background preloader

Les différents genres

Facebook Twitter

Netflix. Évaluation de la féminité, de la masculinité, et auto-attribution des qualificatifs « féminin » et « masculin ». Quelle relation ? 1Après avoir connu leurs heures de gloire dans les années 1930 à 1950, les échelles de Masculinité-Féminité (classiquement appelées « échelles M-F »)1 ont fait l’objet de critiques de plus en plus fréquentes à compter des années 1970, parallèlement au développement croissant des recherches psychologiques et sociologiques prenant pour objet non seulement les différences, mais aussi les ressemblances entre hommes et femmes.

Évaluation de la féminité, de la masculinité, et auto-attribution des qualificatifs « féminin » et « masculin ». Quelle relation ?

Être féminine. Etre féminine : Femme et/ou homme ?

être féminine

Berlin 2009, championnat du monde d’athlétisme : Caster Semenya, une Sud-Africaine de 18 ans, pulvérise le record du monde des 800? M de plusieurs secondes. Au Cap c’est l’euphorie, mais à Berlin les soupçons naissent. Cindy Sherman, Marina Abramović, Annette Messager : des représentations du féminin à l'étiquette féministe. Le dispositif est toujours le même.

Cindy Sherman, Marina Abramović, Annette Messager : des représentations du féminin à l'étiquette féministe

Maquillage, perruque, costume, accessoires et mise en place du décor, Cindy Sherman a la main sur chacune des étapes. Avant de prendre la pause, l'artiste new-yorkaise dispose un miroir à côté de l'objectif de l'appareil. Lorsque dans le reflet disparaît Cindy Sherman pour laisser place à une ex-pin up exhibant ses prothèses mammaires déformées ou une Vénus botticellienne à la peau diaphane, c'est le moment de prendre le cliché. La fondation Louis Vuitton à Paris consacre une grande rétrospective à l'artiste américaine du 23 septembre 2020 au 3 janvier 2021, réunissant 170 de ses œuvres créées entre 1975 et 2020, dont des productions récentes inédites. Se reconnecter à sa féminité : Être femme tout en étant mère - Grandir Autrement. Dans la lignée du numéro 57 de Grandir Autrement intitulé « Femme, mère : résoudre le conflit», nous nous interrogeons sur la manière de favoriser l’expression du féminin dans notre vie de mère aujourd’hui, dans notre société marquée par la « domination d’un masculin déformé1».

Se reconnecter à sa féminité : Être femme tout en étant mère - Grandir Autrement

Vaste sujet que celui de la femme, de la féminité, du principe féminin: tant de concepts pour une simple réalité biologique à l’origine. Nous n’y reviendrons pas tant il nous faudrait de pages pour en faire le tour mais les références citées, volontairement nombreuses, vous invitent à y réfléchir pour mieux vous rencontrer. Contentons-nous simplement ici de quelques pistes pour nous aider à prendre soin de notre féminin au quotidien. La « féminité toxique » existe-t-elle ?

Peut-on apprendre la féminité ? De jolis gestes, un style sensuel et élégant, un peu de rouge sur les lèvres… Il existe mille et une façons de se sentir féminine.

Peut-on apprendre la féminité ?

Mais comment y parvenir ? Trois regards sont déterminants : celui de notre mère, celui des femmes qui nous entourent et celui des hommes qui nous aiment. Être féminine. Tel serait le désir le mieux partagé par les femmes qui font appel aux agences de « relooking » ou qui tentent, avec l’aide de divers magazines, de modifier leur apparence. La journaliste Alexie Lorca, qui vient de publier un ouvrage sur les femmes et l’image de soi - Moi et Moi, face à la dictature de l’apparence, des femmes témoignent d’Alexie Lorca (Larousse, 2008)-, rapporte que lors d’un appel à candidatures pour une émission de télévision, les postulantes ont toutes justifié leur démarche par cette même formule : « Je veux être féminine. » Comprendre « être plus séduisante », à leurs yeux mais aussi à ceux des autres.

La féminité, c'est quoi exactement ? Parler de féminité, n’est-ce pas un peu dépassé aujourd’hui ?

La féminité, c'est quoi exactement ?

Marie-Alix de France : En effet la féminité, la virilité, voire la galanterie, cela évoque le temps où sévissait la domination masculine, où l’on enfermait la femme dans un carcan étouffant. Or nous avons l'impression aujourd’hui de vivre à une époque où tout sexisme est dépassé. On connaît l’école mixte, on prône l’égalité des sexes, on s’émerveille devant la "répartition des tâches" dans la vie de famille, on établit des quotas pour garantir l’accès des hautes professions aux femmes, etc. Alors l’égalité des sexes est acquise ? Le magazine de mode Elle dit témoigner de la libération de la femme... mais continue à publier des images stéréotypées. Il ne faut va pas crier victoire (si telle était la victoire) trop tôt.

Féminité. On peut aussi la définir comme l'ensemble des comportements, des attitudes, auxquels on attribue le qualificatif de féminin.

Féminité

Si elle prédomine chez les femmes, elle existe aussi chez les hommes. Son lien au sexe est moins évident qu'il n'y parait. Une affaire de représentation[modifier | modifier le code] Beaucoup d’artistes et de cinéastes hommes traitent le sujet, puisque pouvoir approcher ce qu’est la féminité est souvent rendu au travers d’un mode de représentation. L’article Image de la femme (XIXe) montre l’intérêt des impressionnistes et des néoclassiques pour le sujet féminin, cette fois au travers de sa féminité, mais il s’agit encore de peintres masculins. Masculinité hégémonique - Hegemonic masculinity - qwe.wiki.

Dans les études de genre , la masculinité hégémonique fait partie de R.

