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Monsanto

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Le Chili célèbre le triomphe contre la Loi Monsanto et l’Accord UPOV. 20 mars 2014 – Le retrait de la loi Monsanto sur la privatisation des semences paysannes et la non adhésion à la Convention UPOV 91 sur la protection de l’obtention des végétaux sont célébrées par les citoyens chiliens qui se mobilisent activement en défense de la production agro-écologique et de la culture familiale paysanne.

La pression est née d’un ample mouvement, de la campagne et de la ville, en défense des semences libres de brevets, non transgéniques et contre les pesticides, articulé dans la Campagne « Yo no quiero transgénicos en Chile » RAP-Chile. La Présidente Bachelet et sa coalition au gouvernement ont annoncé le 17 mars le retrait du projet connu sous la dénomination de Loi Monsanto et qui avait été déposé au parlement en 2009 par la présidente elle-même au cours de sa précédente administration.

La campagne a suscité une mobilisation massive, des échanges de semences et le déploiement de ressources visuelles sur les réseaux sociaux. Convention UPOV Traduction Anne Wolff. Les Argentins remportent une victoire sur Monsanto‏ Monsanto pensait bien voir son projet aboutir en Argentine. Le numéro un sur le marché des semences génétiquement modifiées avait à vrai dire mis le paquet : un investissement de 160 millions de dollars et la perspective de créer quelques quatre cents emplois dans une des régions les plus pauvres du pays.

L’urgence sociale, selon les dirigeants de la multinationale, aurait dû faire taire les protestations. Mais les choses ont pris une tournure pour le moins inattendue. Les habitants de Malvinas Argentina et des groupes de protection de l’environnement ont réussi à obtenir de la justice que leurs revendications soient entendues. En effet, les travaux entrepris par Monsanto sont pour le moment arrêtés tant qu’un rapport n’aura pas prouvé la non-dangerosité de ses produits sur l’environnement. Mieux, la pression sociale commencée il y a quelques mois a conduit le gouvernement provincial à revenir sur le projet même de l’entreprise. Quand la diplomatie américaine était au service de Monsanto.

Le "Monsanto protection act" supprimé... dans la douleur. Array. Array. Le "Monsanto protection act" supprimé... dans la douleur - LMOUS Cavalier législatif perdu au beau milieu d'un imposant pavé budgétaire, la disposition qui immunisait les firmes productrices d'OGM contre les recours judiciaires a été purement et simplement supprimée. Aux États-Unis, en avril dernier, une loi scélérate était votée, et promulguée. Cette disposition, bien camouflée au beau milieu d'une loi de programmation budgétaire, contraignait le ministère de l'Agriculture à "ignorer toute décision judiciaire bloquant la plantation de cultures génétiquement modifiées qu'un tribunal aura jugées illégales", comme le résumait alors le sénateur Jon Tester, de l'État du Montana.

Cette loi autorisait donc les semenciers à cultiver et vendre n'importe quel OGM, y compris ceux pour lesquels il existerait des preuves de toxicité ! La révélation de l'existence de cette loi a fait des vagues, et des grosses ! (Article publié sur le site "Les mots ont un sens") Liens entre Monsanto et le gouvernement fédéral des États-Unis. Picture-12. Picture-21. [DOC] : Le Monde selon Monsanto (Arte)