background preloader

Autolib

Facebook Twitter

Autolib’ c’est fini. Que représentait le service pour Bolloré ? Fin d’Autolib’: le groupe Bolloré estime à 250 millions la somme à recouvrer. La bataille des chiffres continue autour d’Autolib’, après la résiliation du contrat de service d’auto-partage électrique. Le syndicat mixte Autolib’ Vélib’ — qui réunit cent trois communes utilisatrices, dont Paris, majoritaire en son sein —, et le groupe Bolloré, exploitant, se renvoient depuis des semaines la responsabilité du déficit. Lire notre éditorial: Autolib’ : un fiasco aux responsabilités partagées Dans un entretien au Journal du dimanche du 29 juillet, Marie Bolloré, directrice mobilité du groupe, chiffre à 250 millions d’euros la somme à recouvrer auprès du syndicat mixte. Lourdement déficitaire, le service parisien de voitures électriques partagées, dont le contrat a été résilié le 21 juin, prendra fin mardi à 23 h 59. « Il nous restera donc à recouvrer 150 millions d’euros, auxquels vont s’additionner tous les contrats que l’on arrête, les coûts de départ des collaborateurs, les valeurs nettes comptables de biens, comme les bornes de charge.

Les Autolib’ en fin de vie échouent à Romorantin. Pourquoi les futures Autolib' n’iront plus se garer en station. Fin d'Autolib' : la mairie de Paris et Renault vont annoncer de nouveaux services. Une conférence de presse commune est prévue mercredi matin à l'hôtel de ville. Des véhicules électriques de la marque française pourraient remplacer partiellement les Bluecar du groupe Bolloré.

La succession d'Autolib' se précise. La mairie de Paris et le constructeur automobile Renault vont annoncer, mercredi 4 juillet, de nouveaux services de véhicules électriques dans la capitale. Alors que l'arrêt du service Autolib' doit être effectif à la fin du mois, la maire de Paris, Anne Hidalgo, et le directeur général adjoint de Renault, Thierry Bolloré, tiendront une conférence de presse "pour témoigner de cette vision partagée de la mobilité de demain et annoncer l'émergence de nouveaux services de véhicules électriques pour les Parisiens, les Franciliens et les visiteurs", indique la mairie dans un communiqué.

Autolib' a été lancé en fanfare en 2011 sous Bertrand Delanoë. Le service devait pourtant au départ dégager un bénéfice d'au moins 56 millions d'euros par an. Fin d’Autolib'. Un coup dur pour les batteries de Bolloré - Ergué-Gabéric. Autolib’, c’est fini. Le service de partage de voitures électriques lancé par Vincent Bolloré à Paris en 2011 a été définitivement débranché ce week-end. Un coup de dur pour le groupe qui en avait fait une vitrine pour promouvoir ses batteries produites, en grande partie, à Ergué-Gabéric, dans le Finistère. La fin du service d’autopartage Autolib' à Paris inflige un revers aux services de mobilité du groupe Bolloré, et indirectement à ses ambitions dans les batteries auxquelles ils servaient de vitrine, mais pour le groupe, la bataille n’est pas perdue. En fabriquant ses propres voitures électriques, les Bluecar, ou en développant son offre d’autopartage, le groupe de Vincent Bolloré a toujours reconnu qu’il visait en fait un autre marché, celui des batteries et du stockage de l’énergie.

Made in France Dans l’automobile, des projets de coopération avec Renault, annoncés en 2014 avec grand bruit, ont été abandonnés. Pari sur l’avenir Mais ces marchés sont tout juste naissants. Ile-de-France : cette fois, Autolib’ c’est fini ! Autolib’ vit ses dernières heures. La présidente du syndicat Autolib’ Vélib’Métropole (SAVM), Catherine Baratti-Elbaz, déclare ce vendredi qu’elle va proposer de mettre fin au contrat avec le groupe de l’industriel breton, lors du prochain comité syndical, le 21 juin. C’est donc la fin d’une aventure qui lors de son lancement, en 2011, constituait une première mondiale : un réseau de voitures électriques à louer en libre-service dans Paris et les communes limitrophes.

