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Vie à l'arrière

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1914-18. Scènes de vie quotidienne à l'arrière - 02/11/2008 - LaDépêche. Le cordonnier de la rue des Lois, à Toulouse, s'en va-t-en guerre.

1914-18. Scènes de vie quotidienne à l'arrière - 02/11/2008 - LaDépêche

Sur la porte de son magasin, il appose cette pancarte : « Fermé pour cause de villégiature à Berlin ». Le 1er août 1914, c'est la mobilisation. Autour de la gare Matabiau, 500 hommes se préparent à partir. Ils chantent la Marseillaise… La Première Guerre mondiale vient d'éclater. À Bagnères-de-Bigorre, les femmes accompagnent les hommes mobilisés sur le quai. En ce début du mois d'août 1914, nul ne soupçonne encore que la guerre sera si longue et si meurtrière. Dans la commune tarn-et-garonnaise de Larrazet, le curé et le garde champêtre jugent alors prudent de détruire un poste de télégraphie, de crainte que les Allemands n'interceptent un message… Chaque soir, à la mairie de Larrazet, le maire notaire Jean Carné, l'instituteur Auguste Durand, le curé Joseph Dumas, le tailleur Jean-Pierre Pujos se retrouvent pour consigner par écrit tous les événements qui se produisent dans la commune.

Il faut ravitailler le front. Larrazet, durant la Grande Guerre - Arkheia, revue d'histoire. Glossaire d'A à Z des paysans et la Grande Guerre : derdesders. Derdesders Glossaire d'A à Z des paysans et la Grande Guerre A comme Alambic.- A mesure que la guerre s’allonge, le nombre d’alambics va diminuer dans les campagnes ; raison de cette pénurie de machines, alors que la demande d’eau-de-vie est sans cesse croissante, la forte demande de cuivre.

Glossaire d'A à Z des paysans et la Grande Guerre : derdesders

L’État lance des offres alléchantes de rachat des machines pour récupérer le cuivre indispensable à l’industrie de guerre. Dans le Périgord l’offre était de 4 francs le kilo de cuivre. Eléments civils autour de la guerre de 14-18. Vendredi 8 janvier 2010 5 08 /01 /Jan /2010 22:27 Ayant fait pas mal de recherches autour de la guerre de 14-18, surtout en ce qui concernait la vie à "l'arrière", voici quelques éléments de cette vie.

Eléments civils autour de la guerre de 14-18

Mes recherches portaient sur le département des Hautes-Alpes, mais je pense que certaines affiches peuvent s'appllquer aux autres départements. Les carnets de sucre Cerificat de bonne conduite sus les drapeaux Bain hebdomadaire pour les enfants, à Lyon Evolution du coût de la vie entre 1913 et 1915 Fixation du prix de vente du bétail de boucherie Ce qu'il est permis de boire aux civils et militaires et à quelles heures. La vie à l'arrière et l'engagement des femmes - La vie des Français pendant le conflit 14-18.

La population dite "à l’arrière", comporte tous ceux qui, tant militaires que civils, dans la guerre, ne prennent pas part aux opérations, il s’agit donc aussi bien des femmes, des vieillards, des enfants, des hommes politiques, etc… On oppose "l’arrière" au "front" sur lequel les combats ont lieu.

La vie à l'arrière et l'engagement des femmes - La vie des Français pendant le conflit 14-18

A) La mobilisation de l'économie : Durant la guerre, toutes les forces politiques se rallient et forment l’Union sacrée, union de toutes les forces politiques françaises dans le combat contre l’Allemagne. Cependant, la guerre atteint fortement l’économie du pays. Les régions du nord (très industrialisées) subissent les effets destructeurs des combats.

Une grande partie de la main d’œuvre a été enrôlée dans l’armée, la production industrielle est donc plus faible, des pénuries apparaissent. Pour combler ce « trou » dans l’économie, l’état mets en place une politique dirigiste, politique dans laquelle l’état joue un rôle important au niveau des décisions économiques. Femmes travaillant au champs. Une guerre totale : le sort des civils - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers. À la fin du XIXe et au début du XXe siècle des règles avaient été édictées pour, en principe, protéger les populations non-combattantes durant les conflits.

Une guerre totale : le sort des civils - 1918, la Grande Guerre s'achève... - Dossiers

Si les civils ne sont pas au cœur même des combats de la Grande Guerre, ils sont affectés de bien des manières par la violence de guerre : l'invasion, les bombardements, les souffrances affectives, sont trois épreuves parmi tant d'autres analysées par Anne Duménil dans "La guerre au XXe siècle, l'expérience des civils" (La Documentation photographique n° 8043, 2005).

Invasion L'exode des Belges vers la France. Photo : Préfecture de police, La Documentation française © Présidence du Conseil. Agrandir l'image « Pour les civils, l'invasion constitue un moment de particulière vulnérabilité. Bombardement [...] Ypres (Belgique) détruit par les bombardements. Photo : Holzapfel © La Documentation française. Les conditions de vie des civils pendant la guerre 14-18.

Contexte historique Pendant la Première Guerre mondiale, le tribut payé par les poilus est, certes, impressionnant – 1 390 000 morts, près de trois millions de blessés dont 60 000 amputés –, mais ce conflit des plus meurtriers n’a pas épargné les populations civiles.

Les conditions de vie des civils pendant la guerre 14-18

En Belgique, qu’ils ont envahie malgré sa neutralité, les Allemands ne s’attendaient à aucune résistance, mais les Belges ralentissent la progression de l’ennemi, qui exerce des représailles sur la population : 200 civils sont tués dans l’incendie de Louvain, 400 otages sont exécutés à Tamines, 200 à Andenne, 670 à Dinant, hommes, femmes et enfants confondus. En août et septembre 1914, lors de leur avancée en Belgique et dans le nord de la France, les Allemands incendient des villages, bombardent des villes sans défense, et font rien moins que 6 000 victimes civiles.

Analyse des images Les deux photographies sont extraites de ce fonds Anne Morgan et ont été prises dans des villages proches de Soissons. Interprétation. Scènes de vie quotidienne à l'arrière.