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Éducation à la sexualité. L’éducation à la sexualité est une forme d’éducation qui tient compte de plusieurs dimensions et couvre des sujets variés : connaissance du corps, image corporelle, stéréotypes sexuels, sentiments amoureux. Elle permet notamment aux élèves : de mieux se comprendre;d’établir des relations affectives respectueuses d’eux-mêmes et des autres;de développer leur esprit critique, leur bon jugement et leur sens des responsabilités. Les enfants et les adolescents québécois reçoivent déjà de l’éducation à la sexualité à l’école. Ce qu’ils apprennent varie toutefois d’une école à l’autre.

Pour offrir à tous les élèves de l’éducation à la sexualité sur chacun des sujets importants, le Ministère souhaite accorder une place plus formelle à celle-ci dans leur cheminement scolaire. Une quinzaine d’écoles mèneront un projet pilote durant les années scolaires 2015-2016 et 2016-2017. L’école québécoise a une responsabilité d’éducation à la sexualité depuis près de 40 ans. Projet pilote d'éducation sexuelle : aucune exemption du cours ne sera tolérée. La connaissance des choses du sexe est trop importante pour être facultative, aux yeux du ministère de l'Éducation. Au même titre que le français et les mathématiques, l'éducation sexuelle sera donc obligatoire pour tous, de la maternelle à la cinquième secondaire dans les écoles du Québec, sans égard aux convictions religieuses et valeurs des parents issus de différentes communautés.

Aucune exemption ne sera tolérée. Dans un premier temps, un projet pilote d'éducation sexuelle, qui démarre dans quelques jours, dès la rentrée scolaire, dans une quinzaine d'écoles, durera deux ans. Ce programme, dont bénéficieront 8200 élèves, devrait par la suite être intégré au curriculum des élèves dès 2017. Mais on sait déjà que ce programme est loin de faire l'unanimité, comme en font foi divers documents obtenus par La Presse Canadienne et une série d'entrevues menées sur le sujet au cours des dernières semaines.

Des enseignants inquiets Pas question, réplique le ministère. Controverse en Ontario. Progression des apprentissages au primaire. Imprimer la section Pour soutenir le développement des compétences Réfléchir sur des questions éthiques et Manifester une compréhension du phénomène religieux, les élèves doivent s’initier à la pratique du dialogue. Pour ce faire, ils s’approprient des connaissances relatives aux formes de dialogue, aux conditions qui le favorisent ainsi qu’aux moyens à utiliser pour élaborer et pour interroger un point de vue. Les élèves apprennent à utiliser ces connaissances de manière graduelle. C'est pourquoi l’apprentissage se poursuit sur plus d’un cycle du primaire et au secondaire. Les tableaux qui suivent présentent des connaissances qui permettront aux élèves d’organiser leur pensée, d’interagir efficacement avec les autres et d’élaborer un point de vue lié à une réflexion éthique ou à la compréhension d’un aspect du phénomène religieux.

Compétence 1 : Réfléchir sur des questions éthiques Compétence 2 : Manifester une compréhension du phénomène religieux Haut de page. Progression des apprentissages au primaire. La Fédération des cégeps propose moins de cours obligatoires | Daphnée Dion-Viens. La formation générale - qui comprend les cours obligatoires suivis par tous les étudiants, qu'ils soient inscrits à un programme préuniversitaire ou technique - sera scrutée à la loupe au cours des prochains mois. Le ministre de l'Éducation, Yves Bolduc, a déjà indiqué qu'il entreprendra une «révision» des cours obligatoires au collégial cet automne. Cette opération survient à la suite du débat sur l'introduction d'un nouveau cours d'histoire obligatoire, une initiative du précédent gouvernement qui a été mise sur la glace dès l'arrivée du ministre Bolduc.

La Fédération des cégeps se réjouit de cette refonte à venir, qui permettra d'avoir une vue d'ensemble plutôt que de procéder à la pièce. Son président-directeur général, Jean Beauchesne, ne remet pas en question la pertinence de cours obligatoires pour tous, mais pense toutefois que la formule actuelle pourrait être modifiée. Sujet délicat Quels cours pourraient devenir facultatifs plutôt qu'obligatoires? Bulletin électronique Panorama - Conseil supérieur de l'éducation.

