociale et solidaire pourront plus facilement grossir, par fusion ou création de groupes.
Si l’effet levier de la loi fonctionne, l’ESS comptera donc des acteurs plus gros et plus actifs, mais pourra aussi gonfler ses rangs. . « Reconnaître qu’une autre économie que le capitalisme est possible » Effets d’aubaine et social-washing « On a grillé des étapes » Social Solidarity Economy: Toward Convergence across Continental Divides | News & Views. This is part of a series of think pieces by scholars and practitioners working on a broad range of issues within the field of Social and Solidarity Economy. The series is being published in tconjunction with the UNRISD conference “Potential and Limits of Social and Solidarity Economy”.
The conference took place on 6-8 May 2013 in collaboration with the International Labour Organization and the UN Non-Governmental Liaison Service. The Social Solidarity Economy (SSE) is a relatively new framework and as such there is still a wide variation in concepts and definitions between, and even within, different regions. The Réseau intercontinental de promotion de l’économie sociale solidaire (RIPESS)1 is engaged in a process of exploring divergences and convergences surrounding concepts, visions and definitions of SSE across continents. Over the course of the last two years, RIPESS has held discussions with SSE representatives from every continent on this topic. What’s at stake 1. 2. 3. 4. 5.
Innovation. Prise de parole en public : s’impliquer personnellement pour mieux convaincre. Qui dirige le vol d’étourneau ? Personne. Chaque individu prend le leadership et le cède. Celui le mieux placé pour prendre la décision d’aller à droite, celui qui voit, celui qui se sent de le faire ! Pour n’importe quelle organisation, cela s’appelle le chaos ! L’impensable ! Pourtant, cela marche pour les étourneaux. Lorsque nous regardons un vol d’étourneaux (ou un banc de sardine pour ceux qui ont la chance de vivre sous la surface des océans), notre première impression est qu’il existe un lien, une connexion subliminale entre ces êtres.
Les scientifiques ont étudié la question et leur réponse est simple : c’est possible. L’image est trop belle. C’est pourtant la direction à prendre… Dans un monde où tout change à des vitesses telles, où l’entreprise qui pourrait racheter ou mettre en péril la vôtre dans deux ans n’est pas encore créée aujourd’hui, rien d’autre ne pourra vous sauver que la souplesse, la réactivité et l’élégance du vol d’étourneaux. Comme un vol d’étourneaux ! Travailler dans une coopérative. Présentes dans tous les secteurs d’activité – agricole, banque, commerce, distribution, services à la personnes ou aux entreprises, etc.-, les entreprises coopératives emploient en France près d’un million de salariés. Dans de nombreuses régions et départements, elles sont parmi les principaux employeurs privés. Ancrées localement, 75% des 100 premières entreprises coopératives ont leur siège social implanté en région, quand 90% des 100 premières entreprises "classiques" se trouvent en Ile-de-France.
Vous souhaitez travailler dans une structure qui allie à la fois performance économique et valeurs humaines ? En choisissant de travailler dans une coopérative : Donnez du sens à votre emploi et à votre métierPratiquez votre métier dans des secteurs traditionnels et innovantsParticipez au renouvellement des générationsFaites le choix d’emplois stablesDevenez un salarié associé, le cas des Scop Donnez du sens à votre emploi et à votre métier Participez au renouvellement des générations. Le 100 établissement culturel solidaire. USGERES - Portail Emploi Economie Sociale Solidaire. L'Usgeres lance le portail de l'emploi dans l'économie sociale et solidaire. L’Union de Syndicat et Groupements d’Employeurs Représentatifs dans l’Économie Sociale (USGERES) a lancé, le 29 janvier, le portail de l’emploi dans l’économie sociale et solidaire à l’occasion d’une matinée dédiée à l’emploi dans l’ESS organisée à Bercy par Benoît Hamon, Ministre délégué en charge de l’Economie sociale et solidaire et de la consommation.
