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August 2012

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Chroniques Devauchelle. Untitled. The Institute for Prospective Technological Studies. Authors: Gianluca Misuraca, David Broster, Clara Centeno, Yves Punie, Fenareti Lampathaki, Yannis Charalabidis, Dimitris Askounis, David Osimo, Katarzyna Skuta, Melanie BickingEditors: Gianluca Misuraca and Wainer Lusoli EUR Number: 24614 EN Publication date: 12/2010 Abstract The report Envisioning Digital Europe 2030 is the result of research conducted by the Information Society Unit of IPTS as part of the CROSSROAD Project – A Participative Roadmap on ICT research on Electronic Governance and Policy Modelling (www.crossroad-eu.net). After outlining the purpose and scope of the report and the methodological approach followed, the report presents the results of a systematic analysis of societal, policy and research trends in the governance and policy modelling domain in Europe. These analyses are considered central for understanding and roadmapping future research on ICT for governance and policy modelling.

Documents available Get Adobe Acrobat Reader. FP7 Project Crossroad | ICT for Government and Public Services | Europa - Information Society. Project Crossroad | Knowledge is Power … Education is the Key! Are kids really motivated by technology? As a guy who delivers two-day #edtech workshops during my breaks from full-time classroom teaching, I’m often asked the same questions again and again: How can teachers use technology to motivate students?

What digital tools do kids like best? My answer often catches participants by surprise: You can’t motivate students with technology because technology alone isn’t motivating. Worse yet, students are almost always ambivalent toward digital tools. While you may be completely jazzed by the interactive whiteboard in your classroom or the wiki that you just whipped up, your kids could probably care less. Need proof? Early in my technology integration efforts, I set up a blog for my students, introduced it excitedly to every class, and proceeded to get exactly zero posts in the first two months of its existence despite my near-constant begging and pleading. But they weren’t, and my grand blogging experiment died before it ever really began.

L’accès à l’internet n’est pas un droit de l’homme. La lecture de la semaine, il s’agit d’une lettre envoyée par Vinton Cerf au New York Times et publiée début janvier sous le titre “L’accès à l’internet n’est pas un droit de l’homme”. Pour saisir la portée de ce propos, il faut se souvenir que Vin Cerf (Wikipédia), co-inventeur du protocole TCP/IP, est à ce titre l’un des créateurs de l’Internet. “Des rues de Tunis jusqu’à la place Tahrir, et encore au-delà, commence Cerf, les manifestations qui ont eu lieu l’an dernier se sont organisées sur Internet et sur les nombreux outils en interaction avec l’internet.

Il n’est donc pas surprenant qu’elles aient soulevé la question de savoir si l’accès à l’internet est, ou devrait être, un droit de l’homme ou un droit civique. Ce problème est particulièrement prégnant dans les pays dont les gouvernements empêchent l’accès à l’internet dans le but de réprimer les manifestants. Le meilleur moyen de décrire les droits de l’homme est d’identifier les résultats que nous voulons obtenir. Nostalgie de la mèche. La lecture de la semaine est l’un des derniers textes postés sur le blog de Nicholas Carr, le célèbre contempteur de l’internet contemporain.

Il reprend ici l’épilogue de Big Switch, son livre publié en 2008, mais le propos reste d’actualité. Le texte s’intitule “Flamme et filament”. “L’une des plus grandes inventions de l’humanité, commence Carr, fut aussi une des plus modestes : la mèche. Nous ne savons pas qui est le premier à avoir compris, il y a des milliers d’années, que le feu pouvait être isolé à l’extrémité d’une pièce de fils de tissus entrelacés et alimenté par capillarité grâce à un réservoir de cire ou d’huile. Image : la mèche, par Kumaravel. La mèche a aussi prouvé qu’elle était une création incroyablement robuste.

