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Cyber-sécurité

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Washington a le droit de lancer des cyberattaques préventives | États-Unis. La Maison-Blanche n'a pas confirmé les détails de ce rapport, mais un responsable a indiqué que Barack Obama avait érigé des principes pour conduire des attaques de ce type en conformité avec la Constitution américaine et les lois internationales. «Les États-Unis agiront conformément à leur droit intrinsèque à la légitime défense dans le cyberespace, comme le reconnaît le droit international, pour prévenir toute perte en vie imminente ou dommage significatif», a souligné le responsable. Les cyber-armes sont considérées comme tellement puissantes par les auteurs du document qu'elles ne peuvent qu'être activées au plus haut niveau du gouvernement, raconte le quotidien, citant des sources anonymes. Cette décision intervient à un moment où l'administration américaine se prépare à établir pour la première fois des règles concernant l'armée et les services de renseignement dans les cas de cyberattaques majeures.

Cyberattaque contre l'Élysée: la défense de Washington. L'Elysée a été espionné au mois de mai dernier entre les deux tours de l'élection présidentielle. Selon plusieurs sources, les Etats-Unis seraient à l'origine de cette offensive. Dans quel but? Laissez-moi vous répondre de la façon suivante. J'ai eu l'occasion de le dire à maintes reprises par le passé lors de mes rencontres devant les ministres de votre gouvernement.

Nous n'avons pas de partenaire plus important que la France, nous n'avons pas d'allié plus grand que la France. Nous coopérons dans de nombreux domaines touchant à la sécurité. Les Etats-Unis cherchent à se protéger et, dans le même temps, ils lancent des frappes informatiques contre l'Iran, grâce à des logiciels malveillants comme Flame ou Stuxnet. Ces logiciels n'ont jamais été attribués d'une quelconque manière au gouvernement américain. La Maison-Blanche, le Pentagone, mais également les institutions financières... Cela fait presque quatre ans que je suis secrétaire d'Etat à la Défense intérieure. Amérique renforce sa sécurité cybernétique - Elections américaines. La Marine américaine subit près de 110 000 cyberattaques par heure. Plusieurs banques aux Etats-Unis ont été victimes de violentes attaques cybernétiques ces derniers mois.

Même les ordinateurs de hauts responsables américains à la retraite, comme l'amiral Mike Mullen, ont été piratés. Face à une accélération de la guerre électronique, le Pentagone vient de décider de renforcer sensiblement ses moyens de défense et de riposte. Le Cyber Command, le quartier général de l'unité spéciale chargée de protéger l'Amérique de cyberattaques va voir ses effectifs bondir de 900 employés à 4900. Une multiplication par cinq. Comme le révèle le Washington Post, l'annonce n'a pas encore été faite, mais la décision date de la fin de l'année dernière. Les USA autorisent les cyber-attaques. Le président des Etats-Unis a le pouvoir légitime de lancer des cyber-attaques préventives en cas de menaces venant de l'étranger fondées sur des preuves solides, affirme un rapport secret cité par le New York Times aujourd'hui.

La Maison Blanche n'a pas confirmé les détails de ce rapport, mais un responsable a indiqué que Barack Obama avait érigé des principes pour conduire des attaques de ce type en conformité avec la Constitution américaine et les lois internationales. "Les Etats-Unis agiront conformément à leur droit intrinsèque à la légitime défense dans le cyber-espace, comme le reconnaît le droit international, pour prévenir toute perte en vie imminente ou dommage significatif", a souligné le responsable. Les cyber-armes sont considérées comme tellement puissantes par les auteurs du document qu'elles ne peuvent qu'être activées au plus haut niveau du gouvernement, raconte le quotidien, citant des sources anonymes.

International : Les Chinois en pointe dans la «cyberguerre» Malgré leur sophistication, les systèmes de protection des ordinateurs chinois n'auraient pas empêché ceux du premier ministre d'être piratés. Dans la cyberguerre si à la mode aujourd'hui, la Chine réputée talentueuse en attaque serait aussi douée en défense. Elle aurait installé sur tous ses ordinateurs gouvernementaux et militaires un système très efficace pour déjouer les intrusions de cyber-espions américains. L'existence de ce «bouclier» a été révélée lors d'auditions devant le Congrès des États-Unis, selon le Washington Post. La grande originalité de ce dispositif baptisé «kylin» serait de reposer sur un système d'exploitation inédit, soit une plate-forme de logiciels différente de Windows, Mac Os ou Linux. Les 103 cibles de GhostNet De quoi inciter le Pentagone à réagir, alors que Barack Obama entend faire de la cyberdéfense une priorité.

International : Pékin impliqué dans le piratage de Google. Des notes diplomatiques américaines publiées par WikiLeaks mettent en cause deux hauts dirigeants chinois. Voilà qui, de toute évidence, embarrasse fort les dirigeants chinois et les représentants de Barack Obama à Pékin. Les dernières livraisons indiscrètes du site WikiLeaks concernent des dépêches diplomatiques mettant en cause deux hauts dirigeants chinois dans l'affaire du piratage de Google, au début de l'année.

