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Grèce

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Temps balayé. Moments passablement rugueux.

Temps balayé

Élections prochaines parodiées et violées d’emblée, citoyens en colère, très en colère même, se sentant piégés par les maîtres du jeu et par les politiciens escrocs, nouveaux comme anciens. La vague de l’espoir SYRIZA étant délibérément brisée sur la digue du mémorandum Tsipras, rien ne sera plus comme avant. Les Grecs s’abstiendront peut-être massivement lors du prochain scrutin, ou sinon, ils iront voter comme... pour vomir dans le siphon de la dictature imposée. À Athènes, on prépare toujours les tables dans la restauration pour touristes ou parfois pour autochtones.

L’ambiance y est toutefois très morose, la déception règne, la fronde couve alors sous le soleil de septembre comme sous l’épiderme des réalités touristiques. “Je ne sais pas encore ce qu'il faut faire pour dire m... à tous ces politiciens abominables. Les pratiques changent... sauf peut-être en politique. Temps insupportables. Sur ce dernier point déjà, ce serait presque fait. Ces entreprises allemandes mêlées à des affaires de corruption en Grèce.

Siemens, Daimler, Rheinmetall : ces fleurons industriels qui ont fait la réputation de l’économie allemande sont englués dans des affaires de corruption à grande échelle en Grèce, pays dont l’Allemagne ne cesse pourtant de dénoncer certaines pratiques frauduleuses.

Ces entreprises allemandes mêlées à des affaires de corruption en Grèce

Aucune date n’a encore été fixée pour la comparution de 19 anciens cadres du conglomérat allemand Siemens devant la justice grecque, mais elle s’annonce comme l’un des procès financiers les plus importants de la décennie en Grèce. Soixante-quatre personnes au total sont poursuivies pour corruption passive et active et blanchiment d’argent dans le cadre d’une gigantesque affaire de pots-de-vin versés en échange de l’obtention d’un juteux marché public.

Il s’agit du «plus gros scandale impliquant une entreprise dans l’histoire d’après-guerre de la Grèce», selon l’organisation américaine CorpWatch, qui scrute les pratiques des entreprises. L’enquête aura duré neuf ans et nécessité 2 368 pages de rapport. Déclaration de sortie de membres de la section locale de SYRIZA à Paris. Déclaration de sortie de membres de la section locale de SYRIZA à Paris. Berlin aurait économisé 100 milliards d’euros grâce à la crise grecque - Economie. Selon une étude de l'Institut Leibnitz de recherche économique, l'Allemagne aurait profité de la crise grecque en attirant des capitaux séduits par la sécurité offerte par les emprunts d'Etats allemands.

Berlin aurait économisé 100 milliards d’euros grâce à la crise grecque - Economie

Grâce à cette forte demande, Berlin a pu se permettre d'avoir des taux d'intérêt plus faibles et de faire de substantielles économies budgétaires que l'institut estime à 100 milliards d'euros. De notre correspondant à Berlin,

Curée médiatique

Yanis Varoufakis. La «tiers-mondisation» de l’Europe? Ce qui est en train de se passer en Grèce ressemble comme deux gouttes d’eau à ce qu’avaient vécu de nombreux pays africains dans les années 1980-1990.

La «tiers-mondisation» de l’Europe?

Surendettés par l’irresponsabilité aussi bien de leurs dirigeants que de sociétés privées, ou d’institutions financières, le réveil fut rude. Les délégations du Fonds monétaire international (FMI) débarquèrent dans les capitales, prirent leurs quartiers dans les hôtels luxueux et les bureaux du Ministère des finances, et imposèrent leur modèle économique ultralibéral unique, exactement comme en Grèce. Depuis lors, ces pays n’ont plus jamais regagné le contrôle de leurs propres économies, pilotées depuis Washington par les petits génies de la finance mondialisée. Depuis lors, dans les capitales africaines, le ballet des délégations du FMI et de la Banque mondiale n’a plus jamais cessé. Autant de commentaires qui ont fleuri dans les médias africains, avant qu’Alexis Tsipras ne soit remis à l’ordre de la plus brutale manière. « La Tourmente grecque » : mortalité infantile + 43 %

Le taux de mortalité infantile a progressé en Grèce, depuis le début de la crise, de 43 %.

