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FESF - MESF

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Fonds européen de stabilité financière. Création[modifier | modifier le code] Créé le 9 mai 2010, le FESF ne pouvait intervenir qu'après avoir été ratifié par des États signataires représentant 90 % du montant des garanties[7], ce seuil ayant été atteint le 4 août 2010[8].

Fonds européen de stabilité financière

L'accord a été ratifié par les trois derniers États membres (Belgique, Slovénie et Slovaquie) début décembre 2010[9]. À la suite du sommet de l'eurogroupe du 11 mars 2011 réunissant les dirigeants des pays de la zone euro, un accord a été trouvé pour augmenter la capacité d'intervention effective du FESF à 440 milliards d'euros, grâce à une augmentation des garanties des États de la zone euro[10]. Par ailleurs, depuis ce sommet, le FESF a le droit d'acheter de la dette primaire, c'est-à-dire nouvellement émise, des États[11].

Si le FESF n'avait pas été activé, il aurait été clôture après trois ans, c'est-à-dire le 30 juin 2013. Fonctions[modifier | modifier le code] Prêts[modifier | modifier le code] L’Allemagne a versé 86 milliards d’euros pour sauver la zone euro. Moody's place le Fonds de secours européen FESF sous perspective négative. Moody's place le Fonds de secours européen FESF sous perspective négative WASHINGTON - L'agence de notation financière Moody's a abaissé mardi de stable à négative la perspective du Fonds européen de stabilité financière (FESF), un jour après avoir notamment dégradé celle de l'Allemagne, son principal contributeur.

Moody's place le Fonds de secours européen FESF sous perspective négative

Cette réévaluation suit les récents changements de perspectives opérés par Moody's sur les notes d'Etats de la zone euro qui sont des garants du FESF, a expliqué dans un communiqué l'agence. Lundi, Moody's avait abaissé de stable à négative la perspective de l'Allemagne mais également des Pays-Bas et du Luxembourg en raison de l'incertitude croissante dans la zone euro et de la forte probabilité que des nouvelles aides aux pays en difficulté s'avèrent nécessaires. Empruntant à des taux très avantageux, il peut ensuite reverser les sommes collectées aux pays en difficultés à des taux moindres que ceux qu'ils devraient payer sur les marchés.

S&P abaisse la note du FESF de AAA à AA+, Actualités boursières. LEAD 1-Le FESF va adjuger du papier court terme. * Adjudications de bons à trois, six et 12 mois ce mois-ci * Les trois échéances feront l'objet d'adjudications distinctes * Objectif : accroître les liquidités du Fonds, sa flexibilité (Actualisé avec détails, contexte) BRUXELLES, 7 décembre (Reuters) - Le Fonds européen de stabilité financière (FESF) a annoncé mercredi l'émission d'ici la fin de l'année d'emprunts à court terme, à trois, six et 12 mois pour accroître ses liquidités et se donner davantage de souplesse sur des marchés très instables.

LEAD 1-Le FESF va adjuger du papier court terme

"Le lancement d'un programme de financement à court terme est conforme au domaine d'activité élargi du FESF, qui est d'user de nouveaux instruments avec efficacité", explique dans un communiqué le directeur général du FESF Klaus Regling. "Le programme des bons ne se substituera pas au programme obligataire à long terme mais il lui apportera de la flexibilité. " © Thomson Reuters 2016 Tous droits réservés. FESF : pour sauver la zone euro, la BCE pourrait prêter via le FMI. Des responsables de la zone euro et du Fonds monétaire international (FMI) ont discuté de la possibilité de voir la Banque centrale européenne (BCE) prêter de l'argent au FMI afin qu'il prodigue à son tour suffisamment de ressources au fonds de sauvetage européen pour permettre aux poids lourds de l'Europe de bénéficier également d'une aide, si nécessaire.

FESF : pour sauver la zone euro, la BCE pourrait prêter via le FMI

"Des discussions à ce sujet sont en cours (...) Cela pourrait être une solution pour contourner les restrictions juridiques de la BCE", a déclaré un responsable au fait des pourparlers. Une autre source a confirmé que cette idée était étudiée. Ce scénario est envisagé alors que les dirigeants européens souhaitent voir la BCE s'impliquer davantage dans la résolution de la crise budgétaire européenne, qui menace désormais l'Italie et la France. Le ministre a ajouté que la France tiendrait ses objectifs de croissance et de réduction des déficits en 2011.

La Chine ne consentira pas d'aide à l'Europe sans contrepartie. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Brice Pedroletti Pas vraiment réticente, mais pas vraiment emballée non plus, la Chine fait montre d'une grande prudence sur le dossier de la crise européenne alors que le Vieux Continent compte sur sa générosité pour l'aider à résoudre la crise de la zone euro.

