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Violence

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Armes dans les écoles: des statistiques fiables ? | Marie-Claude Malboeuf. Personne, au Ministère, n'était en mesure d'en fournir, selon son porte-parole Clément Falardeau. L'attaché de presse de la ministre Lise Thériault n'a même pas pris la peine de nous rappeler. Et le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a prétendu, près d'une semaine après avoir été contacté, qu'il était «impossible de retracer les événements» en cause. La SQ et les services de police de Laval, Longueuil et Gatineau y sont pourtant parvenus. Leur collaboration a permis de découvrir qu'une grande partie des cas d'armes à feu rapportés au Programme de déclaration uniforme de la criminalité (DUC) n'en étaient pas vraiment.

Des histoires de «coups de poing» ont été cotées comme si elles impliquaient une «arme de poing». Plusieurs événements impliquant des fusils à air comprimé ou jamais retrouvés ont aussi été confondus avec des histoires d'armes véritables, contrairement à ce que prescrit le Manuel de déclaration des policiers.

Violence dans les écoles: menaces de mort, fusils et couteaux | Marie-Claude Malboeuf. Comme le tueur fou du cégep Dawson, le garçon de 12 ans s'est photographié entouré de son arsenal: huit carabines et revolvers et deux couteaux de chasse... Puis l'écolier des Laurentides a utilisé l'internet pour envoyer ses images à un autre élève et le mettre en garde: «Je vais te tuer avec mes fusils à l'école» et «Ma te tuer avec un couteau». L'enfant s'est bel et bien présenté en classe avec une lame de sa fabrication, en février dernier.

Mais ses fusils étaient faux. «On a tout saisi chez lui; c'étaient des répliques ou des modèles à air comprimé qui tirent des plombs», précise le porte-parole de la Sûreté du Québec, Benoît Richard. Chaque année, depuis 2006, les corps policiers appelés dans les écoles primaires et secondaires du Québec rapportent en moyenne 700 affaires impliquant des armes, révèlent des données obtenues auprès du ministère de la Sécurité publique en vertu de la Loi d'accès à l'information. Dans 170 cas, il s'agissait d'objets tranchants ou contondants. Sanctions. Accueil - Semaine contre l'intimidation et la violence à l'école. Accueil - Semaine contre l'intimidation et la violence à l'école. À 13 ans, brisé par le hockey | Gabriel Béland | Hockey. «Je veux que mon nom soit dans l'article. Je veux que les gars de ma classe qui me niaisent sachent ce que j'ai vécu.» Alexandre Nasra parle avec assurance. Il peut raconter son histoire pendant 30 minutes en n'oubliant aucun détail.

Il se souvient des dates sur le bout des doigts. Il projette l'image d'un jeune allumé et brillant. Dur de croire qu'il y a 20 mois, Alexandre s'est retrouvé inconscient sur une glace. Dur de croire qu'il en a perdu ses amis; qu'à l'école, certains pour se moquer l'appelaient «le commotionné». C'est pourtant ce qui est arrivé à ce Montréalais, comme ça arrive à bien d'autres joueurs d'âge mineur chaque année au Québec. La tête par terre Alexandre Nasra a commencé le sport à 9 ans.

«J'ai vu tout de suite que le hockey était ma passion. À 13 ans, Alexandre a rejoint l'équipe bantam de Versant-Ouest, à Montréal, fier de jouer au hockey double lettre. Avec l'introduction des mises en échec, les blessures se multiplient. Il a survécu quelques mois. La lutte contre l'intimidation et la violence à l'école. La lutte contre l'intimidation et la violence à l'école. Chaire de recherche sécurité et la violence en milieu éducatif - Accueil. Violence à l'école: une lutte «à géométrie variable» | Daphnée Dion-Viens | Société. Avec la loi 56, chaque école doit adopter et mettre en oeuvre un plan d'action pour lutter contre la violence au primaire et au secondaire. La direction doit aussi désigner une personne responsable de ce dossier, chargée de coordonner les travaux d'une équipe.

Les écoles avaient jusqu'au 31 décembre 2012 pour se conformer à ces obligations. Selon le ministère de l'Éducation, 99 % des écoles s'y étaient pliées en janvier 2013. Il y a quelques mois, la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE) a sondé ses membres afin de savoir comment la loi avait été implantée. Verdict : les efforts sont très inégaux d'une école à l'autre, affirme Josée Scalabrini, présidente de la FSE. Une situation qui s'explique facilement par le manque de moyens, poursuit Mme Scalabrini.