Froide et constante, la lumière électrique n’avait pas la forme de la flamme. Nous sommes encore attirés, reprend Carr, par la flamme qui brûle au bout d’une mèche. Tout changement de technologie est un changement de génération. Xavier de la Porte. Entretiens du Nouveau Monde industriel 2011 (2/4) : le temps des catastrophes. Par Rémi Sussan le 10/01/12 | 7 commentaires | 1,347 lectures | Impression On a pu assister, lors des Entretiens de cette année (voir la première partie) à une session passionnante sur la gestion du risque à la lumière des évènements de Fukushima, avec deux interventions remarquables, celle d’Hidetaka Ishida, de l’université de Tokyo, et celle du philosophe Jean-Pierre Dupuy (Wikipédia).

Pour Hidetaka Ishida, le visage de ce siècle est celui des catastrophes. Désastres naturels de type Katherina, crises nucléaires à la Fukushima, tempêtes financière et monétaire, comme celles qui secouent actuellement la planète. Mais aujourd’hui ces drames entraînent un autre genre de catastrophe : la perte de confiance du public dans la parole des médias et de ceux qu’elle présente comme des experts. Fukushima recouvre un triple désastre : le tremblement de terre d’abord, le tsunami ensuite, la catastrophe nucléaire pour finir. Avec le tsunami, les choses sont plus complexes. Ressurgissement des mémoires. Jean Haëntjens, vers la ville frugale : “on n’a pas encore de futur de rechange aussi clair que celui qu’on abandonne” Par Hubert Guillaud le 11/01/12 | 5 commentaires | 2,683 lectures | Impression Jean Haëntjens est urbaniste et économiste et conseil en stratégies urbaines au cabinet Urbatopies auprès des collectivités locales et des administrations.

Après Le pouvoir des villes (2008) et Urbatopies (2010), il vient de faire paraître La ville frugale chez FYP éditions. Derrière ce concept, Jean Haëntjens cherche à rendre accessible une autre forme de ville durable que celle que nous proposent de bâtir bien des architectes avec des bâtiments à haute qualité écologique intégrés dans des écoquartiers qui sont loin d’être accessibles à tous, financièrement parlant. Quelle ville durable voulons-nous ? Quelles stratégies urbaines concrètes devons-nous adopter pour commencer à organiser la ville dans une perspective post-pétrolière ? Le modèle de la ville frugale InternetActu.net : Pourquoi, avec “la ville frugale” avoir eu besoin de définir un autre concept de ville durable ?

Peut-on changer la ville ? Usages, mésusages. C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). Les utilisateurs de ces services sont d’abord à la recherche de revenus complémentaires. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation De l’usage au mésusage Hubert Guillaud.

Comment Luther est devenu viral. La lecture de la semaine est un article passionnant de l’hebdomadaire britannique The Economist, intitulé “Comment Luther est devenu viral”. “C’est un récit qui nous est familier : après des décennies de grogne, une nouvelle forme de média donne aux opposants à un régime autoritaire le moyen de s’exprimer, de déclarer leur solidarité et coordonner leurs actions. Le message protestataire se répand de manière virale dans les réseaux sociaux et il devient impossible de passer sous silence le poids du soutien public à la révolution. La combinaison d’une technologie de publication améliorée et des réseaux sociaux est un catalyseur pour le changement social, là où les efforts précédents avaient échoué.

C’est ce qui s’est produit pendant le printemps arabe. Les chercheurs ont longtemps débattu de l’efficacité relative des médias imprimés, de la transmission orale et des images dans le soutien populaire à la Réforme. Les gravures sur bois furent une autre forme de propagande. Xavier de la Porte. Réseaux sociaux (3/3) : ces algorithmes qui nous gouvernent. Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Suite et fin de notre compte rendu… Les algorithmes peuvent-ils se tromper ? Tarleton Gillespie professeur à l’université Cornell devait conclure ces deux jours, mais il n’a pu être présent. Il semblait néanmoins intéressant de jeter un oeil sur son propos qu’il a notamment développé sur CultureDigitally : est-ce que les algorithmes peuvent se tromper ? L’implication publique des plateformes privées. La réflexion de Tarleton Gillespie prend son origine dans les contestations émises à l’encontre de Twitter, accusé de censurer sa liste de Tendances.