Un télégramme rédigé par l'ambassade américaine en Chine, cité par le New York Times, explique qu'«un contact bien placé (un Chinois lié par sa famille à l'élite politique, NDLR) affirme que le gouvernement chinois a coordonné les récentes intrusions dans les systèmes de Google». Le problème de cette note, estampillée «secret», c'est qu'elle n'en reste pas à une mise en cause générale ou à celle d'un obscur institut d'informatique.

Elle rapporte que «ces opérations ont été pilotées au niveau du comité permanent du bureau politique» du parti. Une armée de pirates. Cyberguerre: le gouvernement chinois formellement désigné. La Chine est-elle la cible d'une campagne de dénigrement, ou se livre-t-elle réellement à des activités secrètes de cyber-espionnage ? Depuis plusieurs semaines, l'opinion publique américaine s'interroge après les attaques de plusieurs médias qui auraient révélé des informations compromettantes pour Pékin. Un rapport du National Intelligence Estimate a même identifié le territoire chinois comme le premier abri de cyber-espions au monde. L'armée chinoise dans le viseur Cette fois, une société privée américaine, Mandiant, va plus loin et désigne directement le gouvernement chinois comme le principal commanditaire dans un rapport. La société de protection informatique serait remontée jusqu'à lui après avoir démêlé les fils de nombreuses cyber-attaques depuis 2006.

Mandiant aurait ainsi identifié une unité de hackers mise sur pied par l'armée chinoise à des fins d'espionnage. Des attaques confondues par leurs adresses IP La Chine dément fermement. Chine-USA : après la guerre froide, la « cyber guerre » fait rage. La France menacée d'une cyber-attaque de grande ampleur. Depuis le premier jour de son intervention au Mali, la France, et notamment le site du ministère de la défense, sont victimes de multiples cyber-attaques. La plupart provoquent des inconvénients mineurs et impactent temporairement le service, mais des attaques de plus grande ampleur sont redoutées dans un futur proche. La France n’a pas été pionnière en matière de cyber protection et d’initiatives pour contrer ces menaces informatiques de plus en plus nombreuses et avancées. Cependant, depuis l’entrée en guerre de la France auprès de l’armée Malienne, les cyber-attaques se sont multipliées. Elles provoquent des inconvénients mineurs, mais selon Eric Bonnemaison, général en charge des affaires stratégiques au sein de ministère de la Défense, des attaques de plus grande ampleur sont redoutées dans un avenir proche.

Lors du Forum International de la Cyber-sécurité les 28 et 29 janvier, il a été rappelé que la cyber-sécurité constitue une priorité nationale. Anonymous (collectif) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avec la popularité grandissante des imageboards, l'idée qu'Anonymous soit un collectif d'individus non nommés est devenue un mème internet[8],[9]. Le 25 novembre 2006, plusieurs mentions de la communauté Anonymous sont faites dans le manifeste « Rules of the Internet »[10] édité sur 4chan. La notoriété du nom a réellement débuté en 2008 avec le Projet Chanology (une série d'attaques informatique visant l'église de scientologie).

Par la suite, le sens original d'Anonymous a été mal compris, notamment dans l'affaire Sony, où les grands médias ont pu en parler comme d'un groupe restreint de personnes bien identifiées et organisées, alors qu'il s'agit en fait d'un mème et que n'importe qui peut se revendiquer « Anonymous ». Anonymous représente largement le concept de chacun et tous comme un collectif sans nom. Mais les Anonymous n'agissent pas que sur le web. Membres d'Anonymous, New York, à l'occupation de Wall Street. Des membres d'Anonymous préparent une cyber attaque contre Facebook. Cyberattaque - Anonymous dément vouloir attaquer le réseau électrique. WASHINGTON - Les pirates informatiques du groupe Anonymous ont fermement rejeté mardi les allégations selon lesquelles ils pourraient mener une cyber-attaque contre le réseau électrique aux Etats-Unis et provoquer un arrêt de son fonctionnement.

Cette déclaration intervient peu après que le Wall Street Journal a révélé que le chef de l'agence nationale de la sécurité (NSA) avait fait part, notamment lors de réunions privées à la Maison Blanche, de son inquiétude sur une éventuelle attaque contre le réseau électrique du pays, d'ici un à deux ans. Mardi, Anonymous a accusé, sur ses différents comptes Twitter, le chef de la NSA de tenir une «rhétorique alarmiste et de bouc-émissaire».

