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Futur/prospective et technologie

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Roko’s Basilisk: The most terrifying thought experiment of all time. Still courtesy of DreamWorks LLC WARNING: Reading this article may commit you to an eternity of suffering and torment. Slender Man. Smile Dog. Goatse. These are some of the urban legends spawned by the Internet. Yet none is as all-powerful and threatening as Roko’s Basilisk. For Roko’s Basilisk is an evil, godlike form of artificial intelligence, so dangerous that if you see it, or even think about it too hard, you will spend the rest of eternity screaming in its torture chamber. David Auerbach is a writer and software engineer based in New York, and a fellow at New America.

Are you sure you want to keep reading? Roko’s Basilisk exists at the horizon where philosophical thought experiment blurs into urban legend. One day, LessWrong user Roko postulated a thought experiment: What if, in the future, a somewhat malevolent AI were to come about and punish those who did not do its bidding? You may be a bit confused, but the founder of LessWrong, Eliezer Yudkowsky, was not.

10 Horrifying Technologies That Should Never Be Allowed To Exist. Richard K. Morgan's Altered Carbon series had a depraved take on virtual punishment. In the series minds can be easily uploaded and bodies traded. The standard interrogation technique if torture is on the table is to upload a person into a virtual rape room in the body of a young girl. Pretty disturbing idea. Iain M. Banks' novel Surface Detail is also interesting, concerning the use of virtual hells by other civs in the Culture universe.

Yeah virtual hells in Surface Detail was the first thing I thought of. Le monde dans 100 ans vu par 10 économistes: des robots partout, de l'agriculture en Sibérie. A quoi ressemblera le monde dans 100 ans? Cette question, les médias se la posent régulièrement (en 2012, c'était la BBC, par exemple). Cette année, c’est un économiste qui la pose à ses collègues. Ignacio Palacios-Huerta, de la London School of Economics, publie un livre intitulé In 100 Years: Leading Economists Predict the Future (Dans 100 ans: des économistes confirmés prédisent le futur), où dix économistes décrivent le monde tel qu’ils l’imaginent en 2114.

«On vivra en moyenne jusqu’à 100 ans»; «Les gens seront plus efficaces grâce à des médicaments qui amélioreront “la concentration, la mémoire, ou encore l’intelligence”»; «Peut-être aura-t-on plusieurs épouses pour les différentes phases de notre vie». Ce sont quelques-unes des prédictions que retient le Financial Times dans la présentation de ce livre. publicité «Nous pourrions vivre dans “le mauvais rêve d’une économie ” où les robots assurent toute la production, y compris la production des robots.» À lire aussi sur Slate.fr. Vers un internet inter-espèces. On connaissait l’internet qui reliait des machines entre elles. C’était le premier internet. Aujourd’hui que nous sommes équipés de smartphones que nous ne quittons jamais et que nous avons des comptes personnels sur les réseaux sociaux : on peut dire qu’internet relie entre eux les êtres humains. C’est le deuxième internet. On prévoit dans un avenir proche l’émergence d’un troisième internet, celui des objets, qui relierait donc les objets entre eux.

Eh bien, ça n’est pas fini, car aujourd’hui, certains travaillent à un quatrième internet, qui ne relierait plus seulement des machines, des êtres humains et des objets, mais qui relierait aussi les animaux. Un « Internet inter-espèces« , c’est son nom. Vidéo : le TED Talk sur l’internet des espèces avec Diana Reiss, Peter Gabriel, Neil Gershenfeld et Vint Cert. D’accord, mais comment faire ? Le petit groupe a l’air d’y croire. Vidéo : Playing with Pigs, une application iPad pour interagir et jouer avec de vrais cochons.

Xavier de la Porte. What a space city would actually look like in real life. Gouverner c’est prévoir : à quoi ressembleront les métiers de demain. Parfois, comme ce matin, alors que j’entends vos invités défendre leur vision de Strasbourg (la Matinale de France Culture était en déplacement à Strasbourg) et de la vie politique, alors que le gouvernement et le président de la République n’ont plus la confiance de personne, et même, quelques jours après la nomination d’un président de Radio France qui va devoir faire avec les bouleversements que nous vivons, parfois, comme ce matin je me demande comment on peut désirer le pouvoir. Je me demande comment on peut désirer le pouvoir dans un monde où règne l’incertitude et où celui qui prétend tout comprendre est soit aveugle, soit visionnaire, dans les deux cas suspects.

Cette réflexion – assez puissante faut l’avouer -, est activée par un document sur lequel je suis tombé hier par les hasards des errances numériques. Dans les faits, certains de ces métiers soi-disant d’avenir existent déjà, mais peu importe. Présentation : les métiers de demain, par Spark & Honey. Xavier de la Porte. 20 métiers étonnants qui pourraient exister dans le futur. A la vitesse où notre société évolue, il n’est pas étonnant que de nouveaux métiers émergent ces prochaines années. Les changements constants dans notre monde vont donner lieu à une pléthore de nouvelles professions que vous n’auriez pas forcément imaginé. DGS vous propose de découvrir les probables 20 métiers auxquels vous pourriez postuler dans ces prochaines années. Pour citer Thomas Frey : « 60 % des meilleurs métiers des 10 années à venir n’ont pas encore été inventés ». Une phrase qui résume bien l’évolution constante du marché du travail et de l’emploi, qui voit naître, parallèlement à l’avancée technologique de notre société, de nouvelles professions en accord avec l’air du temps.

