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Yann LeCun. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Yann LeCun

Yann Le Cun (né à Paris en 1960) est un chercheur en intelligence artificielle et vision artificielle (robotique). Il est considéré comme l'un des inventeurs du deep learning[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Formation[modifier | modifier le code] Yann Le Cun est diplômé de l'ESIEE Paris en 1983, il part ensuite à l'Université Pierre-et-Marie-Curie effectuer un DEA puis un doctorat qu'il obtient en 1987[2]. Il s'intéresse ensuite à la conception des algorithmes de compression du format d'archivage DjVu[4] puis la reconnaissance automatique de chèque bancaires[3]. Son rôle dans la popularisation de l'apprentissage profond ne lui est pas contesté, mais il lui est reproché par quelque auteurs d'avoir soit ignoré, soit passé sous silence dans ses publications les travaux de quelques uns de ses prédécesseurs[5] Alexandre Grothendieck. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alexandre Grothendieck

Alexandre Grothendieck Alexandre Grothendieck en 1970. Il est considéré comme le refondateur de la géométrie algébrique et, à ce titre, comme l'un des plus grands mathématiciens du XXe siècle[4]. Il était connu pour son intuition extraordinaire et sa capacité de travail exceptionnelle. La médaille Fields lui a été décernée en 1966. Les Rêves cybernétiques de Norbert Wiener (2014) , Pierre Cassou-Noguès. Un savant disparu réapparaît dans un kibboutz pour être aussitôt assassiné.

Les Rêves cybernétiques de Norbert Wiener (2014) , Pierre Cassou-Noguès

Qui était-il et qui l’a tué ? C’est le thème d’une courte fiction découverte dans les archives de Norbert Wiener (et publiée ici). À partir de cette fiction, Pierre Cassou-Noguès tente de reconstituer le parcours et les dilemmes de ce savant singulier. Voyageur infatigable, penseur versatile, mathématicien autant que romancier, Norbert Wiener invente à la fin de la Seconde Guerre mondiale, sous le terme de cybernétique, une nouvelle façon de conjuguer l’humain et la machine. Tantôt séduit par ses propres créatures, comme Pygmalion, tantôt effrayé par elles, comme le Dr Frankenstein, le savant hésite et se cache derrière d’innombrables écrans. La question, finalement, est de savoir si l’humain survit dans cet avenir incertain qui est maintenant le nôtre. Pierre Cassou-Noguès est professeur de philosophie à l’université Paris 8. Norbert Wiener. Claude Shannon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Claude Shannon

Pour les personnes ayant le même patronyme, voir Shannon. Claude Shannon Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Shannon travaille vingt ans au MIT, de 1958 à 1978. Son œuvre[modifier | modifier le code] Pendant la Seconde Guerre mondiale, Shannon travaille pour les services secrets de l'armée américaine, en cryptographie, chargé de localiser de manière automatique dans le code ennemi les parties signifiantes cachées au milieu du brouillage.

Le schéma de Shannon[modifier | modifier le code] Modèle de Shannon - Communication. Pour décrire la communication entre machines, l'article de 1948 et le livre de 1949 commencent tous deux par un « schéma » qui connut dès lors une postérité étonnante en sciences de l'information et de la communication (SIC), au point que Shannon s'en étonna et s'en dissocia[réf. nécessaire]. Ce schéma est la traduction « civile » d'un schéma préalable, utilisé dans le contexte militaire : Entropie = Nicolas Tesla. Félix d'Hérelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Félix d'Hérelle

Portrait de Félix d'Hérelle, vers 1905, in: Pasteuriens et personnalités du monde médical, 1868- 1970, Institut Pasteur (Paris)disponible sur Gallica Félix d’Hérelle (Paris, - Paris, 1949) est un biologiste franco-canadien. Devenu un spécialiste de microbiologie et des bactériophages, il inventa la phagothérapie. Biographie[modifier | modifier le code] Parti au Québec à l'âge de 24 ans (1897), il y adopte le nom « d'Hérelle » (qu'il écrivait souvent sans accent aigu, peut-être parce que les machines à écrire étaient anglaises)[réf. nécessaire]. En 1901, résidant à Longueuil, il publie un article en se présentant comme « chimiste », dans lequel il prétendait démontrer que les plantes fabriquaient le CO2 sans source originale. Pendant la Première Guerre mondiale, d'Hérelle, aidé en particulier par son épouse et par ses filles, a produit plus de 12 millions de doses de médicaments pour les armées alliées.