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Ecologie

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Virtual Water - Discover how much WATER we EAT everyday. The good news is that each one of us can also make the world a little more water secure, ready to face the needs of our peak population future. How? The answer lies in our shopping baskets. The amount of meat in our diet is crucial! The average daily water consumption of a meat-eating person is 5000 litres of water per day. The average for a vegetarian is 2500 litres. The type of meat we consume is crucial! The food we waste is crucial! So, do not forget: one meat-free-day a week choose meat raised on grass do not waste food.

Corinne Lepage: L'inde est la plus grande démocratie du monde. L'évolution de l'Inde au regard du nucléaire devrait intéresser nos concitoyens à un double titre. L'Inde est la plus grande démocratie du Monde mais c'est aussi un pays traumatisé par la catastrophe de Bhopal. 28 ans plus tard, non seulement les dizaines de milliers de victimes n'ont pas ou peu été indemnisés par Union Carbide et ses successeurs, mais de surcroit, la décontamination n'est jamais intervenue de telles sorte que la pollution des eaux se pérennise.

Chacun peut dès lors comprendre l'évolution du droit indien pour empêcher que ne puisse se renouveler cette double catastrophe. L'Article 47 de la Constitution indienne reconnaît le droit de jouir d'une eau et d'une atmosphère non polluées, pour apprécier pleinement la vie. La justice indienne reconnaît le principe pollueur-payeur et l'impose au législateur.

Ces principes sont applicables- et il s'agit d'une grande différence par rapport à la France, -dans le domaine du nucléaire-. La FNSEA fait censurer une campagne un peu trop végétarienne à son goût - Lobbies. Le groupe de restauration collective Sodexo vient de présenter ses plus plates excuses aux agriculteurs de la FNSEA. L’entreprise avait osé lancer une campagne sur le rôle de la consommation de viande dans le réchauffement climatique. « La production d’un kilo de viande de veau pollue autant qu’un trajet automobile de 220 km ! », affirmait sur des affiches l’entreprise, qui a lancé des « Journées sans viande », histoire de séduire les végétariens et de verdir son image. Réponse immédiate des éleveurs : une centaine d’entre eux ont mené une « opération coup de poing » le 8 juin devant la délégation régionale Sodexo de Nantes, « pour stopper cette campagne de communication calomnieuse » (sic). Des affiches « trop choc » Ces chiffres proviennent d’une étude réalisée par Jean-Marc Jancovici [1], ingénieur spécialisé sur les questions de climat et d’énergie, et membre du comité stratégique de la Fondation Nicolas-Hulot [2].

@AgnèsRousseaux Photo : source À lire sur Basta!

Pénurie des ressources

Maud Fontenoy: «Arrêter la caricature de l'écolo qui fume des pétards et aime les papillons» Elle a traversé des océans et vu nager des baleines, mais elle a aussi vu des nappes d’hydrocarbures et des frigos au large de l’Antarctique… La navigatrice Maud Fontenoy s’engage pour la préservation des océans avec sa fondation et espère que la Journée mondiale des océans, ce 8 juin, sera une occasion de faire comprendre que le destin de l’homme et celui des océans sont liés Pourquoi vous êtes-vous engagée dans la protection des océans? A cause de mon passé sur les mers. J’ai fait le choix de partir à la rame ou à la voile, des techniques non polluantes, mais j’ai croisé des nappes d’hydrocarbure, des frigos, des sacs plastiques… Là, on se dit qu’il y a un problème.

Ensuite, avec tout le travail réalisé avec le comité scientifique de ma fondation sur les ressources que nous apportent les océans, j’ai réalisé que l’avenir de l’homme est lié à l’avenir des océans. Ils nous fournissent de l’oxygène, de l’énergie, des médicaments, etc, qu’il serait impossible de se procurer autrement. Nicolas Hulot : "Les écolos ne s'adressent qu'aux convaincus" Nicolas Hulot : Transformer le Conseil économique, social et environnemental (Cese) en une troisième chambre qui soit celle du futur.

