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"Les poilus de Valence"

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Régiments Militaires. Messieurs les officiers, vos papiers s’il vous plaît ! Il y a quelques mois, dans l’article intitulé Officiers en série, nous avons vu comment rechercher le dossier d’un officier de la Première Guerre mondiale dans les archives du Service historique de la Défense. Entrons aujourd’hui à l’intérieur des dossiers, pour comprendre les pièces qui les constituent. Les dossiers individuels des officiers (de l’armée active et de la réserve) se caractérisent par leur homogénéité et leur fiabilité. Ils se distinguent des dossiers de carrière des Affaires étrangères ou de l’Instruction publique, par les pièces qui les composent. Ces dossiers ont permis à l’État de garantir les droits des officiers, de contrôler un corps qui peut éventuellement représenter une menace pour la République et de veiller au recrutement et aux carrières de ces hommes sur lesquels il doit compter.

Les dossiers de pensions et de carrière des militaires s’étoffent et se structurent progressivement au cours du XIXe siècle. Genealogie - Geneafrance. Registre matricule militaire Selon les époque le service militaire et le mode de recrutement ont varié (ex. tirage au sort jusqu’en 1905, possibilité d'avoir un remplaçant qu'on paie, appel obligatoire...) Vos ancêtres hommes vont prendre de l’épaisseur tout à coup et avoir une vraie présence à travers tous les renseignements qui figurent dans les tableaux de recrutements, puis les registres matricules, parfois on peut également retrouver dans les papiers de famille les "congés de libération" qui comportent ces mentions également. A la mairie consultez la série H pour les listes de recensement militaires. Cela ne donne pas autant d’informations qu’aux AD mais reste intéressants. Les « états de service » dans lesquels sont consignés les livrets matricules de tous les soldats et sous officiers nés entre 1847 et 1906 sont aux AD série R.

Le registre-matricule des états de services est tenu par canton ou par arrondissement et par classe de recrutement. Degré 0 : ne sait ni lire ni écrire. Les monuments aux morts, mémoire de la guerre - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers. Le monument aux morts d’Annot (Alpes-de-Haute-Provence).

Photo : Xavier Lambours © La Documentation française. Agrandir l'image C’est juste au sortir du conflit que sont érigés partout en France des monuments aux morts de la Grande Guerre ; dans chaque ville, chaque village, là où ces hommes vivaient et travaillaient. Sur les champs de batailles, là où ils sont tombés, leurs restes reposent dans de grands cimetières et ossuaires. Ces marques de mémoire et de deuil sont analysés par Annette Becker dans "La Grande Guerre, entre mémoire et oubli" (Cahiers français n° 303, juillet-août 2001). « La France, comme tous les peuples en guerre, a vécu une véritable "Imitation de la Patrie" que les monuments révèlent. Nommer Pour le cénotaphe communal, on a choisi dans la plupart des cas une stèle, souvent obélisque, du type de celles qui ornaient jusque-là les tombes des cimetières.

Croire, combattre, travailler "L'armée protège l'arrière : l’arrière travaille pour l’armée". Des lieux de regrets. Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine - Musée d’Histoire Contemporaine.

Généalogie

Parcours de Mémoire. Léon Vivien : un poilu sur Facebook. Centenaire 1914 - 2014. Rapport de Joseph Zimet sur le Centenaire. 17/11/2011Rapport de Joseph Zimet sur le Centenaire Le rapport sur le Centenaire de la Grande Guerre est publié. Joseph Zimet, adjoint au directeur à la direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA), a presenté son rapport sur le projet d'organisation du Centenaire de la Grande Guerre au Président de la République. Ce dernier l'a validé. Ce projet servira de base au lancement par l'Etat du programme du Centenaire. La Meuse tient toute sa place dans ce projet.

Pour consulter ce projet, cliquez-ici. Pour en savoir plus, consultez l'article publié sur le site du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants. Mémoire du Centenaire 14-18 en Picardie. Souvenir Français.

Première guerre mondiale

Monuments aux morts. Archives Françaises. Sites institutionnels. Retracer le parcours d'un ancêtre pendant la Première Guerre Mondiale. Les monuments aux morts, mémoire de la guerre - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers. La série R : la liste matricule. Où trouver des informations pour retracer le parcours d'un combattant ? La liste matricule Cet autre document lié à un matricule ne concerne qu'une minorité des hommes. C'est toutefois un document qui peut se révéler utile pour retrouver la trace d'un engagé volontaire ou d'un homme ayant changé de domicile et de circonscription militaire. Qu'est-ce qu'une liste matricule ? Il s'agit d'un registre temporaire réunissant les fiches des engagés volontaires et celles des hommes changés de subdivision suite à un « transfert » de domicile.

Le plus souvent, il se compose d'un volume unique plus ou moins épais suivant le nombre de fiches, rarement de deux volumes. Pour résumer le texte de l'instruction, voici deux exemples : - Pour les engagés volontaires : Ce document est temporaire car il permet d'immatriculer les engagés volontaires tant qu'ils n'ont pas reçu un matricule en même temps que les autres hommes de leur classe de recrutement. . - Pour les hommes ayant changé de domicile : 1. Histoire-géographie-citoyenneté - comment décrypter un monument aux morts ? Travailler sur un monument aux morts- Pour mémoire - CNDP. Étudier un monument aux morts en utilisant la base Mémoire des hommes Chaque monument aux morts a un intérêt historique et pédagogique. Il permet de trouver et d’exploiter des informations, dans les domaines artistique, social, démographique ou idéologique. La plupart de ces monuments portent le nom des soldats morts pour la France.

À partir d’un relevé, on peut faire une étude des soldats de la commune morts au combat. Le site permet d’accéder à toutes les fiches militaires établies pour tous les soldats morts pour la France durant la Grande Guerre. Dans chaque fiche, des renseignements peuvent être exploités : le grade, l’arme, la date et le lieu de décès, la cause du décès, la date et le lieu de naissance. À partir d’un monument, on peut donc réaliser un travail statistique (moyenne d’âge au décès, pourcentage des causes de décès, provenance), dresser une cartographie des lieux de décès, faire quelques recherches auprès d’éventuels descendants dans la commune.