background preloader

Nicolas Sarkozy

Facebook Twitter

La fortune de Nicolas Sarkozy a progressé de 30% depuis 2007. Presque 650.000 euros de plus qu'en 2007. En l'espace de cinq ans, le patrimoine personnel du chef de l'Etat aura progressé de près de 30%. Comme l'indique l'édition de ce samedi 24 mars du Journal Officiel, Nicolas Sarkozy dispose désormais d'un patrimoine d'un peu plus de 2,7 millions d'euros. Une fortune qui se décompose de la façon suivante : contrats d'assurance-vie (2,58 millions dont 2,3 auprès de la banque HSBC France), diverses collections (autographes, montres, statuettes...) estimées à 100.000 euros ainsi que 56.919 euros crédités sur le compte courant ouvert au nom du couple, toujours auprès de HSBC France.

La fortune personnelle de Carla Bruni-Sarkozy n'est pas pris en compte La déclaration précise également le régime matrimonial de Carla Bruni-Sarkozy et de son mari, à savoir une communauté de biens réduite aux acquêts. Lors de la campagne présidentielle qui lui a permis de succéder à Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy avait fait état d'un patrimoine de 2,1 millions d'euros. Ce que l'Etat versera à Sarkozy après son départ de l'Elysée. Nicolas Sarkozy ne sera pas dans le besoin. Quelle que soit sa décision sur la suite de sa carrière politique, il va bénéficier des avantages octroyés par la République aux anciens chefs d'Etat.

D’abord, il percevra une indemnité de 6.000 euros brut, accordée à tous les "ex", quelle que soit la durée de leur séjour à l’Elysée. Ensuite, il pourra siéger au Conseil constitutionnel, en tant qu’ancien Président et percevoir, à ce titre, une indemnité de 11.500 euros net par mois. François Hollande a certes promis de supprimer cette disposition qui permet aux anciens Présidents d’être nommés à vie dans cette institution, mais si elle est approuvée par le Parlement, cette remise en cause ne devrait pas avoir de caractère rétroactif.

Voyages gratuits et illimités en classe affaires sur Air France Surtout, il leur offre toute une série d’avantages matériels, détaillés dans une "décision" signée par Laurent Fabius, en 1985, lorsqu’il était Premier ministre de François Mitterrand. Finalement, Nicolas Sarkozy était incompétent. Le Monarque était convaincu, notamment par son conseiller Patrick Buisson, que la France avait tellement virée à droite qu'il fallait la suivre ou la dépasser. Aux risques de faire peur aux plus centristes de son électorat. On a aussi relevé que François Hollande avait gagné grâce au rejet du sarkozysme. Quelques déçus à droite sont allés jusqu'à qualifier cette victoire d'illégitime. Pouvaient-ils se taire ? Nicolas Sarkozy a certes attiré les foudres d'une critique à la hauteur de son comportement.

Dix gardes du corps pour Nicolas Sarkozy. INFO MATCH. Le coût de la sécurité de l’ancien président de la République devrait dépasser 700000 euros par an. Nicolas Sarkozy craint-il pour sa sécurité ? Selon nos informations, l’ancien chef de l’Etat a demandé et obtenu que 10 officiers de police soient désormais affectés à sa protection ainsi qu’à celle de sa famille. Ces 10 policiers sont de vieilles connaissances de Nicolas Sarkozy puisqu’ils faisaient partie du GSPR (Groupement pour la sécurité du président de la République) lorsqu’il occupait l’Elysée.

Si tous les anciens chefs de l’Etat bénéficient d’une protection à vie (comme les Premiers ministres et les ministres de l’Intérieur), son intensité est très variable selon les personnalités. Valéry Giscard d’Estaing bénéficie encore de deux officiers de sécurité, Jacques Chirac en compterait 6, sans oublier un autre affecté à la protection de son épouse Bernadette. Toute reproduction interdite. Il y a une vie après la présidence... Mais laquelle? Nicolas Sarkozy tire un trait sur la politique... Les pistes ne manquent pas. Libération lui donne l'occasion d'éviter le passage par la case Pôle Emploi avec une liste de boulots clés en main, inspirés des parcours de dix chefs d'Etat. Il revendique son goût pour l'argent? Pas de souci: la plupart des ex n'en manquent pas. Il se verrait bien ne travailler que du mardi au jeudi soir? Là, pour le coup, cela s'annonce plus difficile.

Humanitaire, comme Jimmy Carter, 86 ans (Jimmy Carter à Cuba en 2011. Un après, comme c'était le cas... avant. Opportuniste, comme Jose Maria Aznar, 59 ans (Jose Maria Aznar à Madrid en 2007. On a plus parlé de lui pour ses femmes réelles –ou supposées– que de sa vie après le pouvoir. Fidèle, comme Lula, 66 ans (Luiz Inacio Lula da Silva à Brasilia en 2012.