Un lieu où on ait comme seule grille de lecture le long terme. Le Cese existe déjà sauf qu'il n'a aucun pouvoir. Je voudrais qu'il ait un droit de veto pour suspendre des décisions prises par le Parlement et l'exécutif. Par exemple, savoir si une décision sur les OGM peut avoir des conséquences dans vingt ans, si une politique industrielle est de court terme… Une des grandes plaies de notre temps, c'est qu'on est toujours dans le court terme, dans le réactif. Les politiques traitent les symptômes des crises mais pas les causes. Ce qui n'est pas démocratique, c'est de ne pas prendre en compte les citoyens de demain. C'est ce que je fais en permanence, avec parfois des moments d'espoir et de désespoir. Je ne suis fermé à rien et je ne demande rien.

Je n'appartiens plus à un mouvement, j'ai repris ma liberté. Cela fait plus de vingt ans que je suis engagé. Avenir de l'humanité: Le Club de Rome tire encore la sonnette d’alarme - Économie. Avenir de l'humanité Quarante ans après son fameux rapport «Halte à la croissance?» , le club de réflexion revient avec une nouvelle étude alarmante. La survie de l’humanité est en danger, selon le Club de Rome. Le Club de Rome doute carrément de la survie de l’humanité sur cette planète si se poursuivent surconsommation et court-termisme.Image: Keystone En 1972, le fameux rapport du club réunissant scientifiques, économistes et hauts fonctionnaires avait fait fureur. Traduit en 29 langues, il envisageait les limites de la croissance économique. Quarante ans plus tard, le Club de Rome tire un bilan et de nouveaux plans sur la comète dans «2052: A Global Forecast for the Next Forty Years».

Cinq crises L’humanité n’a pas appris grand-chose ces quarante dernières années, juge le club. Et ce qui vient n’est pas plus engageant. Ces évolutions nous amènent aux limites du supportable pour la Terre. Pire. Pessimisme et politique Le Norvégien est pessimiste sur cette éventualité. 9 Commentaires. Après la pluie. Ça s'est drôlement rafraîchi aujourd'hui. La pluie va sûrement plus tarder. Mais il a fait bien chaud ces derniers jours. Pourvu qu'on se paye pas une grosse drache comme au mois de mai (ouais, comme vache qui pisse, dis-donc !) , et surtout qu'on ait pas un été bien pourri comme l'an dernier (la vacherie.) Bin quoi ? Sebastião Salgado, Antarctique, 2005 Draches sacrées le mois dernier, donc. Chaque fois qu'aux temps chauds, il flotte de la sorte, je repense à l'explication fournie par Hervé Le Treut, l'un des plus éminents climatologues français, au cours d'un débat auquel je l'avais invité en septembre 2007, après un précédent été particulièrement humide : "Globalement, un climat plus chaud est un climat plus humide (...).

Hé oui, c'est évident. Au mois de mai, il a pu faire 15°C sur le Sud-Ouest avec des pluies entrecoupées d'averses, tandis que c'était canicule et grand ciel bleu en Alsace. Mensonges par omissions. Qui a entendu parler de cette nouvelle alerte au cataclysme ? Raréfaction des métaux : demain, le « peak all » Merci à la rédaction du magazine Science & Vie, qui propose ce mois-ci une enquête sur un sujet essentiel que je me désespérais de trouver le temps de traiter : le déclin des réserves mondiales de métaux (précieux ou pas).

