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Ondes gravitationnelles

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Le futur télescope Einstein sera capable de détecter un million d'ondes gravitationnelles par an ! En Europe, un projet de télescope de détection d'ondes gravitationnelles de troisième génération devrait voir le jour dans les années 2030.

Le futur télescope Einstein sera capable de détecter un million d'ondes gravitationnelles par an !

Enfoui à 300 mètres de profondeur, le télescope Einstein, c'est son nom, pourra sonder un volume mille fois plus important et offrira la possibilité de détecter un million d'ondes gravitationnelles par an. Sous terre et jusque sur la Lune… des projets fous pour capter les secousses de l’espace-temps. Lisamission.org. Unlock the Gravitational Universe - Black Holes, Compact Binaries, the Big Bang.

Ondes gravitationnelles : la mission eLisa entre dans une nouvelle phase. C'est fait, l'ESA vient de confirmer son intérêt pour la mission eLisa, anciennement appelée Lisa.

Ondes gravitationnelles : la mission eLisa entre dans une nouvelle phase

Celle-ci consiste à mettre en orbite un équivalent du détecteur d'ondes gravitationnelles aLigo sous forme de trois satellites déployés en formation triangulaire. Leurs distances relatives seront mesurées avec des faisceaux lasers. Malgré tout, le projet n'est pas encore adopté, ce qui veut dire que leur construction n'est pas encore acceptée. Interview : comment mesurer les ondes gravitationnelles ? Les ondes gravitationnelles sont des déformations de l’espace-temps prédites par Einstein. L'ESA vient de faire savoir dans un communiqué qu'elle continuait à soutenir les études préparatoires menant à la construction des trois satellites du projet eLisa (Evolved Laser Interferometer Space Antenna). Ondes gravitationnelles : les détecteurs de l'extrême. Les miroirs les plus parfaits du monde.

La fusion de deux trous noirs fait trembler à nouveau la Terre. La détection, aux Etats-Unis, de minuscules distorsions de l’espace-temps causées par la danse des deux « gloutons de l’espace » constitue une prouesse technologique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par David Larousserie Et de trois. Jeudi 1er juin, la collaboration internationale LIGO/Virgo a publié sa troisième observation d’une paire de trous noirs orbitant l’un autour de l’autre.

Les ondes gravitationnelles enfin découvertes ? Depuis deux jours, la Toile scientifique bruisse d'une incroyable nouvelle : le détecteur américain Ligo aurait enfin capté un signal d'onde gravitationnelle.

Les ondes gravitationnelles enfin découvertes ?

Une rumeur à prendre avec précaution. Une source respectable À l'origine de cette rumeur, un tweet enthousiaste du cosmologiste Lawrence Krauss, une personnalité publique aux États-Unis et suivie sur Twitter par 197 000 personnes. Quoiqu'il présente la découverte comme une confirmation de la rumeur qu'il a lui-même lancée quelques mois plus tôt, Krauss a depuis expliqué à nos confrères du Guardian qu'il considérait qu'il y avait 60% de chance pour que la découverte soit réelle.

Un chiffre bien inférieur aux standards que les scientifiques s'imposent généralement pour annoncer une détection. Quelle que soit la respectabilité de Lawrence Krauss en tant que chercheur, son annonce est donc à prendre avec des pincettes. D'autant qu'il ne fait pas partie de l'équipe de Ligo... Une nouvelle onde gravitationnelle a été détectée - Sciencesetavenir.fr. TRIO.

Une nouvelle onde gravitationnelle a été détectée - Sciencesetavenir.fr

Et de quatre ! Les grands interféromètres LIGO et Virgo viennent de nouveau de détecter les traces d'une onde gravitationnelle, signature de la collision entre deux trous noirs. "On observe un signal qui oscille, nous explique Benoît Mours, membres de l'équipe Virgo au Laboratoire d'Annecy de Physique des Particules. Plus les deux trous noirs se rapprochent l'un de l'autre, plus leur rotation l'un autour de l'autre est rapide. On observe alors une augmentation de la fréquence du signal, jusqu'au moment où les deux trous noirs s'effondrent l'un sur l'autre et fusionnent. Un siècle pour valider la prédiction d’Einstein, cinq mois pour l’annoncer : le secret bien gardé des ondes gravitationnelles. « Nous l’avons fait !

Un siècle pour valider la prédiction d’Einstein, cinq mois pour l’annoncer : le secret bien gardé des ondes gravitationnelles

» Ce 11 février 2016, à Washington, David Reitze savoure les applaudissements déclenchés par cette exclamation. Ils saluent un exploit attendu depuis un siècle, réalisé par une vaste collaboration internationale de quelque 1 000 physiciens. Pour la première fois, un signal extraterrestre d’une nature inconnue jusqu’alors vient d’être identifié. Ce n’est pas une onde radio, ni un flash lumineux, ni même une bouffée de particules cosmiques. C’est une infime ondulation de l’espace-temps, qui fait trembloter notre Univers comme la main maladroite d’un serveur agiterait du veau en gelée, selon la comparaison culinaire qu’aime à utiliser Thibault Damour, professeur à l’Institut des hautes études scientifiques. Les tâtonnements féconds d’un pionnier des ondes gravitationnelles. « Nous l’avons fait !

Les tâtonnements féconds d’un pionnier des ondes gravitationnelles

» Ce 11 février 2016, à Washington, David Reitze savoure les applaudissements déclenchés par cette exclamation. Ils saluent un exploit attendu depuis un siècle, réalisé par une vaste collaboration internationale de quelque mille physiciens. Au premier rang, la présence d’une femme fait surgir des fantômes du passé. « Merde, c’est dingue », lâche Virginia Trimble, astronome réputée et professeure à l’université de Californie à Irvine, au journaliste de Science qui l’interviewe. Elle est la veuve de Joseph Weber, un Américain qui a clamé sans discontinuer pendant plus de trente ans et jusqu’à sa mort, en 2000, qu’il avait accompli, le premier, la prouesse de détecter les ondes gravitationnelles. Sauf qu’au fil des ans, le cercle des convaincus autour de lui s’est rétréci et que personne n’a confirmé sa découverte.

Parmi les sceptiques, Albert Einstein lui-même. Combat acharné dans les hautes sphères de la physique pour capter les déformations de l’espace-temps. « Nous l’avons fait !

Combat acharné dans les hautes sphères de la physique pour capter les déformations de l’espace-temps

» Ce 11 février 2016, à Washington, David Reitze savoure les applaudissements déclenchés par cette exclamation. Ils saluent un exploit attendu depuis un siècle, réalisé par une vaste collaboration internationale de quelque mille physiciens. « Si nous avions eu l’argent en 1997 pour financer notre projet Grail, nous aurions fait cette détection avant eux. Nous avions quinze ans d’avance », veut croire Giorgio Frossati, 80 ans, ancien professeur de l’université de Leiden, aux Pays-Bas, et dirigeant d’une entreprise de fabrication de cryostats (des réfrigérateurs pour la recherche), Leiden Cryogenics, qu’il a créée en 1992. La détection et l’exploit dont il est question concernent la première observation d’ondes gravitationnelles causées par un cataclysme cosmique, en l’occurrence le mariage de deux trous noirs gros comme trente Soleils.

Face au défi de capter des ondes gravitationnelles, « l’expérience a failli mourir plusieurs fois »