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La justice & le droit

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Bibliographie sur la justice - Philopsis. La justice, une problématique embarrassée - Philopsis. Problèmes de la justice dans l’Antiquité - Philopsis. La notion antique de justice diffère fondamentalement de la nôtre en ce que, dans l’Antiquité, la justice est d’abord pensée comme une vertu.

Problèmes de la justice dans l’Antiquité - Philopsis

Nous entendons plutôt maintenant par la justice l’institution qui juge des crimes et des délits et qui règle les conflits entre particuliers d’après les lois en vigueur. La justice entre critique du droit et critique de la morale - Philopsis. La question de la justice chez Marx est prise dans deux types de problèmes interprétatifs.

La justice entre critique du droit et critique de la morale - Philopsis

Le premier aspect du problème concerne de la normativité morale chez Marx. > Paul Amselek - Juriste et philosophe - Choix de textes. Comment la propriété privée a été imposée par la force, par Hélène Richard (Le Monde diplomatique, septembre 2016) «Les hommes ont accepté que la terre soit possédée de manière inégale et disproportionnée lorsque, par un consentement tacite et volontaire, ils ont trouvé le moyen qu’un individu puisse posséder honnêtement plus de terres que ce dont il pouvait lui-même utiliser les produits en recevant en échange du surplus de l’or et de l’argent », affirmait le philosophe anglais John Locke (1632-1704).

Comment la propriété privée a été imposée par la force, par Hélène Richard (Le Monde diplomatique, septembre 2016)

L’histoire contredit toutefois cette idée selon laquelle la propriété privée foncière serait apparue « naturellement » en Angleterre. Elle fut au contraire imposée par la force, au détriment de droits coutumiers que, loin de céder de bonne grâce, les paysans tentèrent de défendre ardemment. Jusqu’au début du XVIIIe siècle, les forêts royales et diocésaines anglaises – des domaines comprenant espaces boisés, landes et champs cultivés – étaient soumises à une réglementation compliquée.

Cet équilibre précaire se rompt au début du XVIIIe siècle. Le droit criminel - Table des rubriques. Aux origines du panoptique/Décryptage. Hegel et le droit. Bernard Bourgeois de l’Académie des sciences morales et politiques, 17 mars 2008, en salle des séances, Institut de France © Canal Académie Si pour Kant, l’ultime fondement du droit est moral et éthique, inversement chez Hegel, la moralité est intégrée dans la philosophie du droit, titre de son ouvrage.

Hegel et le droit

Pour Hegel, la justice a une fonction sociale et civile et n’a pas de pouvoir politique. Le juge ne doit pas se faire législateur et inversement. Le triomphe de la loi se concrétise par l’exercice de la justice. Bernard Bourgeois de l’Académie des sciences morales et politiques, entouré de ses confrères Yvon Gattaz (à gauche) et Jean Baechler (à droite), le 17 mars 2008, en salle des séances, Institut de France. Arithmétique du crime, par Alain Garrigou (Les blogs du Diplo, 4 avril 2016) Dans les débats sécuritaires suscités par les horreurs terroristes, la question de la répression est inévitablement relancée.

Arithmétique du crime, par Alain Garrigou (Les blogs du Diplo, 4 avril 2016)

Quel est le tarif du crime ? Un mélange toujours étonnant de dissuasion et de punition. Comme s’il s’agissait de n’importe quel crime. Dans cette arithmétique de la violence, il faudrait rehausser le prix à la dimension du crime. Est-ce possible lorsque ce dernier est infini ? Le terrorisme djihadiste a forcément exhumé le problème d’économie du crime mais en a aussi modifié les termes en introduisant dans le calcul le suicide des tueurs. Lire aussi Pierre Conesa, « Aux origines des attentats-suicides », Le Monde diplomatique, juin 2004. Il n’empêche, le résultat a été colporté. État d'urgence : Alfred face à des policiers, des juges, des lois pour nous faire taire ? Un contrôle de police à Paris, en novembre 2015 (T.

État d'urgence : Alfred face à des policiers, des juges, des lois pour nous faire taire ?

SAMSON/AFP). Début décembre 2015 à Paris, quinze jours après les attentats, Alfred* est à sa fenêtre qui donne sur la rue. La vue est différente ce matin-là, un homme se fait malmener par des policiers alors qu’il est déjà menotté. Alfred crie, demande de se calmer. Selon les policiers, il les traite de "bâtards" qui n’auraient que "ça à foutre". Garde à vue pour outrage L’insulte, prononcée du haut du 3ème étage est considérée comme un "outrage" par les policiers, un délit qui leur confère des droits, et peut-être même celui d’en abuser.

On aurait probablement pu s’arrêter là mais le jeune homme est conduit au poste, placé en garde à vue pour outrage, rébellion et violences. Extrait de garde à vue : Question : Vous reconnaissez être intervenu lors de cette opération de police ? Réponse : Non je ne suis pas intervenu. — J’ai dit à ce fonctionnaire de se calmer (…). — Pourquoi avez-vous pris la liberté d’intervenir ?

— Oui. Est-il permis de désobéir aux lois? - Jean-Louis POURRIER - vidéo Dailymotion. The Dark Knight - "You either die a hero..." Bac philo 2015, 1ère session (1/4) : Explication de texte de Marx, A propos de la question juive (Pléïade II) Par Adèle Van Reeth Réalisation : Nicolas Berger Lectures : Jean-Louis Jacopin Prise de son: Marcos Darras et Thomas Robine les élèves du lycée Gabriel Fauré d'Annecy MC © Radio France A.Van Reeth et JH Caul-Futy MC © Radio France.

Bac philo 2015, 1ère session (1/4) : Explication de texte de Marx, A propos de la question juive (Pléïade II)