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Animer un grand groupe : quels outils. Les grands groupes nous contraignent-ils nécessairement à une approche "magistrale" et à une technique pédagogique basée sur les exposés et les diaporamas ?

Animer un grand groupe : quels outils

Cet article présente quelques techniques et des ressources qui montrent que des alternatives existent. Basées ou non sur des solutions numériques, elles créent d'autres formes d'interactions que celles qui prévalent dans les petits groupes et permettent un véritable apprentissage. Les classiques : les sous-groupes Le réflexe face à un grand groupe consiste à créer des groupes plus petits, et à leur confier soit la même tâche, soit des tâches différentes et complémentaires. Le succès réside dans la clarté des consignes, car si les groupes hésitent sur ce qui est attendu, le formateur ou professeur est condamné à passer de l'un à l'autre pour apporter des précisions... et la dynamique est rompue.

Hotseat Déjà chroniquée sur Thot, Hotseat se propose de réunir quelques fonctions simples. Le Phillips 6/6. Laissez tomber vos tours de table : la balle magique... Pour recueillir les attentes des participants dans diverses circonstances, par exemple au début d’une réunion ou encore d’une session de formation, un usage aussi vieux que les conseils d’administration veut qu’on ait recours à ce qu’on appelle le tour de table. Vous qui lisez ces lignes, il est fort probable que vous ayez une expérience de cet exercice de style plutôt convenu, conçu pour permettre à des personnes présentes dans une assemblée de se présenter, et/ou de donner leur avis sur un point quelconque. Voilà comment cela se passe le plus souvent : L’animateur de la séance suggère que chaque personne présente s’exprime tour à tour, en suivant tout simplement l’ordre d’installation dans la salle ou autour de la table.

On commence par régler la question du "On commence par où, la gauche ou la droite ? ", et c’est parti comme en 14, chacun y va de son petit couplet. Or, panique à bord, je ne suis pas du tout certain d’être à la hauteur, le moment venu. Redéfinir sa posture enseignante en tricotant des liens invisibles-Laurence JUIN. Pour introduire les formations que je donne « les usages des réseaux sociaux en pédagogie » , j’utilise souvent la méthode dite des « pelotes de laine » de Christophe Batier. .

Redéfinir sa posture enseignante en tricotant des liens invisibles-Laurence JUIN

L’idée est de faire tirer entre les membres d’un même auditoire des fils de laine: ces fils représentent les liens invisibles qui nous rassemblent et créent un réseau social. « Ceux qui fument, ceux qui courent, ceux qui cuisinent, les amateurs de thé, les adeptes de loisirs créatifs… ». Pour plus de détails : lisez le descriptif qu’en fait Christophe (ici) Lorsque je commence une intervention, j’ai, face à moi, un groupe qui peut aller d’une dizaine à une cinquantaine de personnes. Un groupe qui fait bloc: des enseignants, formateurs, personnels de direction unis par un espace commun d’éducation. Ils sont là (de gré ou de force!) En introduction, je lance mes pelotes avec cette phrase « je vous présente un premier outil numérique!

Rendre tangible le rôle des réseaux sociaux par la méthode des pelotes de laine C BATIER. Tissons des liens Atelier de découverte du rôle des liens et des interactions dans les réseaux sociaux Dans les formations que nous animons dans notre Université pour les enseignants, nous proposons à un atelier découverte des réseaux sociaux utilisant la métaphore du lien via une pelote de laine.

L’objectif est de sensibiliser les enseignants à l'intérêt que peuvent avoir ces outils pour communiquer, motiver, faire collaborer les étudiants et de leur montrer quelles sont les interactions que l’ont peut avoir et que l’on peut générer avec les réseaux sociaux au sens large . Nous sommes partis du constat qu’il n’est toujours simple de comprendre comment fonctionnent ces outils. La question, outil de l’enseignant ? « Je t’en pose, moi, des questions ?

La question, outil de l’enseignant ?

» Combien de fois cela vous est-il arrivé de recevoir « à la figure » cette réplique toute faite, signe d’une indiscrétion ou curiosité potentielle envers votre interlocuteur ? La question peut donc agacer. L'art de poser des questions pour former et évaluer. Remue méninges / Brainstorming. Objectif Cette méthode aide à analyser et classer des informations.

Remue méninges / Brainstorming

Elle favorise la créativité de chaque membre dont le cerveau est en perpétuelle agitation. C’est une méthode active de travail qui convient surtout quand il faut amorcer un projet. L’origine Le brainstorming ou remue-méninges est une technique de résolution créative de problème sous la direction d’un animateur, un remue-méninge étant plus spécifiquement une réunion informelle de collecte d’idées ou, pour les enfants, un casse-tête. La méthode La principale promesse de la méthode est la récolte d’idées nombreuses et originales. Déroulement Dans un premier temps les participants se rassemblent pour formuler un projet, déceler des objectifs, trouver une solution. Première étape – Présentation de l’objectif au groupe (Ré) présenter l’objectif “ - quelles sont les conditions propices à la mise en apprentissage ” ? Deuxième étape - Travail en binômes Travail en binôme comme proposé. Les TRC en pratique. Favoriser l'expression de la motivation ...

Pédagogie : Comment le schéma favorise-t-il l'apprentissage ? Méthodologie et méthodes de l’étude de cas. L’étude de cas est une méthodologie qui est employée pour étudier quelque chose de spécifique dans un phénomène complexe.

Méthodologie et méthodes de l’étude de cas

Il existe dans la littérature de nombreuses définitions du terme de cas. Bichindaritz (1995) propose de le définir comme un ensemble de données empiriques. De façon plus générale, un cas peut être considéré comme un objet, un événement ou une situation constituant une unité d’analyse. Hamel (1997), de son côté montre que l’étude de cas consiste à rapporter un événement à son contexte et à le considérer sous cet aspect pour voir comment il s’y manifeste et s’y développe. En d’autres mots, il s’agit, de saisir comment un contexte donne acte à l’événement que l’on veut aborder" (p. 10).