Carl Jung - Synchronicity. What is Synchronicity? The term synchronicity is coined by Jung to express a concept that belongs to him. It is about acausal connection of two or more psycho-physic phenomena. This concept was inspired to him by a patient's case that was in situation of impasse in treatment. Her exaggerate rationalism (animus inflation) was holding her back from assimilating unconscious materials. One night, the patient dreamt a golden scarab - cetonia aurata. The next day, during the psychotherapy session, a real insect this time, hit against the Jung's cabinet window. So, the idea is all about coincidence: in this case, between the scarab dreamt by the patient and its appearance in reality, in the psychotherapy cabinet. But this coincidence is not senseless, a simple coincidence. Thus, a significant coincidence of physical and psychological phenomena that are acausal connected.
Jung writes a book on synchronicity together with Nobel laureate W. Further resources for the study of synchronicity: Digital Living Network Alliance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de certification DLNA. DLNA définit un standard d'interopérabilité permettant la lecture, le partage et le contrôle d'appareils multimédia indépendamment de leur marque ou de leur nature. Samsung a surnommé ce système All Share. Le premier brevet faisant référence à un téléviseur relié à un réseau date de 1994[3]. Il fut étendu l'année suivante à l'Europe puis aux États Unis[4]. Standards et dispositifs techniques[modifier | modifier le code] Bien que les cas d'utilisation les plus répandus de DLNA (2011) ressemblent à du client/serveur, la norme fait de tous des « acteurs », certains pouvant être sur le même équipement du réseau : server, player, renderer et controller.
L'exemple d'utilisation le plus simple fait intervenir 2 appareils : Le serveur, installé sur un ordinateur ou sur un NAS,Le lecteur, installé sur un périphérique compatible, type télévision compatible DLNA ou lecteur Bluray Protocoles utilisés[modifier | modifier le code] Définition du Big Data - Profitez des opportunités du Big Data - France. Définition du Big Data Chaque jour, nous générons 2,5 trillions d’octets de données. A tel point que 90% des données dans le monde ont été créées au cours des deux dernières années seulement. Ces données proviennent de partout : de capteurs utilisés pour collecter les informations climatiques, de messages sur les sites de médias sociaux, d'images numériques et de vidéos publiées en ligne, d'enregistrements transactionnels d'achats en ligne et de signaux GPS de téléphones mobiles, pour ne citer que quelques sources.
Ces données sont appelées Big Data ou volumes massifs de données. Ecoutez les experts Le Big Data couvre quatre dimensions : volume, vélocité, variété et véracité. Volume : les entreprises sont submergées de volumes de données croissants de tous types, qui se comptent en téraoctets, voire en pétaoctets. Vélocité : parfois, 2 minutes c'est trop. Véracité : 1 décideur sur 3 ne fait pas confiance aux données sur lesquelles il se base pour prendre ses décisions. How the Internet of Everything Will Change the World…for the Better #IoE [Infographic] As a futurist and technologist, I’m an optimist. I view technology through the lens of how it can help people. From this perspective, there is no better time to be alive than now. That’s because we are entering an era where the Internet has the potential to dramatically improve the lives of everyone on our planet—from accelerating the discovery of cures for diseases, to understanding climate change, to enhancing the way companies do business, to making every day more enjoyable.
Already, the Internet has benefited many individuals, businesses, and countries by improving education through the democratization of information, allowing for economic growth through electronic commerce, and accelerating business innovation by enabling greater collaboration. So what will the next decade of the Internet bring? As more things, people, and data become connected, the power of the Internet (essentially a network of networks) grows exponentially. Let me know what you think. #IoE and #InternetofEverything. Internet des objets. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique.
Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. L'internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du Quantified Self.
Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes. L'Holacratie. Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s'adaptent le mieux aux changements. Darwin Lundi 14 Février à 20h, le Paris Integral Vision/Ken Wilber Meetup Group propose une rencontre exceptionnelle avec Brian Robertson, fondateur de l’Holacratie, un modèle intégral de grouvernance d’entreprise. Le terme « Holacratie » a pour étymologie le mot grec « holos » signifiant la totalité et « kratos » le pouvoir.
Le but de ce modèle est donner le pouvoir de gouvernance à l’organisation elle-même. Une nouvelle culture d’entrepriseSociologue des organisations, François Dupuy vient de publier un ouvrage intitulé "Lost in management" dans lequel il explique l’urgente nécessité de l’innovation dans le domaine du management. Des facteurs culturels - plus profonds que l'évolution économique - rendent ce changement inéluctable.
Les quatre dimensions de l'entreprise intégrale Des laboratoires évolutifs de l'organisation sociale Prospective. La pédagogie 3.0 expliquée simplement. Le parcours de Stéphane Côté en est un où une certaine effervescence l’entoure concernant la pédagogie. Si vous l’avez déjà rencontré en personne, vous avez tout de suite remarqué son emballement quasi enfantin lorsqu’il parle de l’enseignement. En effet, il cherche, découvre, évalue, mesure l’impact de ses idées qui se tissent autour d’une approche non conventionnelle qu’il décide d’intituler la pédagogie 3.0. En 2012 il quitte son poste de conseiller pédagogique en TIC qu’il occupait depuis plus de quatre ans pour aller lui-même mettre à l’épreuve cette vision de la pédagogie actualisée afin de voir, si oui ou non, il y a matière à partager et à déployer… À son atterrissage dans la réalité d’une classe, il remarque qu’il avait oublié la pression du temps et ses effets néfastes sur la réflexion.