4 septembre 2012 - Nominations aux commissions du Conseil supérieur de l'éducation - Imprimer cet article Le président du Conseil supérieur de l’éducation, M. Claude Lessard, annonce la nomination de 32 membres au sein des instances du Conseil. À la Commission de l'éducation préscolaire et de l'enseignement primaire sont nommés : Mme Sylvie des Rosiers, directrice générale de l’École primaire Montessori de Magog, Mme Nadine Francoeur, directrice des Services éducatifs aux jeunes à la Commission scolaire des Trois-Lacs, Mme Marie-Noëlle Jean, agente de développement au Bureau des relations avec la communauté de la Commission scolaire de Montréal, M.

Benoît Laforce, enseignant au primaire à la Commission scolaire des Affluents, Mme Éloise Lavoie, conseillère pédagogique à la Commission scolaire de la Capitale, et Mme Christine Trépanier, directrice adjointe à la Fédération québécoise des organismes communautaires Familles. À la Commission de l'enseignement secondaire sont nommés : M.

Avis défavorable au cours d'histoire obligatoire au cégep | Mélanie Marquis. Dans un avis rendu public mardi, le CSE fait valoir que cette modification réglementaire aurait pour effet de réduire la zone de choix des étudiants, d'uniformiser davantage la formation générale et de diminuer l'autonomie des établissements. L'organisme précise que son avis défavorable n'est donc pas lié à la nature du cours en tant que tel, mais qu'il est plutôt motivé par le fait que le cours d'histoire du Québec en remplacerait un autre - en l'occurrence, un cours complémentaire. Le CSE se dit préoccupé par «la croissance de la part d'obligation dans le curriculum de l'enseignement collégial, l'attrition de la part de choix de l'étudiante ou de l'étudiant dans son projet d'études, l'étiolement de l'autonomie des établissements d'enseignement collégial et la définition prescriptive de ce qui devrait faire partie de la formation générale».

«Le CSE met le doigt sur un bobo important. «C'est un équilibre, ce qu'il y a à l'intérieur de la formation générale. Premier cours en ligne libre d'accès à l'Université Laval | Daphnée Dion-Viens. Le premier cours qui sera offert d'ici quelques mois portera sur le développement durable, indique Bernard Garnier, vice-recteur aux études à l'Université Laval. L'objectif est d'en offrir quatre d'ici deux ans. «On pense que c'est important d'y être, c'est une question de réputation, explique M. Garnier. On a les moyens de faire des MOOC, on veut apporter notre contribution. Et si les gens veulent aller plus loin que les MOOC, on va leur dire "venez à Laval". Les MOOC, que l'on peut traduire par cours en ligne libre d'accès, sont offerts sur le Web, généralement gratuitement.

En vogue aux États-Unis Cette formule soulève néanmoins plusieurs questions, comme celle de la reconnaissance de la formation. La formule est particulièrement en vogue aux États-Unis. Criptions. La majorité des gens qui s'inscrivent à ces cours ont déjà un diplôme universitaire et près de 40 % proviennent de l'extérieur du Québec, dont plusieurs d'Haïti. Malgré les écueils, M. Pas de chèque en blanc pour le nouveau cours d’histoire. Connexion Lisa-Marie Gervais 28 mars 2014 Société / ÉducationPas de chèque en blanc pour le nouveau cours d’histoire Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir Consultez tous nos textes sur les élections Un gouvernement libéral élu s’assurerait que le nouveau cours d’histoire du Québec au collégial est « politiquement neutre » avant de l’implanter.

C’est ce qu’ont répondu les principaux partis politiques lorsque Le Devoir leur a demandé ce qu’il ferait avec l’héritage laissé par le gouvernement Marois concernant l’enseignement en histoire. Le chef du Parti libéral, Philippe Couillard, craint que le Parti québécois ait voulu politiser le cours. « Je n’ai pas regardé les détails. La Coalition avenir Québec se dit tout à fait favorable à la révision du cours d’histoire au secondaire. « L’enseignement de l’histoire doit mieux refléter les événements historiques et politiques de l’histoire du Québec.