«Pourquoi Anonymous provoquerait-il une panne du réseau électrique? Il y a énormément de services vitaux qui dépendent de lui. Essaie encore NSA. #bouc-émissaire», s'indigne Anonymous sur le compte @YourAnonNews. International : La cyber-offensive d'Anonymous contre Israël. En menaçant de couper l'accès à Internet de la bande de Gaza, Israël s'est attiré les foudres de ces hacktivistes du Web qui ont attaqué plus de 650 sites gouvernementaux de l'État hébreu en 48 heures. «Personne ne coupe Internet sous notre surveillance.» Les avertissements formulés par Israël de couper l'accès au Web de la bande de Gaza n'ont pas plu aux hacktivistes d'Anonymous. Dans un communiqué publié jeudi, le collectif, attaché à la liberté d'expression sur Internet, a déclaré que l'État hébreu avait «franchi la ligne jaune» en voulant supprimer toutes les communications du territoire palestinien.

Samedi et dimanche, Anonymous a mis ses menaces à exécution, en bloquant brièvement plus de 650 sites israéliens, pour la plupart gouvernementaux et institutionnels. Souvent ciblé par des hackeurs, le gouvernement israélien a minimisé ces intrusions virtuelles. La guerre de Gaza «sur trois fronts» » Tsahal communique tous azimuts sur Internet. Apple annonce à son tour avoir été hackée. La Pomme attaquée.

Le géant américain de l'informatique indique avoir été victime de piratage dans un communiqué diffusé mardi soir. L'attaque visait des ordinateurs portables appartenant à des employés. "Rien n'indiquait que des données avaient été subtilisées", a précisé un porte-parole d'Apple à l'agence Reuters. L'entreprise tient en outre à rassurer ses clients et annonce qu'un logiciel créé pour protéger les Macs de ces attaques sera bientôt publié. Cyberguerre D'après le groupe, il s'agit des mêmes hackers que ceux qui avaient piraté des systèmes de Facebook au mois de janvier.

Des attaques lancées depuis la Chine? Parallèlement, un rapport publié par une société privée de protection américaine, Mandiant, a formellement identifié un groupe de pirates qui, selon elle, a été mise en place par l'armée chinoise. Lire aussi: Cyber-espionnage: l'armée chinoise formellement accusée par un rapport. Cyberattaque : les banques et hôpitaux attaqués tenus à la transparence ? La banque HSBC visée par une cyberattaque d'envergure. 01net. le 19/10/12 à 12h57 La banque britannique HSBC a reconnu, vendredi 19 octobre, que des cyberattaques de « grande envergure » avaient perturbé ses services en ligne dans le monde entier sans toutefois affecter les données privées de ses clients.

La banque a fait état « d'attaques par déni de service de grande envergure » survenues jeudi. Ces attaques « n'ont affecté aucune donnée clientèle mais ont empêché les clients d'utiliser les services en ligne de HSBC, y compris les services bancaires », a-t-elle précisé. « Nous avons pris les mesures idoines et sommes à pied d'oeuvre pour rétablir le service », a-t-elle ajouté. HSBC n'a pas avancé d'hypothèses quant à l'origine de ces attaques mais la banque est dans le collimateur du mouvement anticapitaliste « Occupy ». 80 millions de dollars détournés dans une cyberattaque visant des banques. Les banques américaines ont subi une cyber-attaque puissante. Samedi 29 septembre 2012 6 29 /09 /Sep /2012 20:58 Une attaque, visant à une douzaine de banques, notamment Bank of America, JPMorgan Chase, Citigroup, a été récemment effectuée.

La méthode, lorsque le site était noyé dans un flux de données indésirables, ne présentait pas de menace aux données des comptes bancaires, mais a extrêmement compliqué le travail avec les clients à travers les sites web. Selon l'expert Michael Smith de la société Akama, il est peu probable que l'attaque puisse émaner des représentants de la jeunesse musulmane, mécontente par le film anti-islam réalisé récemment aux États-Unis, bien que cette version a été exprimée sur Internet. Source: Voix de la Russie Partager l'article ! InShare Par wikistrike.com - Publié dans : Science, technologie, web, recherche 0. Piratage informatique au laboratoire anti-dopage - Autres sports. Le laboratoire national de dépistage du dopage (LNDD) de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) a été victime de piratage informatique et déposé plainte. « L'enquête est en cours, a indiqué Jacques de Ceaurriz, directeur de cet établissement.

Je ne fais pas de commentaire car les faits sont probablement liés à des affaires actuellement traitées par le laboratoire », a-t-il poursuivi, accréditant l'hypothèse de la possible implication de l'entourage du cycliste américain Floyd Landis, contrôlé positif à la testostérone par ce laboratoire après sa victoire dans le dernier Tour de France .

L'Office centrale de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication aurait d'ailleurs identifié l'un des complices du piratage, matérialisé par l'envoi de courriers électroniques dénonçant les erreurs répétées commises par ce laboratoire dans ses analyses et s'appuyant sur des documents internes, comme étant un proche de Landis. Les États-Unis, cible d'une importante cyberattaque | International. Le NY Times révèle une cyber-attaque après un article sur Wen.