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Apprentissage

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Mon cerveau, ce héros... et ses mythes. De "l'effet Mozart' à la croyance que l'on n'utilise que 10% de son cerveau, les neuro mythes sont partout et particulièrement dans l'enseignement.

Mon cerveau, ce héros... et ses mythes

Philosophe de formation mais chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli nous invite à découvrir les neuro mythes et à les comprendre pour mieux les combattre. Un combat devenu nécessaire parce qu'ils justifient de façon banale le maintien de préjugés et qu'ils empêchent du coup l'Ecole de tirer parti des avancées scientifiques.

"Ce voyage au royaume des mythes ne sera pas un voyage de tout repos et il présente des risques", écrit E Pasquinelli. En fait, son petit livre, publié aux éditions Le Pommier, se lit très agréablement. Le risque c'est qu'il détruit des mythes bien ancrés dans nos têtes, qu'il en fait découvrir d'autres et qu'il nous invite à exercer notre esprit critique. Son ouvrage n'est en rien une remise en question des neurosciences.

Je ne crois pas. OCCE - Actualité pédagogique. Guide de la motivation. Un dossier thématique sur la motivation scolaire. Le Center on Education Policy, un partisan indépendant de l’éducation publique et d’une plus grande efficacité au sein des écoles aux États-Unis, a publié une série de documents sur la motivation scolaire.

Un dossier thématique sur la motivation scolaire

Ce dossier a été documenté et rédigé par Alexandra Usher et Nancy Kober, respectivement assistante à la recherche et consultante pour cet organisme. La série présente six documents abordant chacun une question liée à la motivation scolaire ainsi qu’un appendice qui résume les grandes lignes de la théorie de la motivation. Les aspects traités dans ce dossier sont les suivants: la définition et la mesure de la motivation;l’efficacité des mesures incitatives et des récompenses;l’efficacité de la poursuite d’objectifs;le rôle des parents et l’importance de leur implication, des antécédents familiaux et de la culture au sein de la famille;les stratégies qui peuvent être mises en place;les approches non traditionnelles pouvant motiver les élèves moins enthousiastes.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene

Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones.

Différentes zones du cerveau Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? Differenciationpedagogique.com - Différencier pour les aider à raisonner à l’aide de concepts et de processus mathématiques - École Roméo-Forbes. Notre cerveau est neurosocial! Voici le trosième article sur les richesses incommensurables de notre cerveau!

Notre cerveau est neurosocial!

L’article s’inspire du livre Votre cerveau n’a pas fini de vous étonner, une œuvre présentée par Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. Van Eersel interviewe dans son livre cinq chercheurs. L’article présent fait suite à l’entretien avec Boris Cyrulnik, éthologue, et Pierre Bustany, neuropharmacologue qui travaille avec les nouvelles techniques d’imagerie cérébrale.

Cerveau, apprentissage et enseignement. Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée.

Cerveau, apprentissage et enseignement

Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé.

Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Dossier sur l'envie d'apprendre. Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L'empêchement à apprendre (regard clownesque) - Daniel Gostain.

Comme vous le savez peut-être, depuis plus de vingt ans, je m'intéresse au personnage qu'est le clown dans son regard sur le monde, en particulier depuis quelque temps dans son regard sur l'acte d'apprendre.

L'empêchement à apprendre (regard clownesque) - Daniel Gostain

Jusqu'à présent, je l'ai fait dans son rapport aux savoirs à travers cette "Encyclopédie clownesque des savoirs", projet bien avancé dans son idée (et ce n'est pas fini). Les clowns se mettaient dans la peau de personnages-savoirs pour y vivre leurs émotions, leurs envies, leurs peurs, offrant ainsi un regard de proximité complice à l'enfant apprenant. Aujourd'hui, j'ai, avec mes partenaires clowns, Marie-France (alias Chabotte Tripouille) et Christophe (alias Pépito), choisi d'explorer un nouveau versant de l'apprentissage, celui de l'"empêchement à apprendre". Versant peu exploré à l'école, notamment pour essayer de le comprendre, de le penser.

Et si on donnait ça aux clowns ! Plutôt offrir un regard décalé, sensible, propice aux réactions des enfants.