Bien sûr, la vigueur et la persistance de la charge de la censure n’est pas surprenante, estime Tarleton Gillespie. Les tendances de Twitter ne sont qu’un de ces outils parmi les plus visibles. Il est essentiel de dépecer les algorithmes, estime Tarleton Gillespie. Hubert Guillaud. Réseaux sociaux (2/3) : des outils pour zoomer et dézoomer. Par Hubert Guillaud le 04/01/12 | 4 commentaires | 3,022 lectures | Impression Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Retour sur quelques-unes des présentations. Des outils pour mesurer le réel Pour Alain Barrat, chercheur au Centre de physique théorique de Marseille, les réseaux sociaux en ligne constituent un laboratoire très intéressant qui nous procure de nouvelles données pour faire des études à grande échelle, mais permettent également l’étude de l’évolution temporelle des réseaux (ce qui est plus difficile dans le réel).

Après avoir évoqué l’influence de la proximité et de l’homophilie dans les réseaux sociaux de lecteurs, Alain Barrat a évoqué un autre exemple d’étude des relations en face à face développée par le réseau de recherche SocioPatterns. Dynamical Contact Patterns in a Primary School. from SocioPatterns on Vimeo. Hubert Guillaud. Réseaux sociaux (1/3) : diviser le monde pour le comprendre. Par Hubert Guillaud le 03/01/12 | 9 commentaires | 4,874 lectures | Impression Les 12 et 13 décembre 2011 se tenait à Lyon un colloque universitaire sur les réseaux sociaux organisé par l’Institut rhône-alpin des systèmes complexes. Comme le soulignait Pablo Jensen en introduction, le sujet est plus qu’à la mode. Partout, on a l’impression que les Big Data vont nous permettre de révéler les données du comportement humain, comme l’exprimait récemment un article du New York Times : permettant à la fois de prédire le plus individuel (le divorce prochain d’un détenteur de carte de crédit selon l’évolution de ses achats) comme le plus collectif (détecter de possibles rebellions grâce aux données issues du web de 21 pays d’Amérique Latine que scrute en continu l’Iarpa américaine).

Comme si les données allaient nous permettre de découvrir les lois sociales qui nous gouvernent…, souligne avec ironie le chercheur. Structurer pour organiser Mesurer la cohésion Fellows from Adrien Friggeri on Vimeo. Quantified Self (3/3) : Les tabous de la mesure. Par Hubert Guillaud le 15/12/11 | 6 commentaires | 2,785 lectures | Impression L’une des limites du Quantified Self demeure trop souvent, de rester focaliser sur la santé et le sport, notamment parce que les deux secteurs permettent d’enregistrer des données “objectives” : vitesse de course, pulsation cardiaque, localisation, prise médicamenteuse… sont autant d’actions concrètes facilement révélables par les chiffres. En ce sens, le QS demeure une mesure de la performance et de l’amélioration, même si pour cela elle observe également la maladie, la faiblesse et la dégradation.

Pour s’étendre, le mouvement doit certainement chercher à dépasser ses limites originelles pour introduire la mesure dans d’autres domaines que le seul domaine du soin de soi. Mais en même temps, quand il lui arrive de glisser sur d’autres thématiques, il révèle vite ses limites et ses tabous. Peut-on tout mesurer de soi ? Comment alors parvenir à les contourner ? Peut-on tout mesurer ? Hubert Guillaud. “Comment vas-tu point d’interrogation”

La lecture de la semaine est un article du New York Times, signé Nick Wingfield et il s’intitule : “Le bon vieux temps des malotrus accrochés à leur téléphone portable”. Est-ce que parler au téléphone est la même chose que parler à son téléphone ? Se demande pour commencer le journaliste. Le bruit produit par quelqu’un discutant sur un téléphone portable fait partie de la bande-son de notre vie quotidienne, et la plupart d’entre nous a appris à être silencieux – ne pas parler dans les wagons zen des TGV par exemple. Mais les règles de savoir-vivre concernant la manière dont on s’adresse à un téléphone – et plus précisément à un “assistant virtuel” comme le Siri d’Apple, disponible sur le nouvel Iphone 4S – n’existent pas encore, pour le malheur des gens qui sont autour. D’abord parce que les conversations avec des machines ont un aspect mécanique et troublant.