Créé en partenariat avec le ministère chargé de l’économie sociale et solidaire et de la consommation, Pôle emploi, Chorum et le Crédit coopératif, ce portail a notamment pour objectifs de : – valoriser le secteur et communiquer sur ses spécificités, ses métiers, ses formations et l’actualité emploi de l’économie sociale et solidaire, – mettre en relation chercheurs d’emploi et recruteurs, via notamment des offres d’emploi en ligne et une CVthèque, – favoriser la mobilité interbranches des salariés dans l’économie sociale et solidaire, – asseoir la visibilité de l’économie sociale et solidaire. Les cachotteries du Groupe SOS. Dans son domaine, le Groupe SOS, géant français de l'entrepreneuriat social et de la lutte contre la drogue, soigne son image de héraut des temps modernes. Jusqu'à en faire oublier quelques réalités peu reluisantes. Enquête.
En France, le Groupe SOS et ses 4 000 salariés passent pour le champion de l’entrepreneuriat social, acteur historique de la lutte contre la toxicomanie ou le logement précaire. Un industriel de l’aide sociale qui prend grand soin de son image. Au mois de juin dernier, la chaîne LCP diffusait un documentaire hagiographique tout à la gloire du patron du groupe SOS, sobrement intitulé Jean-Marc Borello : ni Dieu, ni maître, ni actionnaire. Première offensive de la Cour des Comptes en 1998 Effectivement, les audits de 2009 sur deux de ses associations, JCLT (accompagnement de publics en difficulté) [pdf] et Crescendo (crèches et haltes-garderies) [pdf], faits par l’Inspection Générale de la Ville de Paris (IGVP), sont très positifs.
Rapport éloquent de l’IGAS boskizzi ; Le Droit à l'Avenir. LE TEMPS QU’IL FAIT, LE 19 NOVEMBRE 2010. Accueil Université Ouverte des Humanités. SolidarityEconomy.jpg (Image JPEG, 2000x1545 pixels) - Redimensionnée (45%) Alternatives humanistes - frédéric Bosqué. Le message des acteurs de l'ESS.
APEAS - économie alternative et solidaire en PACA. Scandale à Ni Putes Ni Soumises ? - Société. C’est la grève à Ni Putes Ni Soumises (NPNS). Mais personne ne doit le savoir, ni les militants, et encore moins les journalistes. Alors, non rien à dire, "on ne communique pas". Trois cents mètres carrés de locaux au milieu du 20ème arrondissement de la capitale, et rien que huit grévistes attablés au milieu d’une salle quasi-déserte, s’affolent à l’idée que l’affaire s’ébruite. Derrière eux, comme tenues à l’écart du secret, des jeunes filles en service civil planchent dans des salles aux portes closes. Les salariés, Gabrielle Apfelbaum, directrice de la communication, Fanny Derenne, coordinatrice du mouvement, Jean-François Laloué, responsable des relations institutionnelles, organisent des assemblées générales chaque jour, qui se tiennent depuis vendredi dernier entre les murs blancs et rose fushia de l’association.
Le bureau de la comptabilité est fermé à clef. Celui de la présidente aussi. Des frais de bouche "scandaleux" Il n’y a pas que lui. "J'ai fini chez le psy" Sife. Jeun-ess.fr. Pétition Cent femmes s'engagent pour l'Egalité maintenant dans l'économie sociale et solidaire. Qualité de l'emploi et droit du travail : deux études diffusées lors du colloque de l'ADDES s'y intéressent.
L’Association pour le développement des données sur l’économie sociale (Addes), dont l’objet est de faire de la recherche scientifique sur l’économie sociale, avait dédié son 23 e colloque, qui s’est tenu le 9 novembre à Paris, à l’interrogation sur les nouvelles frontières de l’économie sociale. Au menu de ce rendez-vous 1, notamment la présentation de plusieurs contributions d’universitaires et d’acteurs de terrain ayant trait à l’emploi et au dialogue social. Parmi elles, on retiendra tout particulièrement une étude en cours de finalisation, sur la qualité de l’emploi dans l’ESS réalisée sous la responsabilité de Nadine Richez Battesti de l’université de la Méditerranée (elle sera présentée à Marseille le 7 décembre [+ pour en savoir plus]) et l’analyse d’une expérience inédite sur l’instauration d’une représentation du personnel dans une coopérative d’activités et d’emploi par Nathalie Delvové et Stéphane Weyer de Coopaname. Les SCOP.