Quand on enseigne, il y a toujours une cloche qui viendra terminer la présente période qui est polluée par mille interventions. Définition de la pédagogie 3.0 : Au plaisir, Stéphane Côté. Langue française : manuels de grammaire française, orthographe, typographie. Le projet de construction. Loi de l'antropie - site universalis. Loi de Murphy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon une variante plus détaillée du même adage : « S'il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu'au moins l'une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un quelque part pour emprunter cette voie ».
On peut interpréter cette loi de deux manières : l'une, humoristique, est de prendre cette loi à la lettre, et de l'ériger en principe de pessimisme. Vue sous cet angle, la loi de Murphy est le constat, élevé au rang de principe fondamental de l'univers, que « le pire est toujours certain ». Familièrement, cette loi est aussi appelée « loi de l'emmerdement maximum » (LEM)[1] ou « loi de la vexation universelle ».
L'autre vision consiste à voir la loi de Murphy comme une règle de conception : on ne considère pas la loi de Murphy comme vraie, mais on conçoit tout système comme si la loi était vraie. Énoncés[modifier | modifier le code] — version d'Edward Murphy[2] — version de George Nichols[2] Loi de puissance. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En science, une loi de puissance est une relation entre deux quantités x et y qui peut s'écrire de la façon suivante : où a est une constante dite constante de proportionnalité et k est une autre constante, dite exposant, puissance, indice ou encore degré de la loi. On observe des lois de puissance dans beaucoup de domaines scientifiques (physique, biologie, psychologie, sociologie, économie, linguistique).
Elles permettent en effet de décrire tous les phénomènes qui présentent une invariance d'échelle. Propriétés[modifier | modifier le code] Invariance d'échelle[modifier | modifier le code] L'une des caractéristique des lois de puissance est leur invariance d'échelle. Ainsi toute les lois de puissance de même exposant sont équivalente à un facteur constant près. Tracé logarithmique[modifier | modifier le code] Sur un graphique aux échelles logarithmiques, le graphe d'une loi de puissance est une droite. En posant , et. Mémétique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture.
On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Le mème peut se définir comme un élément d'une culture pouvant être considéré comme transmis par des moyens non génétiques, en particulier par l'imitation[1]. Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Origine[modifier | modifier le code] Le mot mémétique a été formé dans les années 1980 à partir du terme mème. L'approche d'Aaron Lynch est un exemple[2].
Certains[Qui ?] Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) désignent un champ scientifique multidisciplinaire qui se situe au carrefour des nanotechnologies (N), des biotechnologies (B), de l'intelligence artificielle (I) et des sciences cognitives (C)[1]. Certains utilisent la notion de « grande convergence » pour souligner l’interconnexion croissante entre « l'infiniment petit (N), la fabrication du vivant (B), les machines pensantes (I) et l'étude du cerveau humain (C) »[2].
Prospective[modifier | modifier le code] Dans le domaine médical et de l'informatique, un des défis que les NBIC cherchent à relever est d'acquérir l'autonomie par la commande directe du cerveau, assisté par des électrodes externes ou internes qui éviteraient la nécessité de passer par un clavier ou un système de reconnaissance des gestes, mouvements d'yeux, etc pour communiquer avec des systèmes informatisés. Principe de Peter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle.
Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J. Ringwoodite. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un échantillon de ringwoodite bleu, sa plus grande dimension est d'environ 150 micromètres. Le minéral a été identifié la première fois dans la météorite de Tenham en 1969[5]. Il a été nommé en l'honneur du spécialiste des sciences de la Terre Ted Ringwood (en) (1930-1993), qui a étudié les transitions de phase polymorphiques de l'olivine et du pyroxène, communs dans le manteau terrestre, à des pressions et températures élevées.
En 2014, un diamant[4]provenant de grandes profondeurs est trouvé à Juína, Mato Grosso, au Brésil. Il contient des inclusions de ringwoodite et est actuellement le seul échantillon d'origine terrestre[6]. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ringwoodite » (voir la liste des auteurs).
ShaREvolution. Smart grid. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le smart grid est une des dénominations d'un réseau de distribution d'électricité « intelligent » qui utilise des technologies informatiques de manière à optimiser la production, la distribution, la consommation et qui a pour objectif d’optimiser l’ensemble des mailles du réseau d'électricité qui va de tous les producteurs à tous les consommateurs[1] afin d’améliorer l'efficacité énergétique de l'ensemble. L'apport des technologies informatiques devrait permettre d'économiser l'énergie en lissant les pointes de consommation et en diminuant les capacités de production en pointe qui sont les plus coûteuses, de sécuriser le réseau et d'en réduire le coût.
C'est aussi une réponse partielle à la nécessité de diminuer les émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre le réchauffement climatique. En outre, le smart grid est l'une des composantes de la notion de ville intelligente (smart city). Terminologie[modifier | modifier le code] Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles.
1er février 2005 par par Pek van Andel m.v.van.andel@med.rug.nl Texte traduit et adapté du hollandais par Danièle Bourcier, directeur de recherche au CNRS bourcier@msh-paris.fr Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles Ex chercheur et expérimentateur à l'université de Groningue, Pek van Andel possède la plus grande collection mondiale de sérendipités et est considéré aux Pays-Bas comme "sérendipitologue".
L'auteur a proposé aux journaux Le Monde et Le Figaro le texte qui suit - texte d'une communication faite le 1er février 2005 à l'université de Cannes - qui en ont refusé la publication (mais était-ce finalement le bon endroit où le publier ?). Il a alors décidé de l'offrir ici gratuitement, à condition que soient respectés le droit d'auteur et celui de la traduction. Qu'il en soit remercié. Automates Intelligents Le mot serendipity ('sérendipité' en transcription) a été forgé il y a 251 ans. Introduction L'histoire Le mot sérendipity a été crée le 28 janvier 1754. . [...] Epilogue. Économie circulaire.