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Lettre ouverte aux jeunes enseignants de la génération Facebook (et aux autres) En 2011, une enquête IFOP montrait que 83% des 15-24 ans possédaient un compte Facebook (contre 62% chez les 25-34 ans, 31% chez les 35-49 ans, 16% chez les 50-64 ans et 4% chez les 65 ans et plus). La « fracture numérique » est bel et bien une fracture générationnelle et culturelle : ce qui sépare, c’est moins l’équipement que l’usage ; ce qui change, en particulier avec l’usage intensif des réseaux sociaux, c’est la façon dont on construit sa relation à soi, aux autres, au monde.

Or il se trouve que la « génération Y » des « natifs du numérique » est celle des nouveaux enseignants : l’Education nationale en a-t-elle pris conscience ? Comment les usages des uns peuvent-ils s’adapter aux pratiques des autres ? Comment se forger une identité professionnelle quand celle-ci est désormais aussi une identité numérique ? De nouveaux risques du métier ? Vers une prise de conscience ? Dès lors, une prise de conscience parait absolument nécessaire. Des principes à respecter Jean-Michel Le Baut. Savoir reconnaître une photo truquée en ligne. Une image officielle du métro new-yorkais complètement vide pendant l'ouragan Sandy Voici la première chose que l'on doit avoir à l'esprit lorsqu'on surfe sur la Toile : il ne faut pas prendre ce qu'on y voit pour argent comptant. Surtout quand les images relatent des évènements très médiatisés.

Parce qu'aujourd'hui, la retouche de photos est à la portée de tous et bien des petits malins l'utilisent pour créer des images qui impressionnent, mais qui se révèlent fausses dans bien des cas. L'actualité est une bonne source de création pour ces canulars et bien des internautes partagent de fausses images ou des « mèmes » sur les réseaux sociaux, sans le savoir. L'ouragan Sandy qui a frappé la côte Est américaine à la fin du mois d'octobre 2012 a généré un nombre incroyable de clichés sur la Toile.

Des habitudes à prendre pour discerner le vrai du faux Ce simple exercice démontre à quel point, en 2012, il n'est pas aisé de discerner la réalité de la supercherie. Education aux médias pour tous. Aborder le thème de la rumeur et du "complot" #Jesuischarlie. Recherche d'informations. EPI 4e médias et liberté. Ce qu'est le Datajournalisme - Dailymotion. L'éducation critique au média et au numérique. Producteur de programmes éducatifs plurimédias & opérateur de campagnes de sensibilisation, Tralalere, réunit plus de 20 personnes par la volonté de transmettre. – 5 médias : Audiovisuel / Web / Mobile / Edition – 3 publics cible : Enfants / Parents / Enseignants – 2 circuits de diffusion : Institutionnel / Grand public Dessins animés, sites internet, activités interactives, applications mobiles, Serious Games, installations in situ, dispositifs muséographiques, etc… On a tous assisté à une scène usuelle de ce type : à deux ans, un enfant peut utiliser un Smartphone ou une tablette de façon autonome.

Et il utilise tous les jours ce petit joujou devenu indispensable. Utilisateur dès 2 ans… Mais à 7, 12, 17 et 30 ans, il ne sait toujours pas comment ça marche. L’ambition de Tralalere, c’est d’innover en éduquant au numérique pour faire comprendre, interagir et former des jeunes avisés. Parmi nos sujets de prédilection l’éducation critique au media… et au numérique en particulier. A. B. C. Identité numérique : définition et enjeux.

Par identité numérique, on désigne l’ensemble des informations associées à une personne, une entreprise ou une institution, disponibles et/ou mises en scène sur Internet. Avec le Web 2.0 et l’accroissement exponentiel de l’implication des internautes sur la Toile (au travers des blogs, wikis, réseaux sociaux, plateformes d’échange…), les traces informationnelles se multiplient au quotidien, que ce soit sur les sites hébergeurs de ces services ou sur les moteurs de recherches les indexant.

Parmi ces traces, Fred Cavazza distingue les « données formelles (coordonnées, certificats…) » et les données « informelles (commentaires, notes, billets, photos…) ». Ces deux types de données forment, selon diverses modalités, des facettes composantes de l’identité numérique de l’internaute – cette dernière étant perçue comme un puzzle. Il faut de plus différencier (selon Yves Jeanneret) : Au travers de cette distinction, c’est l’état de conscience de l’internaute qui est questionné.

A lire aussi : Comment fonctionne Google ? Quelles traces laissons-nous sur le Web ? 2 séquences pédagogiques pour réfléchir et agir. Gaëlle Sogliuzzo, professeur-documentaliste en lycée à la Cité Scolaire Beaumont (Redon, 35) a conçu un portfolio très intéressant de séquences et expérimentations pédagogiques sur la culture de l’information et des médias. Cet enseignant propose une approche participative de l’éducation au numérique avec 2 axes de travail formalisés.

Pour chaque séquence, un ensemble de documents pédagogiques en libre accès : document de préparation de séance, fiches et documents élèves, exercices et corrigés et documents de synthèse. Des dossiers complets (avec infographies, explicitations, quizz…) pour développer des activités dans le cadre scolaire, en formation ou en espace public numérique (EPN). Séquence 1 : Comment fonctionne un moteur de recherche : l’exemple de Google « Le fonctionnement d’un moteur de recherche, à partir de l’exemple de Google, travaillé en demi-classe sur deux heures consécutives par groupe ». Séquence 2 : Identité / présence numérique : quelles traces laissons-nous sur le web ?

Les théories du complot ou « la vérité est ailleurs » Une théorie du complot ? « En cas de doute, il y a trois questions à se poser » Prof d’anglais dans un lycée de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), Sophie Mazet est l’auteure d’un « Manuel d’autodéfense intellectuelle », fruit d’un atelier organisé dans son établissement. Les jeunes de la Ruche89 l’ont interrogée cette semaine.

C’est leur toute première interview. Ruche89 : Comment se déroulent vos ateliers d’« autodéfense intellectuelle » ? « Manuel d’autodéfense intellectuelle » de Sophie Mazet, éd. Robert Laffont, septembre 2015 Sophie Mazet : Il y a d’abord une partie sur le langage, les mots, les arguments. On commence par de la rhétorique à l’ancienne, Aristote, etc. Par exemple ? Un exemple qu’on travaille beaucoup est celui du Rwanda.

Les théories du complot, sur lesquelles vous avez écrit, arrivent plutôt en fin de formation. Vous avez démarré ces cours après vous être rendu compte de la grande crédulité de certains de vos élèves... Je ne suis pas sûre que ce soit spécifique aux jeunes. Qu’est-ce qu’il va se passer dans 25 ans ? Hélas, il y a des risques. Étudier la publicité en classe. La recherche sur internet. 3emedias.