Et c’est logique : qui aurait pensé il y a 10 ans qu’on puisse être développeur d’applications pour smartphone ? L’agence américaine Sparks&Honey s’est penchée sur 20 métiers qui pourraient voir le jour dans un futur plus ou moins proche. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. L’avenir de la programmation (5/6) : programmer le vivant. Si nos quatre premières parties ont illustré certaines tendances de la programmation contemporaine, nous sommes restés dans des domaines assez “classiques”. De fait, il ne s’est agi jusqu’ici que d’interagir avec des ordinateurs traditionnels, faits de composants électroniques et dont le résultat reste avant tout “virtuel”. Dans les deux prochains chapitres, nous allons entrer dans des domaines plus spéculatifs. Peut-on adapter la logique de la programmation à des systèmes radicalement différents de nos bons vieux PC (ou tablettes, ou smartphones, qui ne sont au final que des PC miniaturisés) pour s’attaquer à des phénomènes comme le vivant, voire, avec l’informatique quantique, à la structure de la réalité et de la matière elle-même ?

Programmer le vivant, on en parle depuis un certain temps. Cet avertissement effectué, voyons donc quelles sont les idées des nouveaux “programmeurs” du génome. Les principes fondamentaux La biologie synthétique “virtuelle” Cell X = new Cell(“E. Rémi Sussan. 12 Futuristic Forms of Government That Could One Day Rule the World. Prospective : l’avenir passe par la fiction. Par Rémi Sussan le 12/09/13 | 13 commentaires | 2,177 lectures | Impression L’Institut pour le futur (IFTF, @iftf) n’en est pas à sa première tentative expérimentale dans le domaine de la prospective.

Voilà quelque temps il avait ainsi participé à la création du jeu Superstruct. Cette fois, l’Institut a décidé de recourir à la littérature. Dans le cadre de son projet sur l’Age de la matière connectée, afin de mieux explorer ce thème de recherche, il a commandé six nouvelles d’anticipation à des auteurs réputés (Bruce Sterling (Wikipédia, @bruces), Rudy Rucker (Wikipédia, @rudytheelder), Cory Doctorow (Wikipédia, @doctorow), Madeline Ashby (@madelineashby), Warren Ellis (fameux scénariste de comics, Wikipédia, @warrenellis) et Ramez Naam (Wikipédia, @ramez).

Faire appel à des auteurs de science-fiction pour effectuer un travail de prospective est-ce vraiment sérieux ? De l’internet des objets à la nanotechnologie Pour Naam, on peut bénéficier d’un tel implant gratuitement. Rémi Sussan. ÎLE FLOTTANTE – Confronté à la montée des eaux, un archipel envisage de migrer vers une plateforme artificielle. La capitale de l'atoll de Kiribati, Tarawa. Government of Kiribati/CC-BY-SA 2.0 Au beau milieu du Pacifique, l'atoll de Kiribati, menacé par la montée des eaux, se tourne vers une solution inédite : la création d'un vaste îlot flottant. Le projet, à première vue loufoque et peu réalisable, est pourtant sérieusement envisagé depuis quelques années par le président de l'archipel, Anote Tong. Capture d'écran des plans du projet, sur le site du constructeur, Shimizu Corp. Grâce à une société japonaise pionnière en la matière, le projet se concrétise.

Très futuristes, les plans montrent un vaste archipel artificiel posé sur de gigantesques structures dont la forme évoque des nénuphars. Trois îlots y sont maintenus à 3 kilomètres les uns des autres, autour d'une tour géante de 800 mètres de hauteur. Un édifice qui pourrait héberger 30 000 des 100 000 habitants ainsi que des bureaux et des magasins. Le Lilypad de Vincent Callebaut - Capture d'écran du site de l'architecte belge.

Alléger la ville : vers des plateformes de crowdfunding urbain. Par Marine Albarede le 27/09/13 | 9 commentaires | 2,102 lectures | Impression Cet été, le groupe de travail “Alléger la ville” de la Fing a rendu ses premières conclusions sous formes de pistes d’inovation, c’est-à-dire des idées, des concepts prêts à être déployés pour favoriser de nouvelles formes d’innovation. A l’heure où les villes ont l’obligation d’innover pour répondre aux défis auxquels elles sont confrontés et parce que les leviers habituels de l’action publique ne suffisent plus, l’expédition “Alléger la ville” avait pour objectif de proposer un autre avenir de l’usage des technologies dans la ville que celui de la Smart City, une vision de notre avenir urbain très technique et difficile à appréhender pour les habitants.