Québec solidaire abonde en ce sens. Moratoire pour le cours au cégep Avec Guillaume Bourgault-Côté. La nation québécoise au coeur du nouveau cours d'histoire | Philippe Teisceira-Lessard. La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, a présenté le document aujourd'hui à Montréal. Le programme actuel d'histoire au secondaire, instauré par les libéraux en 2006, avait été vivement critiqué par les associations de professeurs qui attachaient plus d'importance à «l'histoire nationale» du Québec.

Le rapport du comité d'experts leur donne raison. L'ancien programme «avait un effet réducteur sur la compréhension du passé en minimisant la complexité des situations ou les particularités de l'expérience québécoise, y compris sa dimension nationale», écrit-il. Pour améliorer la situation, le comité propose de placer la «trame nationale» québécoise au coeur du programme. Le cours «devrait permettre à l'élève d'explorer l'évolution des contours de la communauté politique et de l'idée nationale», propose le comité, ce qui soulèvera «la question sensible de la mise en scène du fait national».

Le rapport nuance toutefois sa proposition. Nouvelle mouture du cours d'histoire dans 90 classes du Québec en septembre | Annie Mathieu. La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, a présenté jeudi après-midi le rapport des deux experts chargés d'étudier la question du renforcement de l'histoire au secondaire, Jacques Beauchemin et Nadia Fahmy-Eid. À leur suggestion, le cours Histoire et éducation à la citoyenneté deviendra donc Histoire du Québec et du Canada. Et plutôt que d'enseigner la matière en fonction de thèmes, les professeurs se baseront sur la «trame nationale» de la province qu'ils présenteront de manière chronologique. Cette modification était réclamée par le milieu, qui reprochait au cours instauré sous les libéraux de ne pas avoir de fil conducteur.

«C'est comme une histoire que l'on peut raconter avec des regards croisés, avec des gens qui ont construit cette nation», a expliqué la ministre Marie Malavoy en entrevue téléphonique. Au début de son mandat à l'automne 2012, celle-ci avait reproché au programme actuel de «noyer le poisson de la souveraineté». Le nouveau cours n'est pas orienté, assure-t-elle. EXCLUSIF - L'histoire aux historiens. Pour montrer l'importance qu'il accorde à l'enseignement de l'histoire du Québec, TVA Nouvelles a appris que le gouvernement Marois n'exigera rien de moins qu'un historien pour offrir le nouveau cours obligatoire au cégep. Les critères d'embauche vont spécifier que le spécialiste devra détenir au minimum un baccalauréat en la matière, si ce n'est une maîtrise.

Un professeur de science politique ou de sociologie n'aurait donc pas les qualifications requises pour donner cette formation. Les deux plus grands syndicats de l'enseignement au collégial gagnent donc leur point en exigeant l'embauche de professeurs d'histoire, mais ils subissent aussi un revers. Le ministère de l'Enseignement supérieur a pris sa décision finale et confirme dans la Gazette officielle du Québec que ce nouveau cours va remplacer l'un des deux cours complémentaires prévus dans la formation collégiale; un cours de langue, de photographie ou d'arts par exemple. Des pertes d'emplois à prévoir? Des enseignants pressent le gouvernement de clarifier ses intentions. Connexion Lisa-Marie Gervais 4 février 2014 Société / ÉducationDes enseignants pressent le gouvernement de clarifier ses intentions Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Pour lire la lettre L’implantation du nouveau cours d’histoire du Québec contemporain au collégial.

Une question pédagogique et syndicale (pdf) Des enseignants d’histoire font pression sur le gouvernement, à quelques semaines de la fin des consultations des cégeps sur l’implantation d’un nouveau cours au collégial. En tout cas, l’Association des professeurs d’histoire des collèges du Québec (APHCQ) veut là-dessus une position claire du ministre de l’Enseignement supérieur, Pierre Duchesne. Moratoire Les deux grands syndicats d’enseignants au collégial, la Fédération des enseignantes et enseignants de CEGEP (FEC) et la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ), sont aussi de cet avis, et demandent un moratoire sur l’implantation du cours. Site complet. Cours sur le Québec dans les cégeps : le débat peut enfin débuter! | Points de vue. Il faut se réjouir à plusieurs égards de l'intention du gouvernement d'inclure dans la formation générale obligatoire un cours sur le Québec contemporain.

