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FINANCEMENT DE L'ACTIVITE ECONOMIQUE

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-Théories et politiques monétaires
- Marchés et instruments financiers

La Banque du Japon va à rebours de la Fed. La Banque du Japon (BoJ) a contre toute attente décidé vendredi d’assouplir davantage sa politique monétaire, en augmentant son programme de rachat d’actifs, dans l’espoir de donner un coup de fouet à une économie chancelante. Cette annonce, qui survient deux jours après une démarche inverse de la Réserve fédérale américaine (Fed), a instantanément propulsé la Bourse de Tokyo et le dollar à des niveaux inédits depuis près de sept ans. Lire aussi : La Fed tourne la page des rachats d’actifs Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion de son comité directeur, la BoJ a fait savoir qu’elle allait désormais augmenter la base monétaire de 80 000 milliards de yens (583 milliards d’euros) par an, contre 60 000 à 70 000 milliards auparavant.

. « L’économie japonaise se trouve à un moment critique dans son combat contre la déflation », a justifié le gouverneur de la BoJ, Haruhiko Kuroda. Les marchés boursiers ont aussi applaudi le geste. La BCE va racheter plus de 1000 milliards d'euros de dettes - L'Express L'Expansion. Déflation: les pistes pour s'en sortir - L'Express L'Expansion. Inflation négative: pourquoi il ne faut pas s'inquiéter tout de suite - L'Express L'Expansion. Pourquoi l'endettement explose-t-il dans le monde ? La Suisse laisse le franc suisse s'envoler et provoque une onde de choc.

La Suisse est en pleine tempête. La Banque Nationale Suisse (BNS) a pris les marchés par surprise en annonçant jeudi 15 janvier l'abandon du taux plancher, déclenchant une montée en flèche du franc suisse et un "tsunami financier". L'onde de choc provoquée par la décision surprise de la Suisse frappe de plein fouet son économie et continue vendredi 16 janvier à provoquer des vagues sur les marchés financiers. La bourse suisse à Zurich a clos avec une chute de 5,96%, l'indice SMI passant sous la barre des 8.000 points à 7.899,59 points. Jeudi la bourse avait plongé de 8,7%, un record depuis 1988, suite à la hausse du franc après la suppression du cours plancher avec la Banque Nationale Suisse.

En outre, pour la première fois, le taux d'emprunt à 10 ans de la Suisse sur le marché obligataire secondaire est devenu négatif, avec un taux de -0,031%, contre +0,076% la veille à la clôture. Concrètement, cela signifie que celui veut prêter de l'argent à la Suisse doit payer pour le faire. Chute du rouble : la Russie peut-elle encore s’en sortir ? Le rouble continue sa descente aux enfers. Après sa chute de près de 10% lundi 15 décembre, la monnaie russe s’est effondrée de 20% mardi, atteignant de nouveaux records de faiblesse face au dollar (80 roubles pour un dollar) et à l’euro (100 roubles pour un euro). Il s’agit d’un choc d'une ampleur qui n'avait plus été observée depuis 15 ans. Depuis le début de l'année, le rouble a cédé près de la moitié de sa valeur face au dollar. Cette dégringolade continue ravive le souvenir de 1998, lorsque l’effondrement du rouble avait conduit, en quelques jours, à un défaut de la Russie sur sa dette.

Tour d’horizon des questions que pose cette crise. 1. Pourquoi le rouble s’effondre ? La chute de la monnaie russe tient principalement à trois facteurs : la spéculation contre le rouble, le recul du prix du baril de pétrole et les sanctions occidentales prises contre la Russie en raison de son rôle dans la crise ukrainienne. La chute du pétrole contribue aussi fortement à cette crise. 2. 3. Henderson GI : "les dividendes mondiaux devraient atteindre 1190 Mds$ en 2014" (Boursier.com) — Les dividendes mondiaux ont atteint 288,1 milliards de dollars US au cours du troisième trimestre selon le dernier rapport Henderson Global Dividend Index (HGDI) de Henderson Global Investors. Les dividendes ont affiché une croissance modeste de 3,8% par rapport au troisième trimestre 2013, mais ce chiffre n'intègre pas la croissance rapide continue du paiement des dividendes sous-jacents.

Sur l'année, les dividendes devraient, selon les estimations d'Henderson Global Investors, atteindre 1,19 trillion de dollars, soit une hausse de 12.6% pour le versement total des dividendes (et de +10.6% sans prise en compte des dividendes exceptionnels). Henderson prévoit, à l'heure actuelle, que les dividendes atteindront 1,24 trillion de dollars en 2015. Les Etats-Unis restent le moteur principal de la croissance des dividendes mondiaux. Laurence Vallet — ©2014, Boursier.com. Sans séparation des activités, l'Union bancaire n'a pas de sens. On connaît les défaillances du projet d'union bancaire adopté par le conseil européen et qui est actuellement soumis à d'intenses tractations avec le parlement européen, la taille insuffisante du fonds, le caractère complexe du processus, la faible mutualisation. Mais il est un point sur lequel tout le monde semble satisfait : il ne sera plus fait d'emblée appel au « contribuable » pour sauver une banque en difficulté.