« La Tourmente grecque » : mortalité infantile + 43 %

C'est à ce taux que l'on reconnaît le niveau de développement d'un pays. La Tourmente grecque, film de Philippe Menut, rappelle cette triste réalité, et bien d'autres, qui montrent que la Grèce sert de "cobaye" aux spéculateurs. Le réalisateur, Philippe Menut, a été journaliste à France 2 et à France 3. Ce film, débuté en 2012, est régulièrement actualisé. Il décrit la crise humanitaire, véritable "guerre économique et sociale" : 30 000 sans-abri à Athènes, retraites réduites de 25 %, budget de la santé amputé du tiers, chômage multiplié par 3, services publics sinistrés.

BALLAST Grèce : six mois pour rien ? Texte inédit pour le site de Ballast Syriza est arrivé au pouvoir en Grèce le 25 janvier.

BALLAST Grèce : six mois pour rien ?

Six mois plus tard, le parti de la « gauche radicale » est au bord de l’implosion. Le 15 juillet, son Premier ministre Alexis Tsipras a fait passer au Parlement, avec les voix de l’opposition, un accord avec l’Union européenne qui renie à la fois son propre programme électoral et le résultat populaire du référendum du 5 juillet. Toutes les « lignes rouges » ont été franchies.

De plus, les lois votées par Syriza depuis janvier doivent être purement et simplement retirées. Meet The Latest Rising Greek Political Star Who Says No To Austerity. L’Europe impose à la Grèce un plan de privatisation punitif. Le 12 juillet, le sommet des dirigeants de la zone euro a dicté les termes de sa capitulation au Premier ministre grec Alexis Tsipras, qui, terrifié par les alternatives, a tout accepté en bloc.

L’Europe impose à la Grèce un plan de privatisation punitif

L’un de ces termes concerne la liquidation des avoirs publics restants de la Grèce. Les dirigeants de la zone euro ont exigé que des biens publics grecs soient transférés à un fonds de type Treuhand – un dispositif de vente au rabais, similaire à celui utilisé après la chute du mur de Berlin pour privatiser rapidement, au prix d’une forte perte financière et avec des effets dévastateurs sur l’emploi, toutes les entreprises publiques de l’Etat moribond est-allemand. Ce Treuhand grec devait être basé (tenez-vous bien) au Luxembourg et devait être dirigé par un groupe supervisé par le ministre des Finances de l’Allemagne, Wolfgang Schäuble, l’auteur du plan. Il est censé effectuer l’ensemble des ventes au rabais d’ici trois ans. Les choses auraient pu se dérouler autrement. Piller la Grèce. L’accord demande au gouvernement grec d’annuler tous les projets progressistes légiférés par Syriza depuis son arrivée au pouvoir il y a 6 mois; de recevoir l’approbation de la troïka avant de décider de nouvelles lois; d’adopter des mesures d’austérité automatiques en acceptant des “coupures de dépenses gouvernementales quasi-automatiques” au cas où les objectifs de surplus budgétaires ne seraient pas atteints; d’accélérer la saisie et la liquidation de commerces et de résidences qui ne peuvent pas payer leurs dettes; et d’affaiblir, ou même éliminer, les normes du travail protégeant les recours collectifs par des employés.

Piller la Grèce

Mais la clause peut-être la plus humiliante est celle qui force la Grèce à privatiser la somme effarante de €50 milliards de biens publics. Ceux-ci seront vendus à des investisseurs privés, dont plusieurs seront des étrangers. Le fonds qui gèrera le processus de privatisation se trouvera en Grèce, mais en pratique sera contrôlé par la troïka. Voici un échantillon. Grèce : la longue liste des violations des droits humains perpétrées sous le diktat des créanciers.