Hé oui, le pétrole n’est pas la seule matière première que menace le prurit de la société de consommation. Le cuivre, le zinc, l’or et l’uranium figurent parmi les principaux métaux dont les ressources mondiales semblent en voie d’épuisement. Une mine de cuivre moderne, aux Etats-Unis. Parmi les grands gisements épuisés, Science & Vie donne l'exemple de la "fabuleuse" mine suédoise de Stora Kopparberg, "qui alimenta toute l'Europe des XVIe et XVIIe siècle", fermée en 1992. Le problème est similaire à celui du pic pétrolier. Philippe Bihouix et Benoît de Guillebon, auteurs de l’ouvrage français de référence sur la question (Quel futur pour les métaux ? En quoi pic pétrolier et pics des métaux sont-ils liés ? Il y a plus qu’un effarement dans cette analyse.

The carbon map: making sense of climate change responsibility and vulnerability. Climatosceptiques, des marchands de doute. LE MONDE* consacre un article à la dénonciation des climatosceptiques. En complément, voici un résumé de l’épilogue du livre de Naomi Oreskes et Erik Conway, Les marchands de doute : « Depuis cent cinquante ans, la civilisation industrielle s’est repue de l’énergie emmagasinée dans les combustibles fossiles et aujourd’hui on nous présente l’addition. Et pourtant, nous prétendons que cette note n’est pas la nôtre. Il n’est pas surprenant que beaucoup d’entre nous soient dans le déni, il n’est pas étonnant que les marchands de doute aient du succès : ils nous ont fourni le prétexte pour ignorer la facture. Il est vrai que faire quelque chose implique des coûts, et si l’on n’est pas sûr que ces coûts soient compensés par des bénéfices futurs, la meilleure option est de ne rien faire ; tel est le résultat d’une analyse rationnelle.

La science ne produit pas des certitudes, elle ne fournit qu’un consensus d’experts, fondé sur l’examen minutieux des faits. Un candidat vert (ou pas), qui courait les plateaux télé, je l'attrape par la promesse, je le montre à ces électeurs, ces électeurs me disent : trempez le dans le pétrole, trempez le dans le climat, ca fera un président... tout échaudé ! - 29/03/2012- Con. En matière écologique, c’est le meilleur. On pourrait mettre son texte sur le site CC. A vos marques, prêts, votez ! Voici le petit exercice que, dans pas si longtemps que cela, la nation va attendre de tous ceux qui ont l'âge de tenir un volant ou ouvrir un compte en banque. Voter, certes, mais pour qui ? Comme d'habitude, l'électorat se décomposera en deux morceaux. Et puis on va trouver ceux qui vont essayer de se déterminer en fonction des propositions et analyses faites par l'impétrant(e), et qui vont peut-être hésiter jusqu'à la dernière minute pour choisir le "moins mauvais tout bien pesé dans les circonstances envisageables".

Le point de départ de cette affaire, c'est que, après 10 ans d'intense réflexion, j'ai enfin fini par accoucher d'une règle de trois illustrant pourquoi PIB et consommation d'énergie marchent si bien main dans la main (avec ce que coûtent les études que la nation m'a payées il y a fort longtemps, ca fait cher de la multiplication !). Et le gaz ? Des traces d'uranium enrichi à plus de 20% découvertes par l'AIEA en Iran. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a découvert des traces d'uranium enrichi à un niveau de pureté supérieur à la limite de 20% sur le site nucléaire souterrain de Fordo, selon un rapport de l'agence diffusé vendredi.

Les résultats d'analyses d'échantillons prélevés dans l'environnement sur le site de Fordo le 15 février 2012 "ont montré la présence de particules dont les niveaux d'enrichissement atteignaient 27%", indique l'AIEA dans ce document, alors que le degré d'enrichissement le plus élevé déclaré par l'Iran est d'un peu moins de 20%. Cela reste largement en dessous du niveau nécessaire à la fabrication de l'arme atomique. L'Iran a expliqué que la production de ces particules était "peut-être liée à des raisons indépendantes au contrôle de l'opérateur" de l'usine, située à 150 km au sud de Téhéran. L'AIEA évalue la réponse de l'Iran et a demandé des détails supplémentaires, selon le texte du rapport. Les sables bitumeux émettent plus de carbone qu’initialement prévu.

