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Solidarité

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La famille, entre solidarité et difficultés. On en parle. Selon le baromètre Kantar Sofres, les deux tiers des Français pensent qu’il est plus difficile qu’avant de s’occuper de sa famille. On a pris l’habitude d’évoquer la famille comme une « valeur refuge ». Mais à la lecture du deuxième baromètre Kantar Sofres (1) – réalisé pour l’ADMR, un réseau de 2 900 associations d’aide et de soins infirmiers à domicile –, que nous dévoilons en exclusivité, on se rend compte que s’occuper de ses proches relève aussi, très souvent, du défi. « La famille reste un espace de solidarité en actes », observe Emmanuel Rivière, le directeur de Kantar Sofres. Il est plus difficile de s’occuper de sa famille aujourd’hui qu’il y a 30 ans Si elle est bel et bien réelle, et peut se traduire par exemple par un soutien financier à un proche dépendant (7 %) ou par l’hébergement d’un enfant adulte qui a fini ses études (12 %), cette entraide va de pair avec de multiples tracas.

Les associations de services à la personne ont « un rôle essentiel à jouer » La désespérance des seniors en maisons de retraite. «La fin de la vie des personnes âgées pourrait devenir un véritable naufrage social.» La conclusion du rapport* de l'Observatoire national de la fin de vie (ONFV) claque comme un avertissement. Mais cette étude, remise mardi soir à la ministre de la Santé et à la ministre en charge de l'Autonomie, est avant tout un constat, celui dressé par les personnes âgées en maison de retraite et leurs proches dans deux études. Leurs paroles, poignantes, laissent entrevoir un fragment de la fin de l'existence des 90.000 aînés qui meurent chaque année en maison de retraite.

Loin du tumulte médiatique des affaires d'euthanasie. «On est devenu pas grand-chose: une table, un pot. On n'est plus vivant quoi, on est un morceau de bois», lâche une vieille dame de 97 ans, apparemment touchée par la dépression, comme le sont 40% des personnes âgées en institution. Paradoxalement, la question de la fin de vie semble taboue. «Je ne veux pas que l'on rallonge ma vie en me mettant de l'oxygène.

Solidarité intergenerationnelle

Solidarité familiale. Nous apportons une solution - Reciprocité. L'habitat intergénérationnel. Jeunes, familles mono-parentales, seniors, autant de personnes pour lesquelles l’isolement vient souvent aggraver les difficultés socio-économiques. Habitat et Humanisme développe des résidences intergénérationnelles dans lesquelles chacun bénéficie d’un logement autonome mais également d’un accompagnement de proximité et d’espaces collectifs (buanderie, terrasse, jardin, salle commune…) favorisant la convivialité, la solidarité de voisinage et les échanges d’expériences. Des publics fragilisés et isolés Des séniors/personnes âgées isolées (en situation de précarité physique, financière,…).Des jeunes (étudiants, apprentis, jeunes travailleurs, demandeurs d’emploi).Des familles monoparentales (principalement femmes seules avec jeune(s) enfant(s)).D’autres personnes peuvent trouver leur place (travailleurs migrants, personnes en situation de handicap, citoyens engagés…).

Un lieu de vie participatif et solidaire Des réponses immobilières variées Un accompagnement adapté, multi fonctionnel. La famille, entre solidarité et difficultés. L'importance de la solidarité familiale face à la dépendance. 56 % des 50-64 ans ont soutenu un proche dépendant, selon le sondage OpinionWay pour Le Figaro-Weber Shandwick. Ces aidants familiaux ont aussi besoin d'être aidés. La moitié des Français déclarent s'occuper ou s'être déjà occupés d'un proche en perte d'autonomie. Pour la première fois en France, un sondage OpinionWay, pour l'Observatoire de la santé Le Figaro-Weber Shandwick, dévoile l'importance du phénomène des aidants familiaux sur un échantillon de 1010 personnes de 18 ans et plus.

Selon cette enquête, les plus âgés sont les plus concernés: 56 % des 50-64 ans et 71 % des plus de 65 ans ont déjà aidé ou aident encore un proche dépendant. Après le travail (pour ceux qui sont encore en activité), pour leur père ou leur mère, voire leur conjoint, ils gèrent les courses, la cui­sine, la conversation ; s'inquiètent de leur santé, caressent leurs mains ridées, embrassent leurs joues fripées, par devoir, reconnaissance, affection ou amour. Prévention du «burn out»

Colocation

Eco-quartier intergénérationnel en milieu rural. Vieillir. Vivre et vieillir en habitat participatif et solidaire : une alternative pour la vieillesse? « Où, comment et avec qui habiter dans la vieillesse ? ». De plus en plus d’hommes et de femmes se posent ces questions quand vient l’âge de la retraite. Nombre d’entre elles/eux ont des réticences face aux modèles d’habitat qui leurs sont proposés, « seul.e à la maison » ou en « maison de retraite ».

Pour peu que ces personnes aient accompagné un.e proche dans la vieillesse ou la maladie, beaucoup rejettent l’éventualité de se retrouver dans une de ces situations et manifestent le désir de vivre une autre vieillesse. Collectivement, elles formulent des attentes révélatrices de besoins qui ne sont pas pris en compte par l’offre ordinaire. Elles expriment une forte envie de décider elles-mêmes, pour elles-mêmes, le plus longtemps possible, et affirment le plus souvent le désir de rester chez elles, citoyennes, jusqu’au bout de la vie. Read more « Où, comment et avec qui habiter dans la vieillesse ? Retraite : j'ai décidé de vieillir dans un éco-village intergénérationnel, le Hameau des Buis. L’eco-quartier intergénérationnel d’Igney : un projet d’aménagement du territoire soutenu par le Ciss pour son aspect aménagement de Santé | LE CISS LORRAINE.

©Est Républicain 27/06/2013 à 05:00 Bernard Verdenal, président d’Eco-Héréliens en milieu rural, porteur d’un projet ambitieux. Dans le milieu agricole, bien au-delà des frontières du canton et même du département, la faconde de Bernard Verdenal est légendaire. Le quinquagénaire, qui fourmille toujours d’idées, ne se voit pas finir sa vie isolé et loin de ses terres, d’où l’idée, dans une démarche collective et partenariale, de créer un éco-quartier intergénérationnel à Igney. Présidant de l’association « Eco-Héréliens en milieu rural », créée dans ce but, il porte un projet ambitieux : favoriser le maintien sur place de la population locale âgée ou handicapée en s’appuyant sur des structures adaptées et en favorisant une démarche de mixité sociale avec une approche intergénérationnelle.

Aussi ambitieux qu’il soit, le projet n’en est pas moins réaliste. Vieillir dans son quartier dans son village 2004.