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Plasticité du cerveau

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Dr William Rostene - www.quantiqueplanete.com Reims 2013 - le cerveau flagrant délire chimique. La semaine du cerveau et l'homme au cerveau creux. C'est la semaine du cerveau sur le c@fé des sciences !

La semaine du cerveau et l'homme au cerveau creux

A cette occasion, les auteurs vous proposent une série d'articles inédits ; découvrez par exemple le plus petit cerveau du monde, comment modéliser le cerveau, comment l'observer ou disséquez celui d'Einstein. Apprenez comment se développe le cerveau, comment il nous fait vomir en bateau et explorez d'autres sujets, comme "le cerveau et la politique" ou "le cerveau et les croyances"! Ça se passe ici ! Quant à moi, j'ai repris un vieil article (oui je suis un flemmard) au sujet de l'homme au cerveau creux, que je vous propose de (re)découvrir aujourd'hui : En 2007, la découverte de l'équipe du docteur Feuillet, publiée dans The Lancet, a stupéfié le monde entier.

L'homme au cerveau creux C'est un homme "normal": la cinquantaine, marié, deux enfants et employé dans l'administration. Cette découverte provoque la stupéfaction. Cartographie du cerveau La théorie du cerveau plastique La plasticité du cerveau en développement. L'homme sans cerveau (La théorie du cerveau plastique) En 2007, la découverte de l'équipe du docteur Feuillet, publiée dans The Lancet, a stupéfié le monde entier.

L'homme sans cerveau (La théorie du cerveau plastique)

L'examen d'un patient "normal" avait révélé une particularité extraordinaire : sa boîte crânienne était pratiquement vide ! Comment cet homme était-il parvenu à vivre normalement, sans troubles neurologiques ? C'est un homme "normal" : la cinquantaine, marié, deux enfants et employé dans l'administration. En 2007, il consulte un médecin à cause d'une trouble de la marche. L'équipe du docteur Feuillet apprend que, depuis son enfance, son patient prend des barbituriques pour traiter une hydrocéphalie. "Lorsque j'ai appris son passé médical, je lui ai naturellement conseillé de passer un scanner, et c'est alors que nous avons découvert ce spectacle peu commun : un cerveau réduit à une bande de quelques centimètres d'épaisseur, contre la paroi crânienne Cette découverte provoque la stupéfaction.

Cartographie du cerveau. Neuroplasticité. Introduction : Un siècle environ d’études neuroanatomiques de plus en plus résolutives ont conduit à préciser l’organisation du système nerveux avec une très grande définition, mais en donnant en contrepartie la notion d’une fixité et d’une constance forte dans l’architecture cérébrale.

Neuroplasticité

Le fait que le cerveau soit constitué quasi exclusivement de neurones postmitotiques renforce cette notion de rigidité structurale, favorisant la recherche de gènes de structure à la base de la mise en place des réseaux nerveux. À ces idées sur le déterminisme génétique de l’organisation anatomique du système nerveux sont associées celles relatives à l’organisation fonctionnelle, relevant d’une conception localisationniste des fonctions cérébrales, issue notamment des travaux de Broca, à la fin du siècle dernier. Notion de neuroplasticité : considération du caractère dynamique de l’organisation cérébrale et de son fonctionnement – au-delà des questions de régénérescence 1- Prolifération : – interleukine-1, Stress, peurs et traumatismes : la plasticité du cerveau serait capable de s’adapter et nous protéger. Des chercheurs d’une équipe anglaise de l'Université d' Exeter Medical School (UEMS) ont pour la première fois identifié le mécanisme qui nous protège du développement de la peur incontrôlable.

Nous le savons et l’apprenons régulièrement, notre cerveau a la capacité extraordinaire de s'adapter à des environnements changeants. Cette capacité est nommée par les experts, la « plasticité ». La plasticité neuronale (ou neuroplasticité) nous protègerait du développement de certains troubles mentaux à la suite de stress et de traumatismes. Cette nouvelle étude, publiée dans la revue de psychiatrie Molecular Psychiatry (1) du journal Nature, vient confirmer cette propension naturelle et approfondir le champ de compréhension de son mécanisme.

Avant un événement traumatique, les récepteurs PAR-1 vont habituellement informer les neurones amygdaliens de rester actifs et de produire des émotions vives. Sources A lire « Psychologie de la peur.

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