Dans le cadre du plan faussement appelé de sauvetage, la Troïka Troïka Troïka : FMI, Commission européenne et Banque centrale européenne qui, ensemble, imposent au travers des prêts des mesures d’austérité aux pays en difficulté. a imposé au gouvernement grec de prendre des mesures qui ont directement détérioré les conditions de vie de la population et violé leurs droits humains consacrés dans plusieurs instruments juridiques nationaux, européens et internationaux |2|.

Grèce : la longue liste des violations des droits humains perpétrées sous le diktat des créanciers

Selon le l’ombudsman grec, « les ajustements draconiens imposés à l’économie et à la société grecques dans leur ensemble ont eu des effets dramatiques sur les citoyens et multiplié les groupes vulnérables |3| ». De même, la Commission Nationale des Droits de l’Homme a observé « une détérioration rapide des niveaux de vie accompagnée d’un démantèlement de l’État social et de l’adoption de mesures incompatibles avec la justice sociale qui sapent la cohésion sociale et la démocratie |4| ». 1. Impact des mesures 2. 3. Réponses à vos questions (suite). 9) LE... - Yannis Youlountas. Monnaie électronique, transparence fiscale, contrôle des banques : des alternatives existent au plan imposé à la Grèce. Le 5 juillet 2015, à l’issue du référendum initié par le gouvernement d’Alexis Tsipras et le parlement hellène, le peuple grec a rejeté massivement la poursuite de l’austérité que voulaient lui imposer les institutions qui auparavant agissaient sous le nom de Troïka.

Monnaie électronique, transparence fiscale, contrôle des banques : des alternatives existent au plan imposé à la Grèce

C’est une splendide victoire de la démocratie. Pourtant, s’il est mis en pratique, l’accord intervenu le lundi 13 juillet au matin, signifiera la poursuite de l’austérité dans le cadre d’un nouvel accord pluriannuel. Ce qui est en totale contradiction avec le résultat du référendum. Cette proposition inclut l’abandon d’une série très importante d’engagements pris par Syriza lors de la campagne électorale qui lui ont permis d’obtenir une victoire d’une portée historique le 25 janvier 2015. Syriza a engagé sa responsabilité devant le peuple grec et il serait tragique qu’elle ne la respecte pas, d’autant que le peuple lui a apporté un appui très clair tant le 25 janvier que le 5 juillet 2015. 1.

Les parlementaires se prononcent sur l'asservissement d'une nation. L’Assemblée nationale et le Sénat votent cet après-midi pour donner leur aval à l’accord sur la Grèce. Ce texte, adopté lundi matin, après 17h de réunion des chefs d’Etat et de gouvernement évite certes à la Grèce de sortir de la zone euro, mais à quel prix ? Sous la pression d’un étranglement financier orchestré par la BCE depuis février, Alexis Tsipras a accepté de signer « pistolet sur la tempe » un accord auquel il « ne croit pas ». Un plan qui reproduit en les aggravant les recettes des deux précédents plans qui n’ont qu’aggraver les conditions de vie des grecs sans améliorer la situation économique de leur pays.Un accord qui va encore accroître la dette de la Grèce, jugée « totalement non viable » par le FMI.

Le texte issu de l’Euro sommet (à lire ici en intégralité) exige en revanche, entre autres dispositions : Face à la violence de ce texte qui propose rien moins que l’asservissement d’une nation, la gauche européenne est face à ses responsabilités. Atrocités allemandes. Ce pays doit certainement davantage à ses poètes qu’à ses créanciers. “La Liberté ou la mort”. Nous sommes en guerre contre les élites mafieuses de l’Allemagne néo-impériale. L’Europe comprend, la France est à l’étroit, le monde observe. Une Europe contre les peuples et la démocratie. « Jamais je ne pourrai voter et légitimer le contenu de l’accord » Mesdames et messieurs, chers collègues, En de pareils instants, nous devons agir et parler avec sincérité institutionnelle et courage politique. Nous devons assumer chacune et chacun la responsabilité qui nous revient.

