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Intelligence et cerveau / UNIVERSITE EUROPEENNE DE BRETAGNE. TDAH Neurosciences. Les Neurosciences Cognitives. 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation. Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ?

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation

Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens.

Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation. Comment les smartphones remodèlent le cerveau. Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée. En 1996, Giacomo Rizzolatti, neurologue de l’Université de Parme, fit la surprenante découverte des neurones miroirs.

Neurones miroirs (I) Une découverte monumentale mais ignorée

Une découverte qui, bien que très peu connue du grand public, pourrait être à l’origine d’une révolution scientifique majeure dont on ne pressent que quelques contours. 1. Découvertes des neurones miroirs. Evoquer les neurones miroirs en un seul billet risque de laisser de côté nombre d’implications scientifiques mais aussi philosophiques. Ce sujet mérite à lui seul un ouvrage, ce que fit Rizzolatti dont le livre co-écrit avec Corrado Sinigaglia, philosophe des science, a été traduit en français en 2008 chez Odile Jacob. Rappel des faits. . « Les neurones miroirs constituent une classe particulière de neurones initialement identifiés dans le cortex précentral du macaque. Semaine du Cerveau - Le stress et le cerveau. "Du vrai, du beau, du bien", par Jean-Pierre Changeux. Ho'oponopono et le fonctionnement du cerveau. La migraine peut altérer le cerveau de façon permanente. La migraine, qui affecte 10 à 15 % de la population, peut entraîner des modifications durables et permanentes des structures cérébrales, comme des lésions, selon une analyse de près de 20 études parue mercredi 28 août dans la revue américaine Neurology.

La migraine peut altérer le cerveau de façon permanente

"Traditionnellement la migraine est considérée comme un trouble bénin sans effet durable sur le cerveau, relève le docteur Messoud Ashina, de l'université de Copenhague, principal auteur de cette recherche. Notre méta-analyse conduit à penser que la migraine pourrait en fait altérer de façon permanente les structures du cerveau de multiples façons.

" Lire : Des chercheurs découvrent un trio de gènes associés à la migraine. Le manque de sommeil affecte le corps jusque dans nos gènes. Ne pas assez dormir plusieurs nuits de suite perturbe, tout le monde s'en rend ou s'en est déjà rendu compte.

Le manque de sommeil affecte le corps jusque dans nos gènes

Ce qui est moins visible, c'est que cela peut avoir des conséquences sur des centaines de gènes essentiels pour être en bonne santé. «Un sommeil insuffisant et des troubles du rythme circadien sont associés à des conséquences négatives sur la santé, telles que l’obésité, des maladies cardio-vasculaires, et des troubles cognitifs, mais les mécanismes impliqués demeurent largement inexplorés [...]», peut-on lire dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences qui publie une étude commentée dans The Guardian publie le 25 février. Pour comprendre ces mécanismes, des scientifiques anglais du Centre de Recherche sur le Sommeil du Surrey, dirigés par le Professeur Derk-Jan Dijk, ont mené une expérience sur 26 personnes âgées entre 23 et 31 ans pendant 12 jours. Après chaque semaine, des tests sanguins ont été effectués. Publicité. Pourquoi un bon roman change votre cerveau - Pour la Science.

Les connexions représentées ici traversent des zones du langage, signe que la lecture d'un bon pavé renforce les capacités de traitement lexicales du cerveau.

Pourquoi un bon roman change votre cerveau - Pour la Science

L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau & Psycho. Du même auteur. Intelligence collective. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Intelligence collective

L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. Des agents au comportement très simple peuvent ainsi accomplir des tâches apparemment très complexes grâce à un mécanisme fondamental appelé synergie ou stigmergie[réf. souhaitée]. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif).

Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Neurosciences neuroeducation et conflit cognitif. Voyage extraordinaire au centre du cerveau. Mars 2015 31 mars 2015 | 20H30 Mardis de l'Espace des sciences.

Voyage extraordinaire au centre du cerveau

Neurosciences. L’être humain a toujours tenté d’améliorer ses performances ou son bien-être au moyen, par exemple, de l’apprentissage, de la maîtrise de l’outil ou du recours à des substances comme le café, l’alcool ou d'autres types de drogues de toutes natures,...

Neurosciences

Cette possibilité qu’a l’être humain en bonne santé de s’améliorer (human enhancement) a été décuplée par les progrès de la médecine, de la chirurgie et de la pharmacie, ce n'est plus marginal. Elle peut schématiquement se référer à l’apparence corporelle (par exemple greffes de cheveux, tatouages, chirurgie esthétique…), aux performances physiques (dopage sportif, stimulants sexuels….), ou encore aux capacités du cerveau réalisant ce qui est appelé le « brain enhancement » ou encore « neuro enhancement ».Bien évidemment, le tout connecté à toutes sortes de gadgets à diodes , capteurs d'automesure,... qui mériteront une analyse plus précise dans un très prochain article sur une tendance appelée "quantify self".

De quoi s’agit-il ? David Servan-Schreiber - Le cerveau emotionnel. Neurosciences. Peu de gens sont plus qualifiés que Matthieu Ricard pour parler de la collaboration entre science et bouddhisme. Formé à la biologie moléculaire et moine bouddhiste depuis plus de trente-cinq ans, il a énormément contribué au dialogue de plus en plus fécond entre scientifiques et pratiquants bouddhistes et il est fréquemment le sujet d’expériences scientifiques sur la méditation. Il explique ici certaines des découvertes qu’ont permises ces expériences et leurs implications pour l’avenir. En 2000, une rencontre exceptionnelle eut lieu à Dharamsala, en Inde. Quelques-uns des meilleurs spécialistes des émotions, psychologues, chercheurs en neurosciences et philosophes passèrent une semaine entière à discuter avec le Dalaï-Lama dans l’intimité de sa résidence située sur les contreforts de l’Himalaya.

Lors de cette rencontre, un matin, le Dalaï-Lama déclara : « Toutes ces discussions sont fort intéressantes, mais que pouvons-nous vraiment apporter à la société ?