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L'ADN. Génome. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Génome

De l'ADN à la vie. Le génome est l'ensemble du matériel génétique d'un individu ou d'une espèce codé dans son acide désoxyribonucléique (à l'exception de certains virus dont le génome est porté par des molécules d'acide ribonucléique (ARN). Il contient en particulier toutes les séquences codantes (transcrites en ARN messagers, et traduites en protéines) et ARN non codantes (non transcrites, ou transcrites en ARN, mais non traduites). Le génome est souvent comparé à une encyclopédie dont les différents volumes seraient les chromosomes. Les gènes seraient les phrases contenues dans ces volumes et ces phrases seraient écrites dans un langage génétique représenté par quatre bases (adénine, guanine, cytosine et thymine) abrégées en AGCT. La science qui étudie le génome est la génomique. Il ne faut pas confondre le génome et le caryotype, qui caractérise les chromosomes. Génomes dans le monde vivant[modifier | modifier le code] Séquence codante.

La séquence d'un ADN. Le séquençage d'un ADN Michel Delarue (Directeur du service BioMédia de l'Université Paris VI) et Gilles Furelaud (premier rédacteur du site "Vie") Article publié en 2002.

La séquence d'un ADN

Réparation de l'ADN. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Réparation de l'ADN

Chromosomes montrant de nombreuses lésions. La vitesse et le taux de réparation de l'ADN dépend de nombreux facteurs, comme le type de cellule, l'âge de la cellule et l'environnement extracellulaire. Une cellule qui a accumulé une grande quantité de dommages à son ADN, ou une cellule qui n'est plus capable d'effectuer efficacement les réparations des dommages subis par son ADN, peut entrer dans l'un des trois états suivants: un état de dormance irréversible, connu sous le nom de sénescenceune mort par suicide cellulaire, également connu sous le nom d'apoptose ou mort cellulaire programméeune division cellulaire non contrôlée qui va conduire à la formation d'une tumeur cancéreuse.

Certaines lésions de l'ADN des neurones résulteraient du fonctionnement normal du cerveau. Aussi surprenant que celui puisse paraître, certaines lésions affectant l’ADN des neurones seraient le produit du fonctionnement normal du cerveau, notamment lorsque ce dernier est en situation d’apprentissage et de mémorisation.

Certaines lésions de l'ADN des neurones résulteraient du fonctionnement normal du cerveau

Parmi toutes les lésions susceptibles d’affecter l’ADN présent de nos cellules, la plus grave d’entre elles est probablement la cassure dite « double brin » de l’ADN : il s’agit d’une cassure des deux brins de l’hélice formée par la molécule d’ADN, une lésion très difficile à réparer, qui peut notamment engendrer des cancers. Pourtant, une étude vient de révéler que ces lésions particulièrement délétères pourraient, lorsqu’elles concernent les cellules neuronales, être au contraire le produit du fonctionnement normal du cerveau. Plus encore, ces lésions pourraient même… faciliter le processus d’apprentissage du cerveau ! Qu’en conclure ? Il est à noter que ces travaux ont également fourni des éléments nouveaux sur le fonctionnement de la maladie d’Alzheimer.

L'ADN mémoire numérique du vivant. L'ADN est trop fragile pour envisager un « Jurassic Park » Des scientifiques viennent de montrer qu'un brin d'ADN devient illisible au bout de quelques millions d'années seulement.

L'ADN est trop fragile pour envisager un « Jurassic Park »

Un délai bien plus court que les 65 millions d'années qui nous séparent de la disparition des dinosaures. Les paléogénéticiens le soupçonnaient depuis longtemps, ils viennent d'en avoir la confirmation: il ne sera pas possible de ressusciter par clonage des T-Rex ou des diplodocus comme dans le célèbre roman de Michael Crichton, Jurassic Park. Une équipe emmenée par Morten Allentoft, de l'université de Copenhague, au Danemark, et Michael Bunce, de l'université Murdoch de Perth, en Australie, vient en effet de déterminer la vitesse de dégradation de l'ADN.

Dans une étude parue mercredi dans Proceedings of the Royal Society B , ils évaluent la demi-vie de la molécule à 521 ans. Pour dire les choses de façon plus explicite, cela veut dire que tous les cinq siècles, la moitié des liaisons chimiques de la double hélice disparaît. Et si l'ADN "poubelle" ne servait à rien ? Dieu, ADN et dépression. Extraction d'ADN. Rien n'échappe à la police scientifique : Les tests ADN. A chaque instant, nous disséminons notre ADN où nous sommes.

Rien n'échappe à la police scientifique : Les tests ADN

Des cheveux qui tombent, des postillons de salive, des cellules mortes de la peau etc. Sans nous en rendre compte, nous laissons un traceur caractéristique. Mais si, pour nous, cela paraît anecdotique, pour la police scientifique c'est un matériau de luxe pour l'identification. Des indices génétiques Nous sommes tous différents, et notre ADN s'en ressent. Stocker de l'information dans l'ADN. © Shutterstock/ Lichtmeister Christophe dessimoz est professeur de bio-informatique au Collège universitaire de Londres.

Stocker de l'information dans l'ADN

Il est aussi affilié à l'Institut européen de bio-informatique (EMBL-EBI). Article écrit en collaboration avec Marie-Neige Cordonnier. Deux piscines olympiques : tel est le volume qu'il faudrait pour contenir l'ensemble des données produites dans le monde en 2012 (environ 3 × 1021 octets), si on les stockait dans les toutes récentes clefs USB de un téraoctet (1012 octets). Au fil des ans, ce volume croît de façon exponentielle et, avec lui, le besoin de supports numériques fiables pour archiver l'ensemble des informations sur le long terme. L'ADN, disque dur du futur. Les chercheurs sont désormais capables de synthétiser et de lire des molécules artificielles d'ADN contenant des informations comme du texte, de l'image ou du son.

L'ADN, disque dur du futur

Le monde dans lequel nous vivons regorge de données numériques dont l'archivage pose de nombreux problèmes. Tous les supports existants ont des durées de vie relativement faibles, n'excédant pas, au mieux, quelques dizaines d'années. Les spécialistes de la bio-informatique rêvent donc depuis la fin des années 80 de stocker des informations dans l'ADN, la molécule très stable qui code le programme génétique des êtres vivants.