Un début positif Claire Beaumont, titulaire de la Chaire de recherche sur la sécurité et la violence à l'école de l'Université Laval, considère de son côté que le bilan est plutôt positif. Branché sur le positif. Branché sur le positif. Syrie : les violences se poursuivent sur fond de palabres à l'ONU | International. Un enfant joue sur l'épave d'un char détruit lors de violents combats à Alep. Photo : AFP/AHMAD GHARABLI L'Assemblée générale de l'ONU a adopté vendredi une résolution non contraignante dénonçant le bombardement des villes rebelles par l'armée syrienne et critiquant l'inaction du Conseil de sécurité. Présentée par l'Arabie saoudite au nom du groupe arabe et soutenue par une soixantaine de pays, dont les États-Unis et les Européens, la résolution, qui appelle aussi à la transition politique en Syrie, a été adoptée par 133 voix sur les 193 pays membres.

Douze pays ont voté contre alors que 31 se sont abstenus. Les puissances occidentales sont persuadées que seul le départ du président Bachar Al-Assad peut mettre un terme à la crise. Mais la Chine et la Russie, qui vend notamment des armes au régime de Damas et possède une base navale dans les eaux syriennes, ont bloqué trois résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU visant à sanctionner Damas. Le camp de réfugiés de Yarmouk bombardé. Violence à Victoriaville : une coalition dénonce le comportement policier | Grands Titres. Le reportage de Denis-Martin Chabot La Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics accuse les policiers d'avoir mis la santé et la sécurité de quelque 3000 manifestants en danger lors de la manifestation contre le gouvernement Charest, vendredi dernier à Victoriaville.

La Coalition réclame du même souffle une enquête publique et indépendante. « Nous tenons à dénoncer la gestion du conflit étudiant par Jean Charest et les stratégies d'intervention des forces policières », affirme Johanne Nasstrom, porte-parole de la coalition. « Depuis maintenant trois mois, cette gestion scandaleuse suscite une colère grandissante chez les étudiants et les mouvements sociaux.

Et en réponse à cette grogne montante, causée par la mauvaise foi du gouvernement dans ce dossier, nous avons été témoins, à Victoriaville, de l'escalade de la répression utilisée par les forces policières, répression qui a failli coûter la vie à un manifestant », soutient-elle. Avertissement. Intimidation et violence à l'école - Un projet de loi trop timide. La Commission de la culture et de l'éducation a tenu ces derniers jours des consultations particulières et des audiences publiques sur le projet de loi 56 visant à lutter contre l'intimidation et la violence à l'école.

Nous souscrivons à un tel projet pour un milieu d'apprentissage sain et sécuritaire et pour une plus grande vigilance par rapport à la violence sous toutes ses formes. Nous sommes d'accord avec une loi prescrivant l'adoption de comportements empreints de civisme et de respect à l'école et, inversement, proscrivant les comportements qui vont à l'encontre de la reconnaissance de l'autre et des valeurs communes (racisme, sexisme, homophobie, xénophobie, taxage, intimidation et cyberintimidation, etc.).

Cependant, dans sa forme actuelle, ce projet de loi risque fort de ne pas atteindre les visées qu'il poursuit. Crainte de la sanction Dans le projet de loi, les contenus et activités que le ministre peut prescrire s'accompagneront d'une exemption d'une partie du curriculum. Publications. SPVM, ça vas-tu? – Partiellement Martel. 8 mars 2012 13h39 · Joël Martel Salut à toi brigade anti-émeute du SPVM! Dis-moi, qu’est-ce qui te fait peur? Parce que visiblement, on ne se fera pas de cachettes, à voir tes agissements lors de la manifestation du 7 mars 2012, tu as affiché tous les symptômes de quelqu’un qui a la chienne. Pour être bien franc avec toi, je ne comprends pas du tout ce qui a bien pu se passer.

C’est vrai, je n’étais pas là. En fait, je suis à plus de cinq heures de char de Montréal et disons que dans les circonstances actuelles, ça m’arrange un peu. Ça reste que logiquement, je ne vois vraiment pas ce qui t’a tant terrorisé pour que tu en viennes à pitcher des grenades assourdissantes dans un tas d’étudiants. À ce que je sache, aucun d’entre-eux est un expert dans l’art de tuer à mains nues. En tout cas, la prochaine fois qu’il y aura une manif, au lieu de fesser sur le monde pour qu’ils se dispersent, amène dix grosses caisses de son pis fais jouer dans le tapis un greatest hits de Nickelback.

Process.aspx?MediaId=ANQ.Vigie.Bll. Projet-loi-56-39-2. Ado Justice. Agressionsexuelle.com.