background preloader

Les Sumériens

Facebook Twitter

Basse Mésopotamie

Enuma Elish. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Enuma Elish

Enuma Elish ( en akkadien) est l'épopée babylonienne de la création du monde. Signifiant littéralement Lorsqu'en haut, selon ses premiers mots, l'Enuma Elish célèbre à travers sept tablettes la gloire du dieu Mardouk et raconte son ascension vers la souveraineté du panthéon babylonien. Le texte fut découvert au XIXe siècle sous forme de fragments dans les ruines de la bibliothèque d'Assurbanipal à Ninive, ville proche de l'actuelle Mossoul, en Irak. La plus grande partie de la cinquième tablette n'a jamais pu être retrouvée. Le poème a probablement été composé à la fin du XIIe siècle av. L'épopée décrit les origines du cosmos, le combats des premiers dieux contre les forces du chaos et l'élévation de Mardouk, dieu tutélaire de Babylone, au-dessus des autres divinités mésopotamiennes ainsi que la création du monde et de l'homme. Le récit[modifier | modifier le code] Babylone est donc une ville mystique.

Début du texte (tablette I, 1-10) : Anunnaki. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anunnaki

Sceau sumérien représentant les Anunnaki. Hiérarchie[modifier | modifier le code] Évolution dans le temps[modifier | modifier le code] Nous ne savons pas à quel moment ni pour quelle raison, la signification des termes Anunnaki et Igigi s'est inversée. C'est ainsi que dans certains récits, Igigi désigne les dieux célestes et Anunnaki les divinités chthoniennes. Nombre[modifier | modifier le code] Dans le récit de la création Babylonienne (l'Enuma Elish), le dieu Marduk qui succède à Enlil à la tête du panthéon, fixe le nombre des dieux à 600. Évocations dans les œuvres culturelles[modifier | modifier le code] Annunaki au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code] Dans Seaquest DSV Saison 1 épisode 20.Dans la série de jeux vidéo Assassin's Creed, les créateurs des artéfacts, ceux-qui-étaient-là-avant, sont parfois désignés sous le terme d'Annunakis[2].Dans le film Phénomènes paranormaux de Olatunde Osunsanmi.

Ecriture Cunéiforme. L’écriture cunéiforme est un système d'écriture mis au point en Basse Mésopotamie entre 3400 et 3300 av.

Ecriture Cunéiforme

J. -C., qui s'est par la suite répandu dans tout le Proche-Orient ancien, avant de disparaître dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Au départ pictographique et linéaire, la graphie de cette écriture a progressivement évolué vers des signes constitués de traits terminés en forme de « coins » ou « clous » (latin cuneus), auxquels elle doit son nom, « cunéiforme », qui lui a été donné aux XVIIIe et XIXe siècles. Cette écriture se pratique par incision à l'aide d'un calame sur des tablettes d'argile, ou sur une grande variété d'autres supports.

Les conditions d'élaboration de cette forme d'écriture, qui est la plus vieille connue avec les hiéroglyphes égyptiens, sont encore obscures. Le cunéiforme a été un élément marquant des cultures du Proche-Orient ancien qui ont développé un rapport à l'écrit et des littératures à partir de ce système. Langue Sumérienne. Le sumérien (en sumérien « 𒅴𒂠 » ; translittération : EME.ĜIR15) est une langue morte qui était parlée dans l'Antiquité en Basse Mésopotamie.

Langue Sumérienne

Elle est ainsi la langue parlée à Sumer aux IVe et IIIe millénaires av. J. -C. Le sumérien comportait deux variétés (sociolectes) connues : l'émegir et l'émesal. Le sumérien semble être la plus ancienne langue écrite connue, sous une forme d'écriture appelée le cunéiforme, voire la plus ancienne langue connue[5]. L'akkadien a progressivement remplacé le sumérien comme langue parlée autour du XXe siècle av.

Terminologie[modifier | modifier le code] Redécouverte[modifier | modifier le code] La redécouverte de la langue sumérienne se produit dans le contexte de redécouverte et de la traduction des inscriptions cunéiformes à partir de la première moitié du XIXe siècle. Reste à établir la fonction et la nature de cette langue, qui alors n'est connue que par des logogrammes dans des textes en akkadien. Epopee de gilgamesh abed azrie.