Mais depuis quelque temps déjà, l’étoile Autolib’ n’avait plus le même éclat : voitures sales ou hors d’état de marche, de moins en moins disponibles, et de plus en plus de plaintes d’abonnés estimant avoir été indûment prélevés de montants astronomiques. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est ce courrier envoyé le mois dernier par le groupe Bolloré s’alarmant du déficit colossal d’Autolib’, qui pourrait atteindre 293 millions d’euros (M€) à la fin du contrat, en 2023. Psa-se-verrait-bien-remplacer-autolib-a-paris. Bolloré - COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 4 juin 2018. Anne Hidalgo : « Le modèle Autolib est sérieusement questionné » Paris. Après le fiasco Vélib', la dette abyssale d’Autolib' Le déficit des voitures de location en autopartage Autolib' atteindrait 293,6 millions d’euros.

Le groupe Bolloré en charge de la gestion et de la maintenance demande aux collectivités d’Île-de-France de payer la facture. Après le fiasco Vélib', celui d’Autolib' ? Le groupe Bolloré a demandé aux collectivités, dont Paris, d’éponger la lourde dette du dispositif de voitures électriques en partage. Autrefois une première mondiale aujourd’hui, les Autolib' sont soumises à une forte concurrence. « Nous contestons radicalement et fermement l’ampleur des chiffres » avancés par le groupe Bolloré, a indiqué jeudi devant la presse Bruno Julliard, premier adjoint de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, après des révélations du journal Le Monde. Plus de 293 millions d’euros de dettes Contraint par contrat à donner de sa poche 60 millions d’euros, il vient de demander aux collectivités de lui verser 46 millions d’euros par an pour régler le reste. Autolib' ne fait plus de bénéfices Bolloré refuse de payer. Autolib': Les voitures électriques en libre-service débarquent à Paris.

TRANSPORTS Calqué sur le modèle du Vélib', le système permet aux usagers d'emprunter un véhicule dans une station et de le déposer dans une autre... Publié le Mis à jour le Une première cohorte d'une soixantaine de Bluecars d'Autolib', le système de voitures électriques en libre-service sur le modèle du Vélib', sillonnera pour la première fois dimanche les rues de Paris et sa banlieue.

Le dispositif, encore en phase de tests, deviendra accessible au grand public le 5 décembre, avec au moins 250 véhicules. Le parc devrait être porté à environ 2.000 d'ici fin juin 2012. «Entendre le bruit des oiseaux et ne plus avoir d’odeur» Dévoilées vendredi par le groupe français Bolloré, ces petites citadines, couleur «aluminium gris brossé» seront à terme déployées dans 46 villes d'Ile-de-France avec un principe simple, calqué sur celui des Vélib': l'abonné prend une voiture dans une station et peut ensuite la déposer dans n'importe quelle autre. 12 euros par mois pour un abonnement mensuel Mots-clés :

Autolib' : La révolution des transports est en route ! (Vidéo) Les chauffeurs de taxi ne la voit pas d'un très bon œil : la Bluecar de Bolloré a débarqué ce lundi matin dans les rues de Paris. Quatre ans après le Vélib', la voiturette électrique en libre-service a été lancée dans la capitale et le sera à terme dans 46 communes de la petite couronne. Mi-2012, le réseau, qui compte pour l'instant 250 véhicule, devrait être fort de 3000 voitures, réparties dans 1100 stations. Pour les écologistes, qui craignent que l'Autolib' détourne des usagers des transports en commun et gonfle ainsi le trafic et donc les embouteillages, le dispositif serait une « fausse bonne idée ». Faux ! , répond Bertrand Delanoë au Parisien ce lundi : selon lui, l'Autolib' pourra convaincre les propriétaires d'abandonner leur véhicule en leur offrant une véritable souplesse d'utilisation.

Les premiers usagers aussi ont le sentiment que l'Autolib' est prometteuse. Actu France-Soir, Franck cartelet & stephane David.