Outre le fait que le cours viendra combler des lacunes évidentes chez les étudiants quant à la compréhension de la société québécoise, ce nouveau cours suscite un débat de société qui vient à la fois souligner la pertinence du réseau collégial pour les citoyens et interroger le réseau sur la direction qu'il prendra plus de 40 ans après sa création. À ce chapitre, il faut le souligner, la réforme que le gouvernement propose n'a rien de banal et aura très certainement un impact significatif à la fois sur la formation des étudiants, sur l'organisation administrative et sur le corps professoral.

Il faut donc avancer dans ce dossier avec une grande prudence en gardant à l'esprit la mission des cégeps de former des citoyens éclairés et éviter à tout prix les luttes fratricides qui caractérisent si bien le réseau en général. Cours d’histoire au collégial - Duchesne ouvert à un enseignement multidisciplinaire. Connexion Lisa-Marie Gervais 13 décembre 2013 Société / ÉducationCours d’histoire au collégial - Duchesne ouvert à un enseignement multidisciplinaire Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir Le ministre de l’Enseignement supérieur, Pierre Duchesne, ne ferme pas la porte pour l’instant à ce que le cours d’histoire au collégial soit donné par d’autres spécialistes que des historiens. « Je suis favorable à un cours d’histoire nationale, donc c’est un cours d’histoire, mais la façon dont on enseigne au collégial n’est pas la même qu’au secondaire, car vous avez des jeunes adultes […] il y a une base de connaissances historiques, ça se fait sur le débat ouvert », a dit le ministre, interrogé en marge d’une conférence de presse jeudi. « On verra.

Le devis du cours d’histoire et les recommandations du comité-conseil chargé d’élaborer le contenu seront soumis à une consultation de 45 jours dans tous les collèges en janvier. M. La FECQ réagit Site complet. Cégep - Place à l’«histoire du Québec contemporain» Connexion Lisa-Marie Gervais 12 décembre 2013 Société / ÉducationCégep - Place à l’«histoire du Québec contemporain» Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Le nouveau cours d’histoire obligatoire au cégep s’appellera « Histoire du Québec contemporain » et remplacera vraisemblablement l’un des deux cours complémentaires de la formation générale, a appris Le Devoir.

C’est, du moins, le scénario recommandé par le comité-conseil chargé de réfléchir à l’implantation du cours qui sera soumis prochainement à la consultation. Quant au contenu, sans écarter les références multidisciplinaires (aux mouvements sociaux et à la politique nationale), le projet de devis du cours d’histoire montre qu’il fait une large place au contenu historique, ayant notamment comme objectif d’« expliquer des grands repères historiques du Québec contemporain ». Objectif 2014 Mais mettre sur pied un tel cours n’est pas chose simple. Réactions du milieu Site complet. Cours d’histoire: les profs de cégep exigent le report de l’implantation. Mathieu Bock-Côté - Cours d'histoire au collégial. Les jeux vidéo s’immiscent dans les cours universitaires.

Cours d'histoire au cégep: les profs disent oui, mais pas tout de suite | Annie Mathieu. Cours d'histoire obligatoire: trop vite pour les cégeps | Annie Mathieu. Cours d'été 2.0: rattrapage à la plage | Pascale Breton. Faut-il un cours d'histoire obligatoire au cégep? Quand la musique crée des connexions... cérébrales | Science. À quand des MOOC en français?  Dossier ECR: la CS des Chênes devra payer toute la note | Isabelle Pion | Régions. Des prêts pour les chargés de cours de l'UQAM | Ewan Sauves | Conflit étudiant. Les étudiants déplorent l’annulation de cours à l’UdeM. Universités: grogne et inquiétude chez les professeurs | Pascale Breton | Conflit étudiant.

Le cours d'éthique et culture religieuse: au-delà des apparences | Courrier des lecteurs. Cour suprême du Canada - Décisions - S.L. c. Commission scolaire des Chênes. Jugement de la Cour suprême: ECR ne porte pas atteinte à la liberté de religion. Zonetronik.com.