background preloader

L'alimentation et le respect de l'environnement

Facebook Twitter

PCB : Anses actualise son étude sur l'alimentation. L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) vient d'actualiser certaines données sur les dioxines de son étude française de l'alimentation totale (EAT2).

PCB : Anses actualise son étude sur l'alimentation

Cette dernière fournit une estimation de l'exposition globale des consommateurs à différentes substances (pesticides, métaux lourds, contaminants issus des activités humaines, phyto-oestrogènes, additifs,etc.). OGM : les règles d'évaluation devraient être adoptées au printemps. Les experts des Etats membres de l'Union européenne ont adopté, le 25 février en comité, le règlement proposé par la Commission européenne pour renforcer l'évaluation des risques des OGM à destination de l'alimentation humaine et animale avant autorisation de mise sur le marché.

OGM : les règles d'évaluation devraient être adoptées au printemps

Le texte prévoit l'obligation de réaliser des études de toxicité sur quatre-vingt dix jours. L'eurodéputée Corinne Lepage regrette dans un communiqué que celui-ci impose "seulement des études de toxicité à court-terme (90 jours)". Si elle note "quelques avancées", la députée européenne alerte sur le fait que ce règlement "exempterait un grand nombre d'OGM d'une évaluation poussée au nom du principe d'équivalence en substance".

Selon l'AFP, vingt Etats, dont la France, auraient voté en faveur du projet de règlement. Le Royaume-Uni, la Suède, la Belgique et les Pays-Bas s'y seraient opposés. Filière miel : avec ou sans OGM ? - OGM - Environnement. La filière se divise alors que la Commission européenne propose de transformer les règles d'étiquetage pour éviter d'avoir à mentionner la présence de pollen OGM dans le miel. « L'enjeu est très important pour l'image du produit.

Filière miel : avec ou sans OGM ? - OGM - Environnement

À terme, il risque d'y avoir beaucoup de miel OGM sur le marché alors que le pollen ne représente qu'une portion infime du produit », estime Claude Noël, président de la Fédération des coopératives apicoles de France (Fedapi), favorable à l'assouplissement proposé par la Commission. Sa fédération membre de Coop de France relaie les inquiétudes d'une filière industrielle qui redoute les conséquences d'un étiquetage OGM sur la vente d'un produit apprécié pour ses qualités naturelles.

Ils sont rejoints par les pays exportateurs de miel, qui fournissent 40 % du miel européen et souhaitent également un marché moins contraignant. 70 % du miel vendu en supermarché est importé. Bientôt du saumon OGM dans nos assiettes. Maïs OGM: les organismes sanitaires français demandent une nouvelle étude. PARIS (AFP) - Les organismes sanitaires français ont réfuté lundi les conclusions des travaux du Pr Séralini sur la toxicité d'un maïs OGM produit par Monsanto mais ont tous deux recommandé des études sur les effets à long terme de la consommation d'OGM.

Maïs OGM: les organismes sanitaires français demandent une nouvelle étude

Premier à se prononcer, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) estime que "les conclusions d'effets délétères de la consommation de maïs NK603 ne sont pas soutenues par l'analyse des résultats présentés dans l'article", publié par Gilles-Eric Séralini dans la revue scientifique Food and chemical toxicology le 19 septembre. Le Haut conseil, qui statue sur les risques sanitaires et environnementaux des plantes génétiquement modifiées, estime donc que "cet article ne remet pas en cause les conclusions des évaluations précédentes sur cet OGM", qui avaient conclu à l'innocuité du produit. Cet avis est ainsi dans la droite ligne de celui produit par l'agence européenne de sécurité sanitaire (Efsa) début octobre. "Ouverture d'esprit" OGM : quand les firmes "oublient" les études de toxicologie. Après la polémique déclenchée par l’étude de Gilles-Eric Séralini sur la toxicité de l’OGM NK603 de Monsanto, et les nombreuses critiques, qu’en est-il de la solidité des études fournies par les industriels sur le sujet ?

OGM : quand les firmes "oublient" les études de toxicologie

C’est la question que se pose vendredi 26 octobre Eric Meunier sur le site spécialisé Inf’OGM. "Contrairement à ce qu'on pourrait croire, les entreprises qui demandent une autorisation de commercialisation pour une plante génétiquement modifiée (PGM) ne fournissent pas toujours des analyses de toxicologie aux agences en charge de l'évaluation du dossier", observe l'auteur du texte Eric Meunier. En l’absence de telles études, l’Anses refuse de rendre un avis favorable. Mais l’EFSA, au niveau européen, ne s’encombre pas de telles préventions, abritée derrière le principe d’équivalence en substance qui fait loi depuis 2006.

"Flou juridique" OGM : l'étude de Séralini balayée par l'Agence européenne. URGENT: l’Europe veut mener des études à deux ans sur les OGM. À Bruxelles, le patron de la DG Sanco (Direction générale de la santé et de la protection des consommateurs) Ladislav Miko a annoncé discrètement la semaine dernière que la Commission Européenne essayait de réunir un budget pour mener une étude à long terme de deux ans sur les OGM.

URGENT: l’Europe veut mener des études à deux ans sur les OGM

C’est ce que révèle un article du Journal EU Food Policy en date du 17 décembre. Cette décision fait suite à l’étude controversée sur des rats conduite par le Professeur Gilles-Eric Séralini, de l’Université de Caen. Ce dernier a été entendu le 14 décembre dernier par la Commission Européenne. Pour le moment, Bruxelles n’a pas été plus précise sur le protocole de l’étude qu’elle chercherait à lancer. Il semblerait toutefois que la Commission envisage de tester un maïs différent de celui testé par le Pr Séralini, le Monsanto 810. L’Europe reconnaît in fine la nécessité de mener des études à vie entière sur des animaux nourris aux OGM Rachel MulotSciences et Avenir.