Masculinité hégémonique - Hegemonic masculinity - qwe.wiki

W. Gss 3512. Guionnet connell. Masculinités, colonialité et néolibéralisme. Entretien avec Raewyn Connell. Raewyn Connell, professeure de sociologie à l’Université de Sydney, était présente à Paris en juin dernier dans le cadre des journées d’études « Les masculinités au prisme de l’hégémonie » à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales.

Masculinités, colonialité et néolibéralisme. Entretien avec Raewyn Connell

L’occasion pour nous de revenir sur sa trajectoire de chercheure ainsi que sur l’histoire et l’actualité des approches critiques des masculinités. Après avoir consacré ses recherches aux dynamiques de classe (Ruling Class, Ruling Culture, 1977) et aux relations entre rapports de classe et de genre en milieu scolaire (Making the Difference, 1982), Raewyn Connell développe une théorie du genre comme structure sociale (Gender and Power, 1987).

Elle publie en 1995, l’ouvrage Masculinities, rapidement traduit en plusieurs langues européennes, ainsi qu’en japonais, chinois et hébreu entre autres. Cet ouvrage constitue une référence majeure pour les sciences sociales et pour le développement des études sur les masculinités [masculinity studies]. Amnestyfr/0c0f50c5 8ac1 4004 8983 22cf877456b0 eur010012014fr. C’est quoi la différence entre transgenre et transexuel ? – Wiki Trans. C’est quoi la différence entre transgenre et transexuel ?

C’est quoi la différence entre transgenre et transexuel ? – Wiki Trans

Il n’y a aucune différence Ces deux termes veulent dire la même chose. Ils sont simplement utilisés par des personnes différentes. Il y a quelques années le terme « transexuel » était le seul qui existait, donc vous verrez beaucoup de personnes trans de plus de 40 ans l’utiliser. Le mot transgenre est devenu à la mode pour des raisons variées (rejet partiel du lexique médical et psychiatrisant et appropriation du mot « genre ») et c’est celui qui est le plus commun désormais.

En finir avec les fantasmes en tous genres. Nous, universitaires, enseignons le genre en philosophie, histoire, littérature, sociologie, anthropologie, économie, droit, psychanalyse, biologie, sciences du vivant, arts, sciences politiques… dans des cours et séminaires de recherche qui existent déjà depuis plusieurs années et attirent un public de plus en plus nombreux. Le genre est un outil d’analyse employé dans diverses disciplines pour saisir la construction sociale, culturelle, langagière et scientifique des différences entre les sexes.

Il permet, notamment, de mettre en évidence et d’étudier les assignations dissymétriques et hiérarchiques des rôles et des fonctions sociales entre hommes et femmes. Ce mode d’analyse vise à comprendre comment et pourquoi, en dépit de l’égalité de droit, persistent, voire se renforcent, des inégalités de fait. Théorie du genre, explications : le genre n'est pas une théorie. L’expression « théorie du genre », employée pour désigner les Gender Studies, ou « études de genre » en français, est un contresens. Voilà un fait établi. Les Gender Studies sont un champ d’études interdisciplinaires, relativement nouveau. Fiche respect des droits trans dilcrah. Question de genre : non-binaire, ça signifie quoi ? Parce qu’ils ne se sentent ni homme, ni femme, certains individus sont dits non-binaires, c’est-à-dire qu’ils ne reconnaissent dans aucun genre.

Un discours principalement porté par la jeune génération. Enquête et explications. Le sexe fait référence aux caractéristiques biologiques. Ashley les personnes non binaires en français une perspective concernée et militante. Études de genre. Histoire[modifier | modifier le code] À partir du XIXe siècle, la question des personnes transgenres, sans que le mot soit ainsi formulé, trouble en Occident les conceptions sur le sexe et la sexualité : Karl Heinrich Ulrichs parle en 1860 d'« âme de femme dans un corps d’homme ».

Toutefois, la question du genre se confond alors avec l'orientation sexuelle, les hommes homosexuels étant perçus comme efféminés[2]. Ce sont les travaux de Margaret Mead qui jouent un rôle précurseur en 1935[3]. Elle y utilise le concept de « rôle sexué » qui distingue pour la première fois le rôle social et le sexe. Cette notion de « rôle sexué » est l'ancêtre direct de l'idée de genre[4].

Dans les années 1950 aux États-Unis, le psychologue et sexologue controversé[5] John Money formule pour la première fois une définition des rôles de genre (« gender roles ») dans des études qui portent sur l'hermaphroditisme. Description[modifier | modifier le code] Transidentité. Une femme trans, avec les lettres « XY » écrites dans la paume de sa main. La transidentité est le fait, pour une personne transgenre, d'avoir une identité de genre différente du sexe assigné à la naissance[1],[2],[3], contrairement à une personne cisgenre.

Les termes « transsexuel » et « transsexualisme » sont des termes médicaux anciens, abandonnés par les médecins et considérés comme pathologisants par les militants francophones[4]. La transidentité se distingue des intersexuations, qui désignent selon l'ONU les situations de personnes « nées avec des caractéristiques sexuelles qui ne correspondent pas aux définitions typiques de « mâle » et « femelle »[5],[3],[6]. Mais certaines revendications des personnes trans et intersexes sont cependant communes (concernant les législations sur le changement d'état civil, la reconnaissance de l'identité de genre comme critère de discrimination, la maltraitance médicale, etc.). Terminologie[modifier | modifier le code] James D. Taux de regret. Non-binarité. Au risque de radoter, « la théorie du genre » n’existe pas. Ce dimanche 2 octobre, le pape François a accusé les manuels scolaires français de propager un « sournois endoctrinement de la théorie du genre ».

Il y a trois ans, sous l’impulsion de la « Manif pour tous », on s’était mis en France à parler de « théorie du genre » pour dire tout et n’importe quoi.