La Chine ne consentira pas d'aide à l'Europe sans contrepartie

Lorsque Nicolas Sarkozy a appelé le président chinois Hu Jintao, jeudi 27 octobre, ce dernier l'a assuré une nouvelle fois de sa volonté de travailler à une solution lors du sommet du G20 à Cannes les 3 et 4 novembre et "d'envoyer un signal fort" pour aider à stabiliser l'économie mondiale. "La Chine pourrait être désireuse" d'apporter à l'Europe "50 à 100 milliards de dollars" soit de 35 à 70,5 milliards d'euros, a indiqué vendredi le Financial Times, citant une source proche du gouvernement chinois. Pour autant, rien ne se fera sans contrepartie, d'autant que Pékin ne veut pas se mettre à dos l'opinion publique chinoise. FESF : l'Europe refuse le chantage de la Chine.

Les négociations entre l'Europe et la Chine pour une participation de Pékin à l'aide à la zone euro sont dans une impasse après le refus opposé par des responsables européens à d'accepter au moins une des conditions posées par la Chine, a-t-on appris vendredi de deux sources différentes.

FESF : l'Europe refuse le chantage de la Chine

La réforme de l'EFSF reste un chantier de longue haleine. Peu sensibles à la réaction euphorique des marchés actions, les économistes pointaient déjà hier les limites de l'accord trouvé par les chefs d'Etat européens dans la nuit de mercredi à jeudi.

La réforme de l'EFSF reste un chantier de longue haleine

Les critiques se concentrent sur le futur rôle de la Facilité européenne de stabilité financière (EFSF), qui pourra servir au choix d'assureur sur le marché primaire de la dette souveraine ou abonder un véhicule ad hoc (baptisé «SPIV») ouvert à des capitaux non européens. En cause, l'efficacité du dispositif et le nombre de détails restant à régler dans les prochaines semaines. Flash Eco : Le FESF porté à 2500 mds d'euros ? Le Fonds Européen est-il une bombe à retardement. Les diverses mesures en tout genre qui ont été décidées depuis la création en mai 2009 du FESF ne peuvent dissimuler une réalité inquiétante.

Le Fonds Européen est-il une bombe à retardement

Les diverses versions de la fonction du Fonds Européen de Stabilité Financière créent une confusion et une incertitude qui expliquent la difficulté que le FESF a eu de lever 3 milliards d’euros dans de bonnes conditions. Au point d’envisager d’emprunter à court terme en décembre, ce qui n’a aucun sens. En effet, ces capitaux, destinés à l’Irlande, ont été levés à un taux de 3,59% pour une durée de dix ans.Ce taux est à comparer au rendement des obligations allemandes de même durée qui est de 1,80%.A titre de référence, le rendement français se rapproche du taux de 3,50% alors qu’il y a un mois il était encore de 2,50%. L’écart se creuse entre les deux leaders de l’Eurozone.La Belgique se situe dans la zone dangereuse de 4,47% et son nouveau Gouvernement n’est toujours pas en place : il est à la recherche d’un accord sur le budget 2012.

Mécanisme européen de stabilité financière. Le Mécanisme européen de stabilité financière (MESF) est un programme de financement d'urgence tributaire des fonds levés sur les marchés financiers et garantis par la Commission européenne par l'utilisation du budget de l'Union européenne[1].

Mécanisme européen de stabilité financière

Il fonctionne sous la supervision de la Commission[2] et vise à préserver la stabilité financière de l'Union en fournissant une assistance financière aux États membres de l'Union européenne en difficulté économique[3]. Mise en œuvre[modifier | modifier le code] La Commission européenne prépare un plan d'investissement de 200 milliards d'euros pour réactiver la croissance en Europe. La Commission européenne préparerait un plan d'investissement capable de mobiliser 200 milliards d'euros d'investissements publics et privés pour réactiver la croissance en Europe, selon le journal espagnol El Pais qui cite des "sources européennes".

la Commission européenne prépare un plan d'investissement de 200 milliards d'euros pour réactiver la croissance en Europe.

"Le projet vise à lancer des investissements pour une valeur de 200 milliards d'euros en infrastructures, énergies renouvelables et technologies de pointe (avec une participation privée)", avance le quotidien. Deux voies de financement L'Union européenne pourrait opter pour deux voies de financement. La plus probable passe par un "montage financier" qui s'appuierait sur la Banque européenne d'investissement (BEI) et le Mécanisme européen de stabilité financière (EFSM), poursuit El Pais. Il s'agirait ainsi d'utiliser 12 milliards d'euros encore non utilisés du EFSM pour attirer des fonds privés qui viendraient renflouer la BEI et serviraient de "garantie pour lancer des projets d'infrastructures publics-privés".