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Photo non contractuelle. Mars 28th, 2013 Posted in Images, indices Un intéressant cas de propagande par l’image avec l’illustration d’une tribune publiée par Slate, sur laquelle je suis tombé à la faveur d’une discussion sur mon nouveau blog, Castagne. La problématique de l’article, signée par deux juristes, est de chercher les moyens légaux qui auraient permis le licenciement « pour faute grave » de la directrice adjointe de la crèche qui, revenue d’un congé parental de plusieurs années, avait refusé de se séparer de son hijab, son voile islamique.

Oublions le débat sur le bien-fondé de l’affaire, sur le sens du voile (aliénation, sexisme, liberté,… ?) , déjà discuté ailleurs. La photographie prise par un photographe de Reuters, Jean-Paul Pélissier est légendée de la manière suivante : « À Marseille, en 2010″. J’aurais voulu voir comment Reuters référencie la photographie hors-sujet utilisée par Slate, mais je n’ai pas de compte-client chez Reuters. Global Voices en Français · L’info par les blogs et réseaux sociaux du monde entier. Tweetping. L'April soutient la déclaration "Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !" L'association April apporte son soutien à la déclaration "Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !

" dont voici le texte : Paris, le 18 janvier 2013 — Le ministère de la Culture a annoncé hier la conclusion de deux accords, signés entre la Bibliothèque nationale de France et des firmes privées, pour la numérisation de corpus de documents appartenant pour tout (livres anciens) ou partie (78 et 33 tours) au domaine public. Les fonds concernés sont considérables : 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, ainsi que plus de 200 000 enregistrements sonores patrimoniaux. Ces accords, qui interviennent dans le cadre des Investissements d’avenir et mobilisent donc de l’argent public, vont avoir pour effet que ces documents ne seront pas diffusés en ligne, mais uniquement sur place à la BnF, sauf pour une proportion symbolique.

Toute tentative infondée ou trompeuse de s’approprier des œuvres du domaine public doit être punie légalement. CQFD, dix ans, toutes ses dents mais plus un rond ! « Il reste 217 dollars dans les caisses de l’État zimbabwéen », annonçait récemment le site d’informations d’un journal de banquier. Voilà qui nous situe à peu près sur l’échelle globalisée de la fortune : CQFD est aussi riche, à quelques dizaines de dollars près, que le trésor public du Zimbabwe.

Les sous qui nous restent ne suffiront même pas à payer l’impression du prochain numéro. Si nous vivions dans un monde raisonnable, les Zimbabwéens se la couleraient douce, les banquiers feraient la manche au feu rouge et CQFD triompherait. Mais nous vivons dans un monde déraisonnable où les flibustiers de la presse libre crèvent la gueule ouverte. En mai 2003, quand nous avons lancé notre premier numéro depuis la tanière marseillaise qui nous sert de vaisseau amiral, nous étions raisonnablement convaincus de ne pas faire de vieux os. Mais, pour que l’aventure continue, on a besoin de vous. Il y a plusieurs explications. Seulement le papier coûte cher, de plus en plus cher. Google et la presse négocient toujours leur arrangement financier. Les discussions entre Google et les éditeurs de presse se poursuivent toujours ce vendredi matin, alors que François Hollande avait annoncé son intention de faire adopter une Lex Google par le parlement dès le mois de janvier 2013, créant un droit supérieur aux droits d'auteur sur les contenus de la presse, si aucun accord n'était trouvé d'ici la fin de l'année.

Depuis, les négociations se poursuivent. La médiation a d'abord été prolongée une première fois d'un mois fin décembre, afin d'encourager l'entreprise américaine et les médias français à s'entendre, ce qui éviterait ainsi au gouvernement de présenter un projet de loi qui aboutirait à un nouveau droit voisin pour la presse, afin de la rémunérer sur la base des contenus indexés par le moteur de recherche. L'AFP précise aujourd'hui que le mois supplémentaire accordé aux négociations n'a pas suffi.

Les discussions se poursuivent encore ce vendredi, signe qu'un nouveau a été accordé. Il PD che non capisce | Massimo Mantellini. Breve antefatto poco importante. Qualche sera fa ho postato sul mio blog un video (francamente un po’ patetico) di Pier Luigi Bersani che ascolta Vasco Rossi in auto. Nel titolo chiedevo ironicamente chi mai avrebbe potuto votare per un candidato del genere. Nel giro di pochi minuti i commenti del post sono stati invasi da decine di interventi tutti molto simili, brevi e per nulla argomentati, nei quali si diceva in sostanza “Sì, voterò per Bersani, lui è il migliore”. Alcuni di questi commenti giungevano dritti dalle stanze della sede nazionale del Partito Democratico, ma la sostanza è che un semplice post, su un blog mediamente letto, aveva scatenato un passaparola di attivisti digitali che tutti assieme sono piombati a sostenere le ragioni del capo in un luogo esatto della rete.

La prima domanda è semplice: ma è possibile che al PD non capiscano? Gente che non ha capito, che continua a non capire e che probabilmente governerà questo paese nei prossimi cinque anni. « The next big thing »? L’offre de contenus personnalisés par des médias de précision. Ensevelis tous les jours un peu plus sous un déluge croissant de contenus et de données qui déferlent sur tous nos écrans, quelques questions deviennent urgentes : Þ Comment découvrir ceux qui sont faits pour moi ?

Þ Qui parviendra à nous y aider ? Þ Les machines ? Les hommes ? Une combinaison des deux ? Cet énorme défi, auquel sont confrontés citoyens et entreprises, est aujourd’hui une des grandes priorités des géants de l’Internet et de la technologie. Mais il est peu probable que la solution vienne d’Europe, qui souffre d’un cruel manque de développeurs et d’une trop faible culture numérique de ses dirigeants.

Tri sélectif = médias de précision, interface pertinente, retour au "push" Dans un monde extrêmement prolifique, dominé par les données et les écrans, l’heure est aux médias de précision, personnalisés, sociaux, mobiles, locaux, en temps réel où le « push » a regagné du terrain. Mais c'est dans la vidéo et la télévision que la bataille est la plus rude. Que faire avec les données ?

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