Protéger, comme notre conscience nous y oblige, les causes justes et les droits sacrés, inviolables et non négociables de notre peuple et de notre société. Sauvegarder l’héritage de ceux qui ont donné leur vie et leur liberté pour que nous vivions aujourd’hui libres. #ThisIsACoup : les internautes dénoncent un "coup d'Etat" de l'Allemagne contre la Grèce. Par Francetv info avec Reuters Mis à jour le , publié le Dans le viseur des internautes, l'Allemagne, et en particulier son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble.

Soutenir la Grèce, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, mars 2015) Les Grecs n’ont pas besoin qu’on leur explique la signification du terme « démocratie ». Pourtant, les leçons pleuvent sur leurs têtes depuis qu’ils ont porté au pouvoir une force de gauche déterminée à tourner le dos aux politiques d’austérité qui depuis six ans les tourmentent. Les admonestations leur sont dispensées d’autant plus copieusement que les maîtres d’école savent de quoi ils parlent. Eux qui ont imposé des traités rejetés par le suffrage populaire et renié leurs engagements de campagne sitôt leur élection acquise. Désormais, une épreuve de force les oppose à ceux qui veulent tenir ce qu’ils ont promis, et à quoi ils croient. Elle sera d’autant plus rude que ces derniers pourraient diffuser à des tiers, jusqu’alors résignés à leur impuissance, des idées menaçantes pour l’ordre social.

Sitôt connue la victoire de Syriza, chacun semblait s’être donné le mot sur le Vieux Continent. « Des milliers de Grecs se sont suicidés plutôt que de subir la crise » Face aux créanciers, effronterie argentine et frilosité grecque, par Maurice Lemoine (Le Monde diplomatique, avril 2012) Tout commence par une idée éblouissante. L’Europe d’où le peuple est absent. La proposition envoyée avant-hier soir par le gouvernement grec aux Institutions est d’abord un aveu : elle met brutalement au jour l’absence d’une alternative concrète au maintien de la Grèce dans la zone euro, d’un «plan B» qui aurait pu (qui aurait dû) permettre de tenir tête aux créanciers et, en cas de rupture, de financer immédiatement les besoins de l’Etat, de relancer et de réorganiser la production autour des besoins réels, des besoins de la majorité sociale.

Dominique Plihon : « Il faut porter plainte contre la BCE à la Cour européenne de justice. Dominique Plihon est professeur d’économie financière à l’Université Paris XIII, membre du conseil scientifique d’Attac et des Économistes atterrés. Discours féroce de Sahra Wagenknecht au Bundestag - Mars 2015. Grèce. André Chassaigne : "Le courage et la dignité du peuple grec face au chantage et à l’injustice est un message de résistance et d’espoir pour toute l’Europe."

Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, Chers collègues, Macron fait une mise au point, et s’enfonce. Un insider raconte: comment l'Europe a étranglé la Grèce. Athènes, de notre envoyé spécial.- Quelques jours avant le référendum, un conseiller du gouvernement a reçu plusieurs journalistes français, dont Christian Salmon pour Mediapart (lire notre boîte noire). Pourquoi Syriza ne peut pas être comparée au FN. Grèce : « Mes immondices », par Franz-Olivier Giesbert. 22. Yannis Androulidakis (anarcho-syndicaliste grec) : « La politique ne change pas par les gouvernements » Yannis Androulidakis, de l’Initiative anarcho-syndicaliste Rocinante, nous parle de la situation politique et sociale en Grèce, du gouvernement Syriza et de l’état du mouvement social et libertaire grec. Quel est le climat politique général depuis l’élection de Syriza, quelles mesures ont été prises et comment qualifier leur politique ? Nous sommes tous des Grecs européens.