Les acteurs publics et les grands opérateurs urbains n’ont aujourd’hui plus les moyens de faire face seuls à l’ampleur et la complexité des défis urbains. En quoi ça consiste ? Vous avez dit “Crowdfunding”? Concrètement Scénario Les conditions de réussite. Prochain arrêt, la Singularité (2/4) : L’intelligence artificielle est-elle la clé de la Singularité. Par Rémi Sussan le 04/09/08 | 15 commentaires | 16,755 lectures | Impression Pour Vernor Vinge, c’est la création d’une intelligence artificielle supérieure à l’intellect humain qui sera l’avancée technologique qui précipitera la singularité. Dans le numéro d’IEEE Spectrum consacré au sujet, Vernor Vinge revient sur sa prédiction, pour nous montrer les scénarios possibles – scénarios qui ont tous en commun l’idée d’une multiplication des capacités cognitives : Le scénario de l’intelligence artificielle, le plus classique : une créature artificielle voit le jour et nous mène vers un avenir inconnu.

On voit bien dans cette énumération, que malgré quelques variations, Vinge s’en tient à une certaine définition de la Singularité. N’importe quel progrès scientifique, même le plus spectaculaire (développement des nanotechnologies, abolition du vieillissement ou de la famine par la biotechnologie, colonisation de l’espace, etc.) ne suffit pas pour produire une singularité. Quelle puissance ? Anthropologists explain how to approach aliens parked in Earth orbit. Awesome article, thanks Annalee. And I completely agree about the hospitality bit. It's weird how stories about alien encounters, at least those that make it into the blockbuster club of pop culture, rarely feature the idea of hospitality.

To me, at least, it's weird because most European cultures (who are, still, the ones providing the basic cultural matrices for alien encounter stories) feature folk stories in which hospitality features very prominently. The whole 'be nice to strangers, for they might be angels in disguise' thing. Angels, or gods. It's an ancient story, and one which informed much of the treatment of strangers in traditional European societies. Hospitality was a sacred duty, but then something changed. As for most things, I blame capitalism. Hm, thinking about it, maybe that's the problem. Prédictions: A quoi ressemblera le monde dans 100 ans. Que ceux qui hésitent à changer leur forfait téléphonique se rassurent : ils n’auront peut-être bientôt plus à le faire. Dans 100 ans nous pourrions en effet bien être capables de communiquer directement par le biais de nos cerveaux.

C’est en tout cas qu'imagine la BBC dans une série de prédictions publiées sur son site, comme John Elfreth Watkins, un ingénieur américain, l'avait fait en 1900 dans The Ladies' Home Journal. Avec ce texte, il tentait de deviner ce que serait le monde en 2000 et anticipait notamment des évolutions techniques comme le téléphone portable ou la télévision. En demandant à ses lecteurs à quoi ressemblera la vie dans 100 ans, laBBC participe au grand jeu des pronostics, sorte de tradition du mois de janvier des médias qui s’amusent souvent à deviner les grandes tendances de l’année qui débute (On prévoit ainsi les changements technologiques, les mouvements politiques, ou même l’évolution des médias) mais voit un peu plus loin. Slate.fr Partagez cet article. L'espèce humaine va s'éteindre dans 100 ans.

Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité? S'il était déjà trop tard? The Australian nous apprend que pour le scientifique australien Frank Fenner, le destin de l'Homme est scellé. Cette éminence en ce qui concerne l'extinction des espèces est plus que sceptique quant à l'avenir de l'espèce humaine: L'espèce humaine va s'éteindre.

Mais quel crédit accorder à cette assertion? Selon Fenner, nous allons disparaître parce que nous sommes trop nombreux. La conséquence première de nos modes de vie étant le réchauffement climatique, Fenner n'est pas plus optimiste à ce sujet: Le rechauffement climatique n'en est qu'à son début. Et d'ajouter: L'Homo sapiens va disparaître, peut-être en l'espace d'un siècle.

Impossible d'échapper à notre destin pour Fenner: on ne fait que repousser l'incontournable. Si beaucoup de scientifiques partagent ce constat, tous ne sont pas aussi catégoriques sur l'impossibilité de changer les choses. [Lire l'article sur The Australian] Slate.fr. Après la “Smart City”, la “Living City” Dans un récent article pour Fast Company, le prospectiviste Chris Arkenberg (@chris23, qui tient aussi le blog Urbeing Recorded traitant essentiellement de réalité augmentée), imagine un avenir vertigineux pour nos cités.

Selon lui, les frontières entre la biologie et la technologie vont disparaître. Les villes de demain, explique-t-il, pourraient bien s’élaborer à partir d’imprimantes 3D, de biologie synthétique et de robotique. Comment se combineront ces trois technologies pour donner naissance à l’urbanisme du futur ? Arkenberg envisage plusieurs développements. Dans un premier temps, les outils à disposition vont se perfectionner et se standardiser. Dans un avenir plus lointain, notre vision de la construction devrait vraiment changer :« Des bactéries seront modifiées pour cibler des matériaux spécifiques, comme le vieux béton. Imprimer les maisons Science-fiction ? Des essaims de constructeurs Les drones pourraient aussi jouer un rôle dans la construction des cités. Rémi Sussan.