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Ecologie 1. Ecologie 2. Wikileaks.org. Entretiens scientifiques. Casinos et communes. La déréglementation a permis de multiplier l’installation des casinos dans le pays. Au vu des recettes fiscales qu’ils engendrent, de plus en plus de villes réclament leur casino, fermant les yeux sur les conséquences désastreuses d’une telle activité. La création d’un casino entraîne la création de milliers de « drogués du jeu », et favorise la montée de la précarité et du surendettement ( voir le 1er article : Escroquerie et dépendance : les casinos explosent ! ). Cela n’empêche pas des grandes villes comme Bordeaux, le Havre (mairies UMP) ou Lyon (mairie PS) et prochainement Lille et Toulouse, de décider d’installer un casino.

Car l’initiative leur revient. A Lille et Toulouse, on constate de nombreuses ressemblances entre les deux projets de casino. Le cynisme des communes Stéphane Dupraz, élu communiste à Toulouse, est aussi très remonté. Socialisme et jeux d’argent... Dominique Plancke, conseiller municipal pour les Verts, semble désabusé. Casinos - Escroquerie et dépendance. Reflet d’une société malade, les jeux de hasard et d’argent font de plus en plus d’adeptes. Les dépenses des ménages en la matière ont doublé en 25 ans. En 2003, elles atteignaient 130 euros par habitant. Le développement des casinos, une des activités les plus néfastes de ce secteur, est en grande partie responsable de cette augmentation. En vingt ans, la situation des casinos en France est passée du marasme économique à une croissance impressionnante. S’ils étaient auparavant réservés à une clientèle aisée, l’arrivée des machines à sous (MAS) va totalement changer la donne.

Flambée des profits Dans les années 1990 et 2000, les chiffres d’affaires explosent et ces temples du jeu d’argent poussent comme des champignons : on repasse à 160 casinos en 1999, 176 en 2000, 197 en 2005, et la frénésie ne s’arrête pas. L’Etat et les communes s’arrogent une bonne partie du gâteau : obligation est faite au casinotier de reverser de fortes royalties. Hausse de la précarité au rendez-vous. Hubert Reeves. Émission du 20 décembre 2003 L'histoire que je vais raconter pourrait s'appeler « l'allégorie du radeau ». Elle veut illustrer la difficulté qu'il y a, quelquefois, à penser la réalité dans laquelle nous vivons et devant laquelle, il faut bien le dire, nous sommes souvent bien démunis.

Après un naufrage, des rescapés ont trouvé place sur un radeau. L'embarcation est petite, mais confortable, et contient des provisions pour plusieurs jours. Les naufragés se sont installés pour attendre les secours qui ne devraient pas tarder … Sur la mer, un homme arrive en nageant, et demande secours. Mais voici que trois nouvelles têtes s'approchent du radeau. C'est maintenant cinq personnes qui s'avancent en nageant péniblement, transies de froid, et à bout de force. Tous admettent maintenant le risque de couler, d'où la nécessité de limiter les admissions. Cette scène, on l'aura compris, est une allégorie : elle s'applique à la situation des émigrés sur notre planète. Peine de mort. Parti Socialiste. Finistere du Parti Socialiste. Worldmapper: The world as you've never seen it before.

Décryptage de l'information et analyse des stratégies de pu. Nues Blog - Actu, Société, Politique et ronds dans l’eau. Les projets de ports de Roscoff et Plouganou - Les Verts du Pays. Groupe Redacteurs AgoraVox. Je ne veux plus. ROPA - Eurostat - Europe et statistiques. Assemblée nationale. Sauvons la recherche en danger. 20 janvier 2006 Les chercheurs manifestent à Roscoff Une centaine de chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants, techniciens et administratifs, déjà inquiets de « l'affaiblissement » du CNRS dans le contexte de la future loi de programmation, se sont mobilisés hier à 13 h devant la station biologique de Roscoff à l'appel du collectif « Sauvons la recherche », créé il y a deux ans.

Dans la cité corsaire, l'organisme public de recherches emploie deux cents personnes dont 80 % de personnel rattaché au CNRS et 20 % à l'université de Paris VI. « Les décisions récentes du gouvernement ne font que ternir l'image du CNRS et perturber son fonctionnement » a estimé Philippe Potin, porte-parole, tout en rappelant la démission du président de l'établissement et le limogeage « sans ménagement » du directeur général « qui entraînent l'institution dans une crise grave et profonde ».

Et de conclure : « Il faut bouger sinon on a l'impression que l'on approuve. 9novembre 2005 13 février 2005. Le grain de sable. UNESCO. Sciences Democratie. Etoile des enfants. Blogs politiques - Media Wiki. Droits de l Homme Francais-Anglais-Breton. Amnesty International. UNESCO. Portail des Pays. Rezo Net. Politique et blog.