Une union bancaire qui défend les « petites gens » ? L'intervention de l'Etat national, et encore plus celle des autres Etats de la zone euro, ne se réalisera qu'en dernier recours. Au point que cette rhétorique a remplacé dans la bouche des dirigeants européens celle qui avait été initialement le point de départ de l'union bancaire : la mutualisation des forces pour empêcher une crise bancaire. Le contribuable protégé par la porte, pas par la fenêtre Sauf que, évidemment, la réalité est un peu différente. Se servir dans les dépôts n'est pas sans conséquences. Le taux de préférence pour le présent ou comment capitalisme et société de consommation s’opposent sans le savoir. | Le blog de Limonaire. Les économistes utilisent souvent la notion de taux de préférence pour le présent dans leurs travaux micro-économiques. Curieusement, dès qu'ils conseillent le pouvoir ou passent à la télévision, cette notion passe à la trappe.

Pire : ils en arrivent parfois à présenter des conclusions qui n'ont pas de sens dès qu'on introduit la notion de taux de préférence pour le présent. Ce taux de préférence est pour les économistes une réalité anthropologique : en tous temps, en tous lieux, les hommes préfèrent une pomme aujourd'hui à une pomme demain. On dit qu'ils ont une préférence pour le présent. Il faudrait leur donner plus d'une pomme demain (une et demie ou deux par exemple) pour qu'ils renoncent à une pomme aujourd'hui. Ce taux de préférence pour le présent est en quelque sorte le taux d'intérêt interne des agents, propre à chacun. Un individu qui est indifférent au fait de recevoir 100.000 euros maintenant ou 120.000 euros dans un an a ainsi un taux d'intérêt interne de 20 %.

Johnson & Johnson cède son activité diagnostic pour 4,15 milliards de dollars. Comment une banque centrale intervient-elle pour changer le cours d'une monnaie? Dans la majorité des pays dont l'économie est basée sur les exportations, comme par exemple la Chine, la Banque Centrale Nationale intervient pour contrôler son taux de change. Pourquoi? Simplement car sans ces interventions, le taux de change du yuan (= monnaie chinoise) s'envolerait, ce qui aurait pour effet de réduire les exportations chinoises. Mais comment une banque centrale peut-elle intervenir, et quels sont les effets de ces interventions sur les autres agrégats macro-économiques? Pour bien comprendre comment cela fonctionne, le Captain' n'a pas d'autre choix que de vous faire une petite leçon rapide de comptabilité.

Comme une entreprise ou une banque classique, une Banque Centrale a un bilan comptable actif/passif, toujours équilibré. Le passif de la Banque Centrale correspond à ses ressources (d'où vient l'argent), et l'actif à ses emplois (ce qu'on fait avec cet argent). Une Banque Centrale peut gérer son taux de change en utilisant ses réserves de change. 5300 milliards de dollars sont échangés quotidiennement sur les marchés des changes. « Une fois tous les trois ans, la Banque des Règlements Internationaux publie les résultats d'une enquête sur la taille des marchés des changes. La plus récente "Enquête triennale des banques centrales" (…) n'est pas sans avoir quelques nouvelles qui nous sont familières. Les marchés des changes sont extrêmement larges. "Les échanges sur les marchés des changes atteignaient en moyenne 5.300 milliards de dollars par jour en avril 2013, alors qu’ils représentaient 4.000 milliards de dollars en avril 2010 et 3.300 milliards de dollars en avril 2007.

" Le taux de croissance annuel du marché des changes au cours des dernières années a été d'environ 35 %. Qu'est-ce qui explique ce très large montant ? Le PIB mondial est d'environ 70.000 milliards de dollars et les exportations mondiales représentent environ 30 % de ce montant, soit environ 21000 milliards de dollars par an. Un autre message important du rapport de la BRI concerne le rôle du dollar américain sur les marchés des changes. Financement des PME : quelles pistes privilégier en 2014 ? Depuis plusieurs mois, les innovations se multiplient dans le financement des PME.

Les nouveaux instruments mis en place par le gouvernement, à savoir le crowdfunding, le PEA-PME ou encore la réforme du Code des assurances peuvent-ils réellement pallier les bons vieux outils de financement (les crédits bancaires et l'affacturage notamment)? L'association PME Finance nous livre des éléments de réponse. Les crédits bancaires Alors que la Banque Centrale Européenne maintient ses taux directeurs à des niveaux historiquement bas, les conditions d'obtention de crédits bancaires se sont durcies pour les PME, mais de façon inégale. La tension principale a été relevée, en 2013, sur les crédits de trésorerie, alors que les crédits de plus long terme restaient stables.

Au global, le crédit bancaire aux PME commence à marquer légèrement le pas. L'enquête trimestrielle de la Banque de France est venue confirmer une hausse des taux de refus de crédits à court terme (30% contre 10% à long terme). Focus3-deflation-ou-desinflation. Les 3 facteurs qui expliquent la baisse de l’euro. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie Charrel L'euro baissait encore un peu face au dollar mardi 6 janvier, restant fermement ancré sous 1,20 dollar au lendemain de sa dégringolade. Vers 11 H 50 à Paris, la monnaie unique européenne valait 1,1898 dollar contre 1,1933 dollar lundi soir. Elle était tombée lundi dans les échanges asiatiques à 1,1864 dollar, son niveau le plus faible depuis mars 2006.

La devise européenne baissait face à la monnaie nippone, à 141,45 yens - déclinant même vers 10H40 GMT à 141,38 yens, son niveau le plus faible en deux mois, contre 142,74 yens lundi L’inquiétude sur l’avenir de la Grèce La Grèce et la possibilité d’une sortie du pays de la zone euro - le « Grexit » - sont au centre des inquiétudes des investisseurs, à l’approche d’un scrutin législatif anticipé, le 25 janvier. Les inquiétudes ont été relancées ce week-end par Der Spiegel. Lire aussi : Le risque grec fait de nouveau trembler la zone euro La crainte de la déflation.