Jeremy Hance, mongabay.comTraduit par Lucie Guignard May 23, 2012 Construction d’une exploitation de sables pétrolifères: défrichage préalable à la construction d’un projet de sables pétrolifères au nord de l’Alberta. Photo de Bigstock. Les écologistes ont ciblé les sables bitumineux notamment parce que le pétrole brut qui en est extrait s’accompagne d’émissions de carbone plus importantes que celles des sources conventionnelles. Maintenant, une nouvelle étude menée par l’Académie Nationale des Sciences (Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS)) a pointé une source supplémentaire de carbone qui n’avait pas été prise en compte : les tourbières.

L’extraction de pétrole des sables bitumineux, renommés « sables pétrolifères » par l’industrie, va entrainer la destruction complète de presque 30 000 hectares de tourbières, ce qui émettra entre 11,4 et 47,3 millions de tonnes métriques supplémentaires de carbone. CITATION: Rebecca C. Counting the cost: the hidden price of coal power.

Each year, the US sets off the equivalent of 20-30 atomic bombs worth of explosives, effectively obliterating entire features of its own landscape. Why? To get at the coal that's inconveniently located beneath the mountains of Appalachia. That jaw-dropping figure came towards the end of a session at last month's meeting of the American Association for the Advancement of Science called "The True Cost of Coal. " Most methods of resource extraction and use come with various forms of what are called externalities, or costs that aren't included in the final product, but distributed across society as a whole in the form of things like environmental degradation and damage to health.

Calculating these hidden costs is obviously a challenge, and the researchers involved doing so tend to produce a range of values to reflect the uncertainty. But even after adjusting for the variations in things like income and education, counties with active coal mines came out far worst in many measures of health. Erika : l’abandon des poursuites coulera-t-il le droit environnemental ? Atlantico : Dans le cadre de l'affaire Erika, pensez-vous que la Cour de cassation peut procéder à une annulation de la décision arrêtée en première instance, comme le demande l'avocat général ? Si oui, la jurisprudence rendrait-elle le principe de pollueur / payeur caduc ? Corinne Lepage : Oui, c’est tout à fait possible. Par contre, le principe pollueur / payeur ne peut pas être caduc, c’est un principe d’ordre public.

Cela aurait pour conséquence d’introduire un système d’irresponsabilité complète. Il ne serait plus appliqué et serait dès lors abandonné pour deux raisons. Seconde raison, l’avocat général propose d’exclure tout autre régime de responsabilité de réparation. Ne peut-on pas voir là, l’arrêt de mort du droit de l’environnement ? D’une certaine manière, oui. On assisterait alors à une régression de "la liberté des mers" ? Considérable ! C’est à elle qu’il faut le demander. Propos recueillis par Charles Rassaert. The myth of renewable energy. "Clean. " "Green. " What do those words mean? When President Obama talks about "clean energy," some people think of "clean coal" and low-carbon nuclear power, while others envision shiny solar panels and wind turbines. And when politicians tout "green jobs," they might just as easily be talking about employment at General Motors as at Greenpeace.

Somehow, people across the entire enviro-political spectrum seem to have reached a tacit, near-unanimous agreement about what renewable means: It's an energy category that includes solar, wind, water, biomass, and geothermal power. Renewable energy sounds so much more natural and believable than a perpetual-motion machine, but there's one big problem: Unless you're planning to live without electricity and motorized transportation, you need more than just wind, water, sunlight, and plants for energy. . • Solar power. . • Geothermal power. . • Wind power. . • Biomass. . • Hydropower. There are now seven billion humans on this planet. Et si nous entrions dans l'âge d'or de l'eau ? Deaths per TWH by energy source.

Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » - Ecologie. Slavery Footprint - Made In A Free World. Réfléchissez avant d’acheter bio et/ou local. Une épée de Damoclès plane sur nos têtes.