Evidemment, ça va être chaud patate pour suivre ce modèle. Habile, comme Bill Clinton, 65 ans (Bill Clinton à New York en 2011. Par où prendre la vie post-présidentielle de William Jefferson Blythe III? Que va devenir Nicolas Sarkozy? "Une autre époque s'ouvre. Vous pourrez compter sur moi pour défendre ces convictions, mais ma place ne pourra plus être la même. " Lors de son discours à la Mutualité, après sa défaite, Nicolas Sarkozy a confirmé ce qu'il avait annoncé un peu plus tôt à ses lieutenants: il ne briguera plus jamais les mêmes fonctions. Une nouvelle candidature en 2017 semble donc inenvisageable. >> A suivre en direct: François Hollande est élu, le jour d'après >> Les résultats du second tour de l'élection présidentielle dans votre ville à découvrir sur notre carte interactive Pourtant, ses déclarations tranchent avec l'annonce, en mars, de son retrait de la politique en cas de défaite, car dimanche soir, il n'a pas eu de mots si clairs.

Peut-être en Europe. Sarkozy en "parrain" de la droite? Autre solution, son retrait total de la politique, comme annoncé. Une autre éventualité serait une véritable prise de recul, puis un rôle de "parrain" pour sa famille politique. "La France forte" : le slogan de Sarkozy détourné - Photo n° 1/28.

600 raisons de ne pas voter Sarkozy | Rue89 Présidentielle. Lettre ouverte au président du peuple des veaux | veni vidi blogui. Cher président du cynisme et de la honte, Depuis que vous avez décidé de rentrer en campagne pour votre propre réélection, vous occupez l’espace médiatique comme personne n’a osé le faire avant vous, nous imposant votre présence jusqu’à l’indigestion, camouflant votre brutalité naturelle derrière une mièvrerie ciselée et rappelant à chacun ce que le mot indécence signifie. Ces squats d’émission de télévision ou de radio se sont accentués depuis deux semaines. Vous confondez réquisitoire et réquisition.

L’espace public ne vous appartient pourtant pas et il me semble que nous n’avons pas à endurer vos pitreries. Puisque c’est bien de cela qu’il s’agit : un numéro de cirque concocté par vos spin doctors (P. Buisson, G. La France, on l’aime ou on la quitte avez-vous dit un sombre jour d’avril 2006. Et aujourd’hui, j’ai honte, honte des outrages que vous nous infligez jour après jour, dans cette escalade de mauvais goût politicien. A lire également : La minute de silence de Sarkozy... Petitesse et décadence du Sarko-show - Présidentielle 2012. Le président de la république aurait-il embauché dans son équipe de campagne un certain Potemkine ? On est tenté de le croire quand on s’aperçoit qu’une partie des spectateurs présents lors de son dernier déplacement, au chantier de Mennecy dans l’Essonne, loin d’avoir participé spontanément à cette visite médiatisée, ont été acheminés pour les besoins de la cause, de manière à étoffer artificiellement les rangs du public.

Grigori Potemkine était le favori de l’impératrice de Russie Catherine II. Il n’a pas seulement attaché son nom à un cuirassé immortalisé par Eisenstein. La légende – contestée – veut que ce ministre du début du 18e siècle faisait construire dans les villages traversés par la tzarine des façades de bois pimpantes qui cachaient les baraques délabrées dans lesquelles habitaient les misérables paysans russes. Ainsi Catherine II avait-elle le sentiment que la Sainte Russie était une nation prospère qui faisait le bien du peuple. Figurants Eléments de langage. Le Conseil constitutionnel rejette le compte de campagne 2012 de Sarkozy qui démissionne. Au lendemain de l'invalidation de ses comptes de campagne par le Conseil Constitutionnel, Nicolas Sarkozy est sorti de sa réserve en publiant vendredi 5 juillet un message sur son compte Facebook dans lequel il dénonce une "situation inédite" sous la Ve République et se déclare prêt à se "mobiliser" pour sauver l'UMP.

Le message est suffisamment explicite pour laisser percer la colère de l'ancien président, le seul à s'être jamais fait refuser ses comptes de campagne. Mais aussi suffisamment prudent, à quatre ans de la prochaine élection présidentielle à laquelle il pourrait aspirer à se présenter, pour ne pas dévoiler la façon dont il va s'y prendre. "Toutes les formations politiques ont été remboursées par l'Etat à l'exception de l'UMP. Cette situation inédite sous la Ve République met en péril la formation qui doit préparer l'alternance tellement nécessaire au socialisme", dénonce Nicolas Sarkozy sur Facebook. Une démission qui prend effet "immédiatement" 2,1% de dépassement (Avec AFP)