Quelle claque ! Alors que les sondages annonçaient un résultat très serré, alors que tous les médias néo-libéraux répandaient la peur, les Grecs ont choisi, sans crainte : "Oxi" ! Grèce : au soir de la victoire du non, la déception... des journalistes. Chomsky: Greece Faces "Savage Response" For Taking on Austerity "Class War" Grèce: une page d'histoire. « Où sont les Sartre, les Foucault ? », par Philippe Descamps (Le Monde diplomatique, mars 2015) OXI, la fête démocratique. Vers un césarisme européen, par Cédric Durand et Razmig Keucheyan (Le Monde diplomatique, novembre 2012) Christine Lagarde attack on Greece backfires as she pays no tax. Greece: Drone soars over thousands of' NO' protesters as referendum looms.

« La liberté demande de la vertu et de l’audace » : le discours de Tsipras traduit. Alexis Tsipras : « La liberté demande de la vertu et de l’audace » Syriza, le feu à la plaine ou le pétard mouillé ? Le secret des banques derrière la tragédie grecque. The banks’ secret behind the Greek tragedy. La sortie de l'euro soutenue par deux Nobels, mais ignorée des médias. Stratégie du choc : comment le FMI et l'Union européenne bradent la Grèce aux plus offrants. Tsipras ou le retour de l'histoire. Comment sauver vraiment la Grèce (Le Monde diplomatique, juillet 2015)

David Graeber : « La façon la plus simple de désobéir à la finance, c'est de refuser de payer les dettes. As Greece Heads for Default, Voters Prepare to Vote in Pivotal Referendum on More Austerity. Chomsky: Greece Faces "Savage Response" For Taking on Austerity "Class War" Contre-information sur la Grèce avec Yannis Youlountas : négociations, grexit, etc. Grèce : la presse française a des trous de mémoire. Sept économistes dont Piketty et Stiglitz se déclarent en faveur de la Grèce.

Troc en ligne et entraide : la Grèce se prépare à un monde sans cash. Allons voir chez les Grecs... A-t-on vraiment aidé les Grecs. L'Argentine dément les propos de Michel Sapin sur la Grèce, par Renaud Lambert (Le Monde diplomatique, 1er juillet 2015) Podemos : « Nous nous tenons fermement aux côtés du peuple grec. Europe: le retour de la politique du pire. La déclaration d’indépendance de la Grèce. La Grèce ne va pas honorer son paiement au FMI, nouvelles tractations avant le référendum. Au regard de la situation en Grèce, et à la suite de la rupture des négociations par l’Eurogroupe, Podemos souhaite communiquer ce qui suit.

La Grèce face à l'intégrisme économique. Grèce: l’économie politique du crime. La Grèce au cœur de l’Europe! « Les créanciers veulent tuer le serpent dans l’œuf ! Where is My European Union? Grèce : petit guide contre les bobards médiatiques. Référendum grec : Tsipras appelle à un « grand non » aux créanciers. «Pour la souveraineté et la dignité du peuple grec» (Alexis Tsipras, Athènes, samedi 27 juin 2015) Allocution du premier ministre A. Tsipras au peuple grec. La choix au peuple souverain .#Référendum. Un coup d’état sous nos yeux. Les créanciers disent à Tsipras : pas touche aux riches ! La Grèce et l'Europe sous la coupe d'une junte financière. Grèce : milliardaires et multinationales se partagent le gâteau des privatisations. Grèce : les créanciers instaurent la stratégie de la terreur. Grèce: l'invention sous la crise (ressources) La dette grecque est illégale, illégitime et odieuse selon le rapport préliminaire du Comité sur la dette. Trois idées reçues sur la crise grecque.

« Arrêtons le massacre des droits et de la démocratie en Grèce et en Europe. Grèce : le coup d’État ne sera pas télévisé. Retraités grecs : « Ce n’est pas en nous appauvrissant que nous sortirons de la crise » Noam Chomsky: Greek Debt Must Be Written Off, Brussels is Destroying Greece. Le FMI a fait 2,5 milliards € de bénéfice sur ses prêts à la Grèce. Frédéric Lordon & Panagiotis Sotiris : L'État, le capital, l'internationalisme. Leçons de Grèce.

Grèce : le monde de la finance passe à l'attaque contre Tsipras. Grèce. L'Allemagne a-t-elle une dette de guerre envers la Grèce ?