Ensuite il y a un problème de ponctuation : si vous voulez une marque de ponctuation, il faut la nommer. Xavier de la Porte. Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi. Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures. Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public.

Les applications sportives ou de santé ne manquent pas. Reste à trouver le capteur et l’interface qui séduira le plus grand public. Nombreux semblent ceux qui sont à la recherche du Graal qui permettra de tout faire tout en assurant la meilleure personnalisation. La longue traine des outils. L’histoire de l’innovation contemporaine c’est les Big Data. La lecture de la semaine provient de la vénérable revue The Atlantic et on la doit à Erik Brynjolfsson, économiste à la Sloan School of Management et responsable du groupe Productivité numérique au Centre sur le Business numérique du Massachusetts Institute of Technology et Andrew McAfee auteurs Race Against the Machine (« La course contre les machines où comment la révolution numérique accélère l’innovation, conduit la productivité et irréversiblement transforme l’emploi et l’économie »).

Elle s’intitule : « l’histoire de l’innovation contemporaine, c’est les Big Data » (c’est le nom que l’on donne à l’amoncellement des données). En 1670, commence l’article, à Delphes, en Hollande, un scientifique du nom de Anton van Leeuwenhoek (Wikipédia) fit une chose que beaucoup de scientifiques faisaient depuis 100 ans.

Il construisit un microscope. Ce microscope était différent des autres, mais il n’avait rien d’extraordinaire. Cependant, malgré leurs forces, les mesures ont un défaut. Refaire société : Comment s’engager aujourd’hui. Refaire société : La ville Cyborg. Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire. Les limites d’âge n’aident pas parents et enfants à comprendre les réseaux sociaux. L’Unesco a-t-il besoin de Wikipédia pour protéger notre Patrimoine mondial… immatériel. Que nous faut-il pour “Refaire société”

Envisioning the future of education. Envisioning the Future of Education Technology #edtech #eLearning. Extraits et résumés. ProspecTIC. Sommaire Prospectic-2008. Plus de BYOD = plus de frais et plus de risques. BYOD : où en sont les entreprises. What is BYOD. Bring your own device. 5 Things To Know About The BYOD Trend. Making Sure BYOD Doesn’t Mean "Bring Your Own Disaster" Informatique: Vers une simplification de l'usage de la signature électronique - Suisse.

C & F Éditions. Le plagiat à l’ère des réseaux sociaux. Le plagiat à l’ère des réseaux sociaux (fin) Twitter. Defense Department Cyber Efforts: DOD Faces Challenges In Its Cyber Activities. Cybercrime and Privacy Issues ERCIM NEWS N° 90 July 2012. WSIS FORUM 2012 OUTCOME DOCUMENT (ITU) IMPLEMENTING WSIS OUTCOMES: experience to date and Prospects for the future. Educating the Net Generation - Diana Oblinger EDUCAUSE and James OblingerNorth Carolina State University. Peter Senge - The Learning Organization Symposium at Jubail Industurial City. Ten Years Hence Speaker Series - Peter Senge. "Systems Thinking, Complexity Theory and Management" by David C. Aron, M.D., M.S. What is a Learning Organization? - systems thinking, Fifth Discipline, Peter Senge, mentors, chain management, mental modes.

The learning organization - principles, theory and practice @ the encyclopedia of informal education. Learning organization. The Top 10 tech trends for 2012. Peter senge and the theory and practice of the learning organization. Deconstructing “What Works” in Education Technology. Envisioning the Future of Education Technology. Contracts & Grants - e-Skills: monitoring and benchmarking policies and partnerships.