Giving Money to the Homeless Might Actually Work - Culture. A few months ago, the Joseph Rowntree Foundation, a UK-based nonprofit that does amazing work in the field of poverty and social exclusion, issued a surprising report that deserves a much wider readership. The study evaluated the success of a radical new way of working with the long-term homeless. Instead of soup kitchens, shelters, and mobile health clinics, the charity Broadway simply selected 15 homeless people that their outreach workers had found the hardest to reach (one had been on the streets for an astonishing 45 years), asked them what it was they needed to change their lives—and then bought it for them.
One asked for sneakers and a prepaid cell phone, one needed cash to pay off a loan, one wanted a TV and a comfy chair (to make the move into hostel accommodation more attractive), and one requested a camper van. Two refused to engage with the pilot project altogether, but of the 13 who agreed to take part, 11 are now off the streets. I've got a 32-inch telly and a DVD. Social entrepreneurs: Making money for the common good? 19 January 2011Last updated at 00:10 By Jamie Robertson Presenter, BBC World News One Water is one example of social entrepreneurs at work Making and giving money are generally considered to be two separate operations.
First you make your cash. Then, if you're of a philanthropic bent, you give some of it, maybe a lot of it, away. But how about combining the two, taking the entrepreneurial spirit and harnessing it to do good? One Water was an idea dreamt up by a bunch of friends in a pub, with the aim of creating a business that sold bottled water and gave away all its profits to water projects in Africa.
Duncan Goose, whose background is in advertising, is managing director. He explained: "Actually there is not very much you can do to market water in a bottle. "But if you make the aim of the business a project like providing water for people in Africa, then you can use that to sell the bottle. " And it works. Branching out There are other similar stories.
Continue reading the main story. How enterprise can flourish without growth-fixation | Guardian Sustainable Business. Just as no individual can flourish without being an active participant in society, no company can succeed without being an active participant in societal and market changes. Photograph: Corbis / Alamy/Alamy Following on from my previous blog a number of people have asked me what a flourishing enterprise might look like in practice, how they would incorporate change into their business and get shareholder backing. In this blog I will try to answer those questions. Within the flourishing enterprise model of strategic change there are three key areas of value-creation; market changes, innovation and capabilities for flourishing. All three are critical and no company can flourish without real effort in each domain, and none can be done by a company on their own. A great deal of innovation is required within companies, much of which needs to be open and collaborative.
Market changes: Capitalism 2.0 To create value we need a radical update to the macro-economics of capitalism 1.0. Yes we can. STRO - Social Trade Organisation. A list of social startup lawyers. Nivi · January 19th, 2010 Scott Edward Walker’s sponsor post, Top 10 reasons why entrepreneurs hate lawyers, created a lot of awesome discussion about startup lawyers. See the comments to that post and the comments to Bram Cohen’s follow-up, “Lawyers can’t tell you you can’t do something”. Scott’s post also generated a lot of positive comments from lawyers who blog, tweet, and comment. So let’s start a list of “social” startup lawyers: lawyers who blog, tweet, Facebook, etc. Here’s a first draft, in alphabetical order, including a link to the comments they left on Bram and Scott’s posts. I’ve included info on how I know each one. Matt Bartus (comment). I’ve never met any of the lawyers on this list in person — except Yokum, who I’ve met once. Obviously, a startup lawyer doesn’t need to be social to be good.
Please add your favorite startup-focused lawyers in the comments. 5 New Paradigms for a Socially Engaged Company. Soren Gordhamer is the organizer of the Wisdom 2.0 Conference, which brings together staff from Google, Facebook, Twitter and Zynga with others to explore living with awareness and wisdom in our modern age, at the end of February in Silicon Valley. He is SorenG on Twitter. The age of social media is not just changing our personal lives, but is increasingly affecting how business is conducted.
No longer satisfied with strictly top-down models that view employees as cogs in a system, businesses are quickly adapting to a new paradigm that emphasizes connection, collaboration and innovation. When people in companies and teams feel engaged, the benefits are significant. Companies are realizing that it is not enough to get people to show up to work; the real challenge is creating cultures that enhance creativity and innovation. 1. The answer was to create a culture of happiness that would naturally overflow into all of the company’s communication. 2. 3. 4. Old Paradigm: “Do what is normal.” 5.
L'ingénierie sociale et ses multiples atouts. Solidarites Nouvelles face au Chomage. Institut de l'Innovation et de l'Entrepreneuriat Social | IIES.