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Entreprise/Travail

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Soin et alimentation des ingénieurs informatique (ou pourquoi les ingénieurs sont grincheux) Préambule Suite à la lecture du billet "The care and feeding of software engineers (or, why engineers are grumpy)" écrit par Nicholas C. Zakas, Bertrand Tornil et moi-même avons été frappés par sa pertinence et avons décidés de le diffuser autour de nous.

Malheureusement, la barrière de la langue n'a pas permis une diffusion aussi large que nous le voulions. C'est pourquoi nous nous sommes attelés à sa traduction que nous vous proposons ici. Si vous avez des améliorations à y apporter, n'hésitez pas à nous en faire part. Mises à jour Le 05 mars 2013 : Corrections de parmentf, ebouchut, blankoworld, Astalaseven, thomasleveil, blambeauLe 21 août 2012 : Corrections de SylpheMLe 23 juillet 2012 : Corrections de rjanot Soin et alimentation des ingénieurs informatique (ou pourquoi les ingénieurs sont grincheux) Elle préconise notamment aux ingénieurs de ne pas dire "non" si vite. Notre réputation (Note : Certains diront que ce n'est pas vrai de tous les développeurs et ils auront raison. Dans la peau d’un hacker black hat. Robert Hansen, du site WhitehatSec a mis en ligne sur son blog, une interview passionnante.

Dans la peau d’un hacker black hat

Durant plusieurs jours, il a eu l'occasion d'échanger avec un black hat, c'est à dire un hacker qui pratique son art illégalement essentiellement pour l'argent. Il a pu lui poser toutes les questions qu'il avait en tête et ainsi mieux connaitre l'envers du décor. J'ai trouvé intéressant de vous la retranscrire ici en français.

Merci à Robert Hansen qui a réalisé cette interview. Ces dernières années, je me suis efforcé de me mettre à l’écoute de la "communauté black hat". La plupart du temps, malgré leurs réticences, mes interlocuteurs dans le domaine de la sécurité informatique ont conscience de l’utilité d’un dialogue avec les cybercriminels. Je crois au contraire qu’il est extrêmement important que les experts en sécurité informatique maintiennent un dialogue ouvert avec la communauté black hat. L’interview d’Adam s’est déroulée sur plusieurs jours, et a demandé de nombreux échanges. 1. 2. 1. Google, la machine à penser. L'invasion des «métiers à la con», une fatalité économique? «Avez-vous l’impression que le monde pourrait se passer de votre travail?

L'invasion des «métiers à la con», une fatalité économique?

Ressentez-vous la profonde inutilité des tâches que vous accomplissez quotidiennement? Avez-vous déjà pensé que vous seriez plus utile dans un hôpital, une salle de classe, un commerce ou une cuisine que dans un open space situé dans un quartier de bureaux? Passez-vous des heures sur Facebook, YouTube ou à envoyer des mails persos au travail? Avez-vous déjà participé à un afterwork avec des gens dont les intitulés de jobs étaient absolument mystérieux? Êtes-vous en train de lire cet article parce qu’un ami ou un collègue vous l’a conseillé, twitté, facebooké ou emailé au travail?» Si vous avez répondu oui à plusieurs de ces questions, vous faites sans aucun doute possible partie de cette population qui occupe un «boulot à la con», ou «bullshit job», comme les nomme l’anthropologue anglais David Graeber.

Strike! «Pour y arriver, des emplois ont dû être créés qui sont, par définition, inutiles. Parlons-